PAPEETE, le 24 août 2016. La rencontre entre la délégation de maires du Syndicat pour la promotion des communes et le président du Pays la semaine dernière a permis de décrisper les relations entre les tavana et le gouvernement.
Le conseil des ministres a en effet accordé l’attribution de subventions à hauteur de 148,3 millions Fcfp à 10 communes répartis sur quatre archipels. "Elles ont présenté 13 projets d’investissement, dont trois relèvent du Contrat de projets et dix de la DDC (Délégation pour le développement des communes)", indique un communiqué de la présidence.
Le montant cumulé des investissements s’élève à 305 millions Fcfp. Les communes concernées sont deux communes de Tahiti, Papara et Taiarapu Ouest, deux communes des îles Sous-le-Vent, Tumaraa et Taputapuatea, cinq communes des Tuamotu, Reao, Manihi, Pukapuka, Arutua et Fakarava, et une commune des Marquises, Fatu Hiva.
Lors du congrès des maires début août, les maires avaient adopté une résolution aux allures d'ultimatum où ils demandaient à devenir de vrais partenaires du Pays. Cette déclaration n'avait pas été au goût d'Edouard Fritch qui avait dans la foulée mis en attente 20 arrêtés pour autant de demande de subventions communales à présenter à la Délégation au développement des communes (DDC).
Le conseil des ministres a en effet accordé l’attribution de subventions à hauteur de 148,3 millions Fcfp à 10 communes répartis sur quatre archipels. "Elles ont présenté 13 projets d’investissement, dont trois relèvent du Contrat de projets et dix de la DDC (Délégation pour le développement des communes)", indique un communiqué de la présidence.
Le montant cumulé des investissements s’élève à 305 millions Fcfp. Les communes concernées sont deux communes de Tahiti, Papara et Taiarapu Ouest, deux communes des îles Sous-le-Vent, Tumaraa et Taputapuatea, cinq communes des Tuamotu, Reao, Manihi, Pukapuka, Arutua et Fakarava, et une commune des Marquises, Fatu Hiva.
Lors du congrès des maires début août, les maires avaient adopté une résolution aux allures d'ultimatum où ils demandaient à devenir de vrais partenaires du Pays. Cette déclaration n'avait pas été au goût d'Edouard Fritch qui avait dans la foulée mis en attente 20 arrêtés pour autant de demande de subventions communales à présenter à la Délégation au développement des communes (DDC).