Bruno Le Maire. © LIONEL BONAVENTURE / AFP
Saint-Leu-la-Forêt, France | AFP | vendredi 23/06/2017 - Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a jugé vendredi que la France pouvait "rattraper" l'Allemagne en matière industrielle, à condition d'investir massivement dans "l'innovation" et dans la "haute technologie".
"Il faut investir le plus possible dans l'innovation, être capable de porter notre industrie vers les technologies de pointe", a déclaré le ministre, connu pour son attachement au moteur franco-allemand, à l'occasion de son premier déplacement de terrain avec son secrétaire d'Etat Benjamin Griveaux.
"Je considère qu'en matière industrielle, même si l'Allemagne a aujourd'hui une avance importante, nous pouvons rattraper les Allemands et créer un tissu industriel très puissant, parce que nous avons un atout, c'est d'être très fort sur la révolution digitale", a-t-il ajouté.
Le ministre LR, qui s'exprimait en marge d'une visite de l'entreprise Erpro & Sprint, à Saint-Leu-la-Forêt dans le Val-d'Oise, a dit qu'il travaillerait "main dans la main" avec son secrétaire d'Etat, un proche d'Emmanuel Macron, afin de "relancer" l'industrie hexagonale.
"L'objectif n'est pas de garder toutes les activités industrielles possibles et inimaginables. L'objectif, c'est de tenir le cap: l'industrie de pointe, de la haute technologie, qui nous permettra de réussir dans la mondialisation", a déclaré le ministre.
"Notre conviction commune, c'est qu'il y a un avenir industriel aujourd'hui dans ce pays", a abondé Benjamin Griveaux, jugeant possible de "pérenniser des emplois non délocalisables" en mettant en place des "écosystèmes vertueux".
Selon l'Insee, la part de l'industrie manufacturière dans la valeur ajoutée totale en France est passée de 22,3% en 1970 à 11,2% en 2014. En Allemagne, la part de l'industrie s'est stabilisée à près de 22% depuis le milieu des années 1990.
"Il faut investir le plus possible dans l'innovation, être capable de porter notre industrie vers les technologies de pointe", a déclaré le ministre, connu pour son attachement au moteur franco-allemand, à l'occasion de son premier déplacement de terrain avec son secrétaire d'Etat Benjamin Griveaux.
"Je considère qu'en matière industrielle, même si l'Allemagne a aujourd'hui une avance importante, nous pouvons rattraper les Allemands et créer un tissu industriel très puissant, parce que nous avons un atout, c'est d'être très fort sur la révolution digitale", a-t-il ajouté.
Le ministre LR, qui s'exprimait en marge d'une visite de l'entreprise Erpro & Sprint, à Saint-Leu-la-Forêt dans le Val-d'Oise, a dit qu'il travaillerait "main dans la main" avec son secrétaire d'Etat, un proche d'Emmanuel Macron, afin de "relancer" l'industrie hexagonale.
"L'objectif n'est pas de garder toutes les activités industrielles possibles et inimaginables. L'objectif, c'est de tenir le cap: l'industrie de pointe, de la haute technologie, qui nous permettra de réussir dans la mondialisation", a déclaré le ministre.
"Notre conviction commune, c'est qu'il y a un avenir industriel aujourd'hui dans ce pays", a abondé Benjamin Griveaux, jugeant possible de "pérenniser des emplois non délocalisables" en mettant en place des "écosystèmes vertueux".
Selon l'Insee, la part de l'industrie manufacturière dans la valeur ajoutée totale en France est passée de 22,3% en 1970 à 11,2% en 2014. En Allemagne, la part de l'industrie s'est stabilisée à près de 22% depuis le milieu des années 1990.