WELLINGTON, lundi 9 septembre 2013 (Flash d’Océanie) – John Key, Premier ministre néo-zélandais, a annoncé lundi un déplacement international qui l’emmènera successivement, durant la seconde quinzaine (du 17 au 29) de septembre 2013, au Royaume-Uni, en France, puis au siège de l’ONU, à New York, pour participer à l’Assemblée Générale.
En France, M. Key (centre-droite) annonce par avance une série de rencontres, dont une avec le Président de la République François Hollande.
« Il s’agit de la première visite de M. Key en France depuis que M. Hollande est devenu Président l’an dernier », précise un communiqué du gouvernement, qui indique par ailleurs d’autres rencontres avec le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault et son ministre de l’économie et des finances Pierre Moscovici.
Par ailleurs, la fille de John Key, Stephanie, 20 ans, étudie actuellement en arts à Paris au College of Art (ancienne « École Parsons à Paris »), une école américaine d’enseignement supérieur privé d’art et de design située rue Fénélon qui accueille des étudiants du monde entier (www.paris.edu).
« L’Europe demeure un partenaire vital pour la prospérité et la sécurité à venir de la Nouvelle-Zélande. Cette visite est une occasion de parleur de sujets européens avec deux États membres clés de l’UE. Ces deux États sont aussi membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Leur point de vue sur les questions régionales et mondiales intéressent fortement la Nouvelle-Zélande », ajoutent les mêmes sources.
Wellington rappelle aussi « l’engagement commun » avec ces deux pays dans la région Asie-Pacifique.
Juste avant l’étape française, M. Key annonce aussi un déplacement au Royaume-Uni, pour des entretiens avec son homologue David Cameron ou encore le chef de la diplomatie britannique William Hague et le chef de file de l’opposition Ed Milliband.
Il a aussi prévu de répondre en famille à une invitation de la Reine Elizabeth II d’Angleterre à sa résidence de Balmoral (Écosse), entre le 20 et le 22 septembre 2013.
À New York, pour l’ouverture de l’Assemblée Générale de l’ONU et en compagnie de son ministre des affaires étrangères Murray McCully, M. Key entend aussi aborder et consulter d’autres dirigeants au sujet notamment de la situation en Syrie.
La Nouvelle-Zélande est aussi candidate pour un siège non-permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la période 2015/16
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En France, M. Key (centre-droite) annonce par avance une série de rencontres, dont une avec le Président de la République François Hollande.
« Il s’agit de la première visite de M. Key en France depuis que M. Hollande est devenu Président l’an dernier », précise un communiqué du gouvernement, qui indique par ailleurs d’autres rencontres avec le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault et son ministre de l’économie et des finances Pierre Moscovici.
Par ailleurs, la fille de John Key, Stephanie, 20 ans, étudie actuellement en arts à Paris au College of Art (ancienne « École Parsons à Paris »), une école américaine d’enseignement supérieur privé d’art et de design située rue Fénélon qui accueille des étudiants du monde entier (www.paris.edu).
« L’Europe demeure un partenaire vital pour la prospérité et la sécurité à venir de la Nouvelle-Zélande. Cette visite est une occasion de parleur de sujets européens avec deux États membres clés de l’UE. Ces deux États sont aussi membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Leur point de vue sur les questions régionales et mondiales intéressent fortement la Nouvelle-Zélande », ajoutent les mêmes sources.
Wellington rappelle aussi « l’engagement commun » avec ces deux pays dans la région Asie-Pacifique.
Juste avant l’étape française, M. Key annonce aussi un déplacement au Royaume-Uni, pour des entretiens avec son homologue David Cameron ou encore le chef de la diplomatie britannique William Hague et le chef de file de l’opposition Ed Milliband.
Il a aussi prévu de répondre en famille à une invitation de la Reine Elizabeth II d’Angleterre à sa résidence de Balmoral (Écosse), entre le 20 et le 22 septembre 2013.
À New York, pour l’ouverture de l’Assemblée Générale de l’ONU et en compagnie de son ministre des affaires étrangères Murray McCully, M. Key entend aussi aborder et consulter d’autres dirigeants au sujet notamment de la situation en Syrie.
La Nouvelle-Zélande est aussi candidate pour un siège non-permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la période 2015/16
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