PAPEETE, le 6 aout 2014 - Pour améliorer l'attractivité du projet Tahiti Mahana Beach, le Pays va prendre à sa charge le coût du remblai de 200 mètres qui sera gagné sur la mer, ainsi que les travaux pour le traitement des eaux pluviales et l’approvisionnement en eau potable de la zone. Le tout devrait coûter entre 7 et 8 milliards Fcfp, et ces travaux pourraient être lancés dès octobre 2014.
Ces dépenses viennent compléter les avantages fiscaux et réglementaires déjà décidés, et les nouvelles décisions concernant le droit du travail. Il s’agit de rendre le projet le plus attractif possible aux investisseurs étrangers. Elles seront toutes rassemblées la semaine prochaine dans une nouvelle loi de Pays instituant la zone franche.
« Sans défiscalisation locale ou métropolitaine, il faut arriver à attirer les investisseurs. Regardez l’hôtel Le Brando, sur les 14 milliards de francs de construction, il y a eu 9 milliards en défiscalisation » explique Gaston Flosse. Et après avoir rappelé les chiffres du chômage et du RST, il déclare : « si ces projets ne sont pas lancés, nous sommes foutus. »
Ces dépenses viennent compléter les avantages fiscaux et réglementaires déjà décidés, et les nouvelles décisions concernant le droit du travail. Il s’agit de rendre le projet le plus attractif possible aux investisseurs étrangers. Elles seront toutes rassemblées la semaine prochaine dans une nouvelle loi de Pays instituant la zone franche.
« Sans défiscalisation locale ou métropolitaine, il faut arriver à attirer les investisseurs. Regardez l’hôtel Le Brando, sur les 14 milliards de francs de construction, il y a eu 9 milliards en défiscalisation » explique Gaston Flosse. Et après avoir rappelé les chiffres du chômage et du RST, il déclare : « si ces projets ne sont pas lancés, nous sommes foutus. »