Sur proposition conjointe des ministres de la reconversion économique et de l'économie rurale, Teva Rohfritsch et Frédéric Riveta, le conseil des ministres a décidé de soutenir l’essor d’une agriculture biologique par les mesures suivantes :
Il s’agit en premier lieu d’insérer dans la liste des PPN les produits contribuant au développement de cette agriculture biologique : engrais organiques bio, produits pesticides bio, produits organiques bio (tels que les microorganismes efficaces et la mélasse) ;
Puis, de sortir de cette même liste les engrais et pesticides de synthèse (non respectueux de l’environnement), et de les insérer dans la liste des produits de grande consommation (PGC) avec une marge globale de commercialisation réduite à 34% de leur prix de revient ;
Enfin, il est proposé de compléter le dispositif relatif à la prise en charge par le Pays du fret à destination des îles des produits nécessaires au développement économique et social des archipels, à savoir notamment certains intrants nécessaires à la fabrication de compost, la préparation des semis de culture et l'alimentation des animaux d'élevage (porcin, bovin ou volaille). L’élevage est une filière présentant un fort potentiel de développement économique, et qui offre une opportunité aux populations de maintenir ces emplois du secteur primaire dans les archipels.
Ces mesures visent à inciter le développement d'une agriculture biologique dans notre pays, sans pour autant entraver l’accès aux produits de synthèse pour les agriculteurs souhaitant rester dans l’agriculture classique intensive.
Il s’agit en premier lieu d’insérer dans la liste des PPN les produits contribuant au développement de cette agriculture biologique : engrais organiques bio, produits pesticides bio, produits organiques bio (tels que les microorganismes efficaces et la mélasse) ;
Puis, de sortir de cette même liste les engrais et pesticides de synthèse (non respectueux de l’environnement), et de les insérer dans la liste des produits de grande consommation (PGC) avec une marge globale de commercialisation réduite à 34% de leur prix de revient ;
Enfin, il est proposé de compléter le dispositif relatif à la prise en charge par le Pays du fret à destination des îles des produits nécessaires au développement économique et social des archipels, à savoir notamment certains intrants nécessaires à la fabrication de compost, la préparation des semis de culture et l'alimentation des animaux d'élevage (porcin, bovin ou volaille). L’élevage est une filière présentant un fort potentiel de développement économique, et qui offre une opportunité aux populations de maintenir ces emplois du secteur primaire dans les archipels.
Ces mesures visent à inciter le développement d'une agriculture biologique dans notre pays, sans pour autant entraver l’accès aux produits de synthèse pour les agriculteurs souhaitant rester dans l’agriculture classique intensive.