Loic Guillou
PAPEETE, 18 mai 2017- Après la découverte du va’a à Takapoto, Loic Guillou monte une équipe Marocaine de pour participer aux 1ers championnats du monde de va’a marathon.
Depuis quand pratiquez-vous le va’a ?
J'avais donné quelques coups de rame lors d'une visite à ma famille faamu à Takapoto mais les vrais débuts se sont faits lorsque je me suis installé à Huahine en 2006. J'ai eu l'incroyable chance de côtoyer d'immenses personnages du monde du vaa comme Maitai Danielson, Stephan Itchner et surtout Jean Luc Eychenne qui m'a tout appris et qui continue à me conseiller dès que nous avons l'occasion de ramer ensemble.
Pourquoi avoir choisi ce sport ?
Je viens du triathlon, c'est d'ailleurs grâce à ce sport que je suis venu la première fois à Tahiti en 1996 à l'occasion de l'Aito man de Moorea. Vivant désormais à Huahine c'est tout naturellement que je me suis mis à ramer. Je trouvais dans le Va'a le moyen de continuer à me dépasser physiquement, mais aussi de m'intégrer et mieux comprendre la culture polynésienne.
Pourquoi participer aux championnats du monde ?
Je vis désormais en Afrique, au Maroc et lorsque l'on m'a proposé de monter une équipe Marocaine afin de participer aux Championnats du monde, c'est sans hésitation que j'ai accepté de relever le challenge. Même si le Va'a n'est pas encore vraiment présent dans le pays. C'est une formidable opportunité de faire découvrir cette glisse. Les athlètes sélectionnés sont tous des watermen accomplis qui vivent à Essaouira, l'un des plus beaux spots de surf, kite ou windsurf du Maroc.
Comment vous préparez-vous ?
Pour le moment, j'ai mis à disposition mes pirogues personnelles à disposition de notre nouveau club : Morocco Mogador Va'a. Malheureusement, je n'ai que deux oc1 et une OC4.C'est vraiment pas l'idéal pour préparer une épreuve long line en V6, mais grâce au soutien des organisateurs des championnats du Monde à Tahiti ainsi qu'au club français de Toulon nous allons avoir un v6 qui nous sera gracieusement offert d'ici le mois de février. À partir de là, la véritable préparation pourra débuter pour être le plus performant possible au mois de juin prochain à Tahiti. En attendant, nous faisons avec les moyens du bord. Quoiqu'il en soit l'enthousiasme est incroyable au sein de l'équipe et bien entendu chacun est très motivé pour venir participer à cette épreuve.
Dans quel état d’esprit êtes-vous à l’approche de l’événement ?
Mes sentiments sont partagés entre une grande fierté de promouvoir le Va'a au Maroc et la crainte de ne pas être à la hauteur de l'événement. En tout cas, c'est une aventure extraordinaire à l'image de ce sport fabuleux.
Depuis quand pratiquez-vous le va’a ?
J'avais donné quelques coups de rame lors d'une visite à ma famille faamu à Takapoto mais les vrais débuts se sont faits lorsque je me suis installé à Huahine en 2006. J'ai eu l'incroyable chance de côtoyer d'immenses personnages du monde du vaa comme Maitai Danielson, Stephan Itchner et surtout Jean Luc Eychenne qui m'a tout appris et qui continue à me conseiller dès que nous avons l'occasion de ramer ensemble.
Pourquoi avoir choisi ce sport ?
Je viens du triathlon, c'est d'ailleurs grâce à ce sport que je suis venu la première fois à Tahiti en 1996 à l'occasion de l'Aito man de Moorea. Vivant désormais à Huahine c'est tout naturellement que je me suis mis à ramer. Je trouvais dans le Va'a le moyen de continuer à me dépasser physiquement, mais aussi de m'intégrer et mieux comprendre la culture polynésienne.
Pourquoi participer aux championnats du monde ?
Je vis désormais en Afrique, au Maroc et lorsque l'on m'a proposé de monter une équipe Marocaine afin de participer aux Championnats du monde, c'est sans hésitation que j'ai accepté de relever le challenge. Même si le Va'a n'est pas encore vraiment présent dans le pays. C'est une formidable opportunité de faire découvrir cette glisse. Les athlètes sélectionnés sont tous des watermen accomplis qui vivent à Essaouira, l'un des plus beaux spots de surf, kite ou windsurf du Maroc.
Comment vous préparez-vous ?
Pour le moment, j'ai mis à disposition mes pirogues personnelles à disposition de notre nouveau club : Morocco Mogador Va'a. Malheureusement, je n'ai que deux oc1 et une OC4.C'est vraiment pas l'idéal pour préparer une épreuve long line en V6, mais grâce au soutien des organisateurs des championnats du Monde à Tahiti ainsi qu'au club français de Toulon nous allons avoir un v6 qui nous sera gracieusement offert d'ici le mois de février. À partir de là, la véritable préparation pourra débuter pour être le plus performant possible au mois de juin prochain à Tahiti. En attendant, nous faisons avec les moyens du bord. Quoiqu'il en soit l'enthousiasme est incroyable au sein de l'équipe et bien entendu chacun est très motivé pour venir participer à cette épreuve.
Dans quel état d’esprit êtes-vous à l’approche de l’événement ?
Mes sentiments sont partagés entre une grande fierté de promouvoir le Va'a au Maroc et la crainte de ne pas être à la hauteur de l'événement. En tout cas, c'est une aventure extraordinaire à l'image de ce sport fabuleux.