Sorte de radeau-catamaran, le "Plastiki" a déja parcouru 6.944 miles nautiques depuis San Franciso jusqu'à ce territoire français du Pacifique sud, en passant par les archipels de la région.
Ce voyage destiné à alerter l'opinion sur les dangers du plastique pour les océans est inspiré de l'expédition Kon-Tiki, que mena sur un radeau le Norvégien Thor Heyerdahl en 1947 entre le Pérou et les îles Tuamotu en Polynésie.
L'équipage devrait larguer les amarres mercredi depuis le port Moselle à Nouméa.
"On pense qu'ils vont partir demain. Ils prennent juste en compte les conditions climatiques et, a priori, elles vont être bonnes pour naviguer", a déclaré un porte-parole de l'expédition à l'AFP.
Le concepteur du projet est l'aventurier écologiste britannique, David de Rothschild, plus jeune des héritiers de la célèbre famille de banquiers. C'est lui qui a imaginé ce bateau en plastique recyclable, après avoir lu un rapport des Nations unies sur les écosystèmes océaniques.
Long de 18 mètres, le double-coque compte 12.500 bouteilles, qui lui assurent 68% de sa flottabilité. Il n'utilise que de l'énergie renouvelable, provenant du soleil, du vent ou de turbines marines.
Cette embarcation a été réalisée avec du plastique recyclable appelé Seretex et assemblé avec de la colle organique, à base de brou de noix de cajou et de sucre de canne, tandis que les voiles contiennent du plastique recyclé.
Ce voyage destiné à alerter l'opinion sur les dangers du plastique pour les océans est inspiré de l'expédition Kon-Tiki, que mena sur un radeau le Norvégien Thor Heyerdahl en 1947 entre le Pérou et les îles Tuamotu en Polynésie.
L'équipage devrait larguer les amarres mercredi depuis le port Moselle à Nouméa.
"On pense qu'ils vont partir demain. Ils prennent juste en compte les conditions climatiques et, a priori, elles vont être bonnes pour naviguer", a déclaré un porte-parole de l'expédition à l'AFP.
Le concepteur du projet est l'aventurier écologiste britannique, David de Rothschild, plus jeune des héritiers de la célèbre famille de banquiers. C'est lui qui a imaginé ce bateau en plastique recyclable, après avoir lu un rapport des Nations unies sur les écosystèmes océaniques.
Long de 18 mètres, le double-coque compte 12.500 bouteilles, qui lui assurent 68% de sa flottabilité. Il n'utilise que de l'énergie renouvelable, provenant du soleil, du vent ou de turbines marines.
Cette embarcation a été réalisée avec du plastique recyclable appelé Seretex et assemblé avec de la colle organique, à base de brou de noix de cajou et de sucre de canne, tandis que les voiles contiennent du plastique recyclé.