Michel Bourez a accédé pour la première fois au CT en 2009. Depuis, le Tahitien n'a plus quitté l'élite du surf mondial. (Photo : WSL / MATT DUNBAR)
Tahiti, le 17 octobre 2021 - La World Surf League a décidé, vendredi, d'attribuer ses deux injury wild card à l'Américain Kolohe Andino et à l'Australien Owen Wright pour la prochaine saison du CT. Un coup dur pour Michel Bourez qui était également en course pour l'une des deux invitations. Pour retrouver le CT en 2022, le Spartan devra réaliser des exploits sur les deux dernières étapes des Challenger Series.
En 2021, Michel Bourez, 35 ans, bouclait sa 13e saison sur le CT. Un exercice compliqué pour le Tahitien qui n'a jamais pu franchir cette année le stade des huitièmes de finale. Et sa blessure au cou, en juin dernier, l'avait privé d'une étape du tour. À l'arrivée, le Spartan s'est classé hors du top 20 mondial, automatiquement reconduit pour le CT 2022.
Michel Bourez avait alors décidé de formuler une demande "d'injury wild-card" à la World Surf League (WSL) pour espérer décrocher l'une des deux invitations pour le prochain CT. Mais vendredi, la WSL a mis fin aux espoirs du surfeur tahitien, en décidant d'attribuer ses invitations à l'Américain Kolohe Andino et à l'Australien Owen Wright. Une décision plutôt logique puisque Andino et Wright ont raté plus d'étapes cette année, pour causes de blessures, que le Tahitien.
Une demi-finale au moins au Pro France
Pas de passe-droit donc pour l'expérimenté Michel Bourez. Ce dernier devra finir dans le top 12 des Challenger Series pour conserver sa place parmi l'élite du surf mondial. Mais après deux étapes (sur quatre), l'intéressé n'est pas bien embarqué. Avec seulement 1 000 points au compteur (éliminé au round 2 à Huntington Beach et sorti dès le premier tour à Ericeira) Bourez pointe à plus de 7 000 points de ce fameux top 12.
Le vainqueur du Pipe Master en 2016 est ainsi condamné à réaliser deux gros exploits au Pro France, qui a débuté ce week-end à Hossegor, puis à Haleiwa, à Hawaii, fin novembre. Dans les Landes tout d'abord, Michel Bourez devra au moins atteindre les demi-finales pour conserver toutes ses chances de retrouver le CT. Stade de la compétition qu'il n'a jamais atteint au Pro France, malgré trois quarts de finale (2008, 2010 et 2011). La tâche s'annonce donc plus que compliquée.
Rappelons qu'en plus de Michel Bourez, trois autres Tahitiens sont également engagés au Pro France : Vahine Fierro dans le tableau féminin et Mihimana Braye et Kauli Vaast chez les hommes. À noter que les premières séries ont été lancées dans la nuit de vendredi à samedi. Mais faute de bonnes conditions, la compétition ne devrait reprendre que dans la nuit de lundi à mardi.
En 2021, Michel Bourez, 35 ans, bouclait sa 13e saison sur le CT. Un exercice compliqué pour le Tahitien qui n'a jamais pu franchir cette année le stade des huitièmes de finale. Et sa blessure au cou, en juin dernier, l'avait privé d'une étape du tour. À l'arrivée, le Spartan s'est classé hors du top 20 mondial, automatiquement reconduit pour le CT 2022.
Michel Bourez avait alors décidé de formuler une demande "d'injury wild-card" à la World Surf League (WSL) pour espérer décrocher l'une des deux invitations pour le prochain CT. Mais vendredi, la WSL a mis fin aux espoirs du surfeur tahitien, en décidant d'attribuer ses invitations à l'Américain Kolohe Andino et à l'Australien Owen Wright. Une décision plutôt logique puisque Andino et Wright ont raté plus d'étapes cette année, pour causes de blessures, que le Tahitien.
Une demi-finale au moins au Pro France
Pas de passe-droit donc pour l'expérimenté Michel Bourez. Ce dernier devra finir dans le top 12 des Challenger Series pour conserver sa place parmi l'élite du surf mondial. Mais après deux étapes (sur quatre), l'intéressé n'est pas bien embarqué. Avec seulement 1 000 points au compteur (éliminé au round 2 à Huntington Beach et sorti dès le premier tour à Ericeira) Bourez pointe à plus de 7 000 points de ce fameux top 12.
Le vainqueur du Pipe Master en 2016 est ainsi condamné à réaliser deux gros exploits au Pro France, qui a débuté ce week-end à Hossegor, puis à Haleiwa, à Hawaii, fin novembre. Dans les Landes tout d'abord, Michel Bourez devra au moins atteindre les demi-finales pour conserver toutes ses chances de retrouver le CT. Stade de la compétition qu'il n'a jamais atteint au Pro France, malgré trois quarts de finale (2008, 2010 et 2011). La tâche s'annonce donc plus que compliquée.
Rappelons qu'en plus de Michel Bourez, trois autres Tahitiens sont également engagés au Pro France : Vahine Fierro dans le tableau féminin et Mihimana Braye et Kauli Vaast chez les hommes. À noter que les premières séries ont été lancées dans la nuit de vendredi à samedi. Mais faute de bonnes conditions, la compétition ne devrait reprendre que dans la nuit de lundi à mardi.