Tahiti, le 14 juillet 2024 – La célébration du 14-Juillet s’est tenue ce samedi à Papeete, un jour avant la date anniversaire de la Fête nationale. Le haut-commissaire Éric Spitz a martelé un message d’unité nationale lors de l’allocution prononcée pour l’occasion.
C’est une conséquence indirecte de la dissolution de l’Assemblée nationale et des élections législatives anticipées qui lui ont fait suite. À Papeete, la cérémonie commémorative du 14-Juillet s’est tenue la veille, ce samedi, après deux week-ends d’élection qui ont mobilisé une part importante des agents de l’État, les dimanches 30 juin et 7 juillet. Mais outre la date anniversaire, le 14-Juillet est depuis l’instauration de cette Fête nationale, en 1880, l’occasion de rappeler à tous dans un instant solennel et populaire, les vertus du service, de l’engagement et de l’esprit de sacrifice.
La commémoration de la Fête nationale à Papeete a été présidée par le haut-commissaire Éric Spitz, aux côtés des autorités de l’État et du Pays, des communes, des acteurs du territoire, des anciens combattants et de la population venue assister à la cérémonie. La cérémonie a débuté à 9h45, au Monument aux Morts de Papeete et sur l’avenue Pouvana’a a Oopa par une remise des décorations à 13 récipiendaires. Un défilé à pied, d’environ 400 agents de la gendarmerie nationale, de la Direction territoriale de la police nationale (DTPN), du Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique – Polynésie (RIMaP-P), du Régiment du service militaire adapté de Polynésie française (RSMA), de la Base navale, du Groupement aéronautique militaire (GAM), du détachement Air 190, du groupement de Soutien de la Base de Défense (GSBdD), de la Direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information (DIRISI), de la Direction des insfrastructures de la Défense (DID), de la direction interarmées du service de santé des armées (DIASS), de l’Administration pénitentiaire (Papeari et Faa'a), de sapeurs- pompiers, du Service d'accueil de sécurité de la Présidence et du Service national universel. Cette procession a été complétée par un défilé motorisé composé de plus d’une quarantaine de véhicules de la gendarmerie nationale, de la DTPN, du RIMaP-P, du RSMA, de la DICOM, de la DIASS, du Nedex, de l’administration pénitentiaire, des sapeurs-pompiers et de la protection civile.
Message d’unité populaire
Un défilé aérien est venu clore le défilé militaire avec le Gardian, l’hélicoptère dauphin interministériel et le Casa notamment qui opèrent des opérations de secours et de sauvetage ainsi que des opérations de surveillance et d’intervention.
Le haut-commissaire Éric Spitz a saisi samedi l’opportunité de cette commémoration pour en rappeler l’esprit en insistant sur un message d’unité populaire au sein de la Nation française : “Nous sommes un Peuple !, a-t-il martelé dans une allocution structurée autour de cette anaphore, et nous reconnaissons chacune des langues, des patrimoines et des cultures de France, celles de Polynésie et celles de Nouvelle- Calédonie, celles de Guyane, de Corse, de Bretagne et d’Alsace ou du Pays basque, toutes les langues de France de tous les Océans, toutes les langues de France de tous les continents. C’est bien cela la première richesse de la France, la richesse de sa diversité culturelle, la richesse de chacune de ses cultures, de ses mémoires et de ses patrimoines, la richesse en définitive de tous les peuples qui la composent. Toutes nos cultures, tous nos patrimoines, toutes nos mémoires et tous nos héritages.”
C’est une conséquence indirecte de la dissolution de l’Assemblée nationale et des élections législatives anticipées qui lui ont fait suite. À Papeete, la cérémonie commémorative du 14-Juillet s’est tenue la veille, ce samedi, après deux week-ends d’élection qui ont mobilisé une part importante des agents de l’État, les dimanches 30 juin et 7 juillet. Mais outre la date anniversaire, le 14-Juillet est depuis l’instauration de cette Fête nationale, en 1880, l’occasion de rappeler à tous dans un instant solennel et populaire, les vertus du service, de l’engagement et de l’esprit de sacrifice.
La commémoration de la Fête nationale à Papeete a été présidée par le haut-commissaire Éric Spitz, aux côtés des autorités de l’État et du Pays, des communes, des acteurs du territoire, des anciens combattants et de la population venue assister à la cérémonie. La cérémonie a débuté à 9h45, au Monument aux Morts de Papeete et sur l’avenue Pouvana’a a Oopa par une remise des décorations à 13 récipiendaires. Un défilé à pied, d’environ 400 agents de la gendarmerie nationale, de la Direction territoriale de la police nationale (DTPN), du Régiment d’Infanterie de Marine du Pacifique – Polynésie (RIMaP-P), du Régiment du service militaire adapté de Polynésie française (RSMA), de la Base navale, du Groupement aéronautique militaire (GAM), du détachement Air 190, du groupement de Soutien de la Base de Défense (GSBdD), de la Direction interarmées des réseaux d’infrastructure et des systèmes d’information (DIRISI), de la Direction des insfrastructures de la Défense (DID), de la direction interarmées du service de santé des armées (DIASS), de l’Administration pénitentiaire (Papeari et Faa'a), de sapeurs- pompiers, du Service d'accueil de sécurité de la Présidence et du Service national universel. Cette procession a été complétée par un défilé motorisé composé de plus d’une quarantaine de véhicules de la gendarmerie nationale, de la DTPN, du RIMaP-P, du RSMA, de la DICOM, de la DIASS, du Nedex, de l’administration pénitentiaire, des sapeurs-pompiers et de la protection civile.
Message d’unité populaire
Un défilé aérien est venu clore le défilé militaire avec le Gardian, l’hélicoptère dauphin interministériel et le Casa notamment qui opèrent des opérations de secours et de sauvetage ainsi que des opérations de surveillance et d’intervention.
Le haut-commissaire Éric Spitz a saisi samedi l’opportunité de cette commémoration pour en rappeler l’esprit en insistant sur un message d’unité populaire au sein de la Nation française : “Nous sommes un Peuple !, a-t-il martelé dans une allocution structurée autour de cette anaphore, et nous reconnaissons chacune des langues, des patrimoines et des cultures de France, celles de Polynésie et celles de Nouvelle- Calédonie, celles de Guyane, de Corse, de Bretagne et d’Alsace ou du Pays basque, toutes les langues de France de tous les Océans, toutes les langues de France de tous les continents. C’est bien cela la première richesse de la France, la richesse de sa diversité culturelle, la richesse de chacune de ses cultures, de ses mémoires et de ses patrimoines, la richesse en définitive de tous les peuples qui la composent. Toutes nos cultures, tous nos patrimoines, toutes nos mémoires et tous nos héritages.”