PAPEETE, le 11 octobre 2016 - Stéphane Gay, l’actuel propriétaire et gérant du Bora bora lounge, a racheté le Delirium le 1er septembre. La boîte de nuit est en travaux. Elle rouvrira le 13 octobre et reprendra le nom, la décoration et l’ambiance du fameux Piano Bar.
"Je rouvre le Piano bar", annonce Stéphane Gay, le propriétaire et gérant du Bora bora lounge. "Mais tu le rouvres comme avant ?", interrogent les curieux et nostalgiques au fait du projet. "Oui !", répond le gérant. "On change quelques paillettes, on refait à neuf certains éléments de mobilier mais tout sera comme l’établissement d’hier." Même agencement, même entrée et surtout même ambiance. "Une ambiance un peu à la Michou à Paris, avec une clientèle mixe et des rae rae au cœur des spectacles souvent improvisés."
Stéphane Gay est diplômé de l’école hôtelière Le Castel à Dijon. Il a suivi ensuite des études de sommelier. Il a créé un restaurant en Bourgogne à l’âge de 22 ans, a travaillé aux quatre coins du monde : Angleterre, Nouvelle-Zélande, Australie, Nouvelle-Calédonie, Singapour, La Réunion… À Tahiti, il a tenu la discothèque Le Calypso. "Elle était presque à l’abandon quand je l’ai reprise, elle battait son plein quand je l’ai quittée." Lorsqu’il est revenu en Polynésie il a lancé le Bora bora lounge, c’était en juin 2013.
Dans cet établissement qui fait bar, brasserie, restaurant et discothèque à l’étage, de nombreuses soirées sont organisées. Des concerts, des karaokés, des spectacles. "Nous n’avons plus assez d’espace. Quand il y a des karaokés par exemple, les clients qui viennent seulement pour le restaurant sont dérangés." C’est ce qui a décidé le rachat du Délirium, ex-Piano bar. "Le projet répond aussi à des demandes, il y a beaucoup de nostalgiques du Piano bar, des gens d’ici mais aussi des touristes. Depuis que j’ai ouvert le Bora bora lougne, je les vois descendre des paquebots et venir me demander où se trouve la fameuse boîte animée par les rae rae. Ils ne viennent pas tous les jours, mais c’est régulier. Ça manque !" Ainsi l’idée de réouverture de la fameuse discothèque s’est confirmée.
Le Piano bar, ouvert dans les années 1960 et tenue par Françoise Lafontaine était dans tous les guides, conseillée et fréquentée par de très nombreux Polynésiens, visitée par les touristes. Le Petit Futé décrivait : "Le Piano bar était le lieu de rassemblement des rae rae et mahu (travestis et transsexuels) de Papeete, une véritable institution pendant des lustres... ". Stéphane Gay se rappelle : "C’est là que l’on faisait les arrivées/départs". En 2010, le Piano bar est devenu Délirium. Une discothèque qui a été rachetée par Stéphane Gay le 1er septembre de cette année.
Pour relancer l’établissement, Stéphane Gay compte sur "les anciennes pour nous aider. On nous a déjà contacté pour parler des shows." Celles qui assurent déjà les spectacles au Bora bora lounge seront de la partie. Un show d’une heure trente tous les mois sera proposé, le reste du temps la scène sera ouverte pour de courtes apparitions plus ou moins improvisée. L’inauguration est prévue le 13 octobre.
"Je rouvre le Piano bar", annonce Stéphane Gay, le propriétaire et gérant du Bora bora lounge. "Mais tu le rouvres comme avant ?", interrogent les curieux et nostalgiques au fait du projet. "Oui !", répond le gérant. "On change quelques paillettes, on refait à neuf certains éléments de mobilier mais tout sera comme l’établissement d’hier." Même agencement, même entrée et surtout même ambiance. "Une ambiance un peu à la Michou à Paris, avec une clientèle mixe et des rae rae au cœur des spectacles souvent improvisés."
Stéphane Gay est diplômé de l’école hôtelière Le Castel à Dijon. Il a suivi ensuite des études de sommelier. Il a créé un restaurant en Bourgogne à l’âge de 22 ans, a travaillé aux quatre coins du monde : Angleterre, Nouvelle-Zélande, Australie, Nouvelle-Calédonie, Singapour, La Réunion… À Tahiti, il a tenu la discothèque Le Calypso. "Elle était presque à l’abandon quand je l’ai reprise, elle battait son plein quand je l’ai quittée." Lorsqu’il est revenu en Polynésie il a lancé le Bora bora lounge, c’était en juin 2013.
Dans cet établissement qui fait bar, brasserie, restaurant et discothèque à l’étage, de nombreuses soirées sont organisées. Des concerts, des karaokés, des spectacles. "Nous n’avons plus assez d’espace. Quand il y a des karaokés par exemple, les clients qui viennent seulement pour le restaurant sont dérangés." C’est ce qui a décidé le rachat du Délirium, ex-Piano bar. "Le projet répond aussi à des demandes, il y a beaucoup de nostalgiques du Piano bar, des gens d’ici mais aussi des touristes. Depuis que j’ai ouvert le Bora bora lougne, je les vois descendre des paquebots et venir me demander où se trouve la fameuse boîte animée par les rae rae. Ils ne viennent pas tous les jours, mais c’est régulier. Ça manque !" Ainsi l’idée de réouverture de la fameuse discothèque s’est confirmée.
Le Piano bar, ouvert dans les années 1960 et tenue par Françoise Lafontaine était dans tous les guides, conseillée et fréquentée par de très nombreux Polynésiens, visitée par les touristes. Le Petit Futé décrivait : "Le Piano bar était le lieu de rassemblement des rae rae et mahu (travestis et transsexuels) de Papeete, une véritable institution pendant des lustres... ". Stéphane Gay se rappelle : "C’est là que l’on faisait les arrivées/départs". En 2010, le Piano bar est devenu Délirium. Une discothèque qui a été rachetée par Stéphane Gay le 1er septembre de cette année.
Pour relancer l’établissement, Stéphane Gay compte sur "les anciennes pour nous aider. On nous a déjà contacté pour parler des shows." Celles qui assurent déjà les spectacles au Bora bora lounge seront de la partie. Un show d’une heure trente tous les mois sera proposé, le reste du temps la scène sera ouverte pour de courtes apparitions plus ou moins improvisée. L’inauguration est prévue le 13 octobre.