À Fidji, dans la région de Ba, les rues sont sous deux mètres d’eau et de nombreuses familles ont dû être secourues.
SUVA, mercredi 25 janvier 2012 (Flash d’Océanie) – Toute la région du Pacifique Sud-ouest se trouvait toujours mercredi en proie à un véritable déluge caractérisé par des pluies torrentielles qui ont déjà fait des milliers de déplacés.
À Fidji, le bilan humain de cette série d’inondations qui frappent depuis ce week-end les parties Nord et Ouest de l’île principale de Viti Levu est désormais de deux morts, deux agriculteurs noyés alors qu’ils tentaient de sauver leurs bêtes en traversant des cours d’eau en crue.
Plus de mille cinq cent personnes ont été évacuées par les services d’urgences, avec l’appui de la police et de l’armée.
Le gouvernement pourrait rapidement déclarer un état de catastrophe naturelle pour les zones les plus touchées, en particulier la région de Nadi (Ouest de Viti Levu) et celle de Ba (Nord de l’île).
Cette déclaration d’état d’urgence pourrait ouvrir la voie à d’éventuelles aides régionales et internationales, à caractère humanitaire.
D’ores et déjà, l’antenne locale de la Croix Rouge est mobilisée.
De nombreux axes routiers, dont les principaux ceinturant l’île, sont toujours fermés à la circulation.
Plusieurs régions se trouvent aussi sans électricité ni eau courante.
Près d’une cinquantaine de centres d’accueil ont été ouverts.
De nombreuses familles, dont les résidences ont été inondées, on dû être secourues alors qu’elles avaient trouvé refuge sur le toit.
La rentrée scolaire, prévue à l’origine pour cette semaine, a été différée pour les zones affectées, alors que les pluies ne semblaient toujours pas faiblir.
Les autorités sanitaires sont par ailleurs particulièrement vigilantes et craignent la résurgence de maladies liées à la présence en masse d’eaux stagnantes, comme la dengue (transmise par les moustiques), la leptospirose, la typhoïde et la dysenterie.
Ces maladies étaient déjà présentes à l’état latent dans plusieurs portions de Viti Levu.
Dans la région de Ba, plusieurs importants glissements de terrain ont également eu lieu depuis le début de la semaine.
À Fidji, le bilan humain de cette série d’inondations qui frappent depuis ce week-end les parties Nord et Ouest de l’île principale de Viti Levu est désormais de deux morts, deux agriculteurs noyés alors qu’ils tentaient de sauver leurs bêtes en traversant des cours d’eau en crue.
Plus de mille cinq cent personnes ont été évacuées par les services d’urgences, avec l’appui de la police et de l’armée.
Le gouvernement pourrait rapidement déclarer un état de catastrophe naturelle pour les zones les plus touchées, en particulier la région de Nadi (Ouest de Viti Levu) et celle de Ba (Nord de l’île).
Cette déclaration d’état d’urgence pourrait ouvrir la voie à d’éventuelles aides régionales et internationales, à caractère humanitaire.
D’ores et déjà, l’antenne locale de la Croix Rouge est mobilisée.
De nombreux axes routiers, dont les principaux ceinturant l’île, sont toujours fermés à la circulation.
Plusieurs régions se trouvent aussi sans électricité ni eau courante.
Près d’une cinquantaine de centres d’accueil ont été ouverts.
De nombreuses familles, dont les résidences ont été inondées, on dû être secourues alors qu’elles avaient trouvé refuge sur le toit.
La rentrée scolaire, prévue à l’origine pour cette semaine, a été différée pour les zones affectées, alors que les pluies ne semblaient toujours pas faiblir.
Les autorités sanitaires sont par ailleurs particulièrement vigilantes et craignent la résurgence de maladies liées à la présence en masse d’eaux stagnantes, comme la dengue (transmise par les moustiques), la leptospirose, la typhoïde et la dysenterie.
Ces maladies étaient déjà présentes à l’état latent dans plusieurs portions de Viti Levu.
Dans la région de Ba, plusieurs importants glissements de terrain ont également eu lieu depuis le début de la semaine.
Énorme glissement de terrain en Papouasie-Nouvelle-Guinée
Toujours dans la proche région, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, un énorme glissement de terrain, toujours provoqué par les pluies torrentielles qui s’abattent sur la région, a eu lieu lundi dans le district d’Enga (région des Hauts-Plateaux du Sud de l’île principale).
Des dizaines de personnes, habitant les villages voisins et dont les maisons ont été ensevelies, sont portées disparues, rapporte le quotidien papou The National.
Une cinquantaine de milliers de personnes seraient touchées par cette énorme coulée de boue qui a couru sur un kilomètre de long et sur une largeur de plusieurs centaines de mètres, non loin du site de construction d’un projet de production de gaz naturel liquéfié piloté par la société américaine ExxonMobil.
Inondations dans le Queensland
En Australie, dans le Sud-est de l’État de la Nouvelle-Galles-du-Sud, d’énormes inondations se sont aussi produites mardi, faisant des milliers de sans-abri et au moins deux disparus.
Les établissements scolaires ont été fermés jusqu’à nouvel ordre, en particulier dans la région de Brisbane et de Darkwood, rapporte la radio nationale qui n’annonce pas d’accalmie au plan des précipitations.
Des dizaines de familles, prises au piège par les eaux, ont dû être évacuées par les services d’urgence, qui ont mis en place plusieurs centres d’évacuation.
pad
Des dizaines de personnes, habitant les villages voisins et dont les maisons ont été ensevelies, sont portées disparues, rapporte le quotidien papou The National.
Une cinquantaine de milliers de personnes seraient touchées par cette énorme coulée de boue qui a couru sur un kilomètre de long et sur une largeur de plusieurs centaines de mètres, non loin du site de construction d’un projet de production de gaz naturel liquéfié piloté par la société américaine ExxonMobil.
Inondations dans le Queensland
En Australie, dans le Sud-est de l’État de la Nouvelle-Galles-du-Sud, d’énormes inondations se sont aussi produites mardi, faisant des milliers de sans-abri et au moins deux disparus.
Les établissements scolaires ont été fermés jusqu’à nouvel ordre, en particulier dans la région de Brisbane et de Darkwood, rapporte la radio nationale qui n’annonce pas d’accalmie au plan des précipitations.
Des dizaines de familles, prises au piège par les eaux, ont dû être évacuées par les services d’urgence, qui ont mis en place plusieurs centres d’évacuation.
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