PAPEETE, le 22 octobre 2016. Le ministre de l’Economie bleue, Teva Rohfritsch, a clôturé, vendredi, le premier Forum de la perle qui a réuni près d’une centaine de professionnels de ce secteur d’activités, les 20 et 21 octobre, dans l’amphithéâtre de la CCISM (Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers), à Papeete.
Ce forum entièrement dédié à la perle de culture de Tahiti a été organisé à l’initiative de l’association de promotion des produits perliers, « Tahitian pearl association of French Polynesia » (TPAFP), présidée par Aline Baldassari-Bernard, avec le soutien de la CCISM et Air Tahiti Nui.
Huits intervenant se sont succédé au cours de deux journées d’échanges sur des thématiques de recherche et de développement, de suivi sanitaire et environnemental, et de commercialisation de la perle en particulier sur le marché nord-américain grâce à la présence de Etienne Perret, gemmologue américain.
Le ministre est notamment revenu sur le projet de réforme de la réglementation du secteur perlicole qui répond aux grands principes suivants : réguler la production par des quotas fixés à l’échelle du Pays, adapter la classification des produits aux pratiques des marchés, encadrer les activités des professionnels de la filière, et aussi mettre en œuvre une démarche de développement durable pour la protection des lagons et le recyclage des déchets.
Ce forum entièrement dédié à la perle de culture de Tahiti a été organisé à l’initiative de l’association de promotion des produits perliers, « Tahitian pearl association of French Polynesia » (TPAFP), présidée par Aline Baldassari-Bernard, avec le soutien de la CCISM et Air Tahiti Nui.
Huits intervenant se sont succédé au cours de deux journées d’échanges sur des thématiques de recherche et de développement, de suivi sanitaire et environnemental, et de commercialisation de la perle en particulier sur le marché nord-américain grâce à la présence de Etienne Perret, gemmologue américain.
Le ministre est notamment revenu sur le projet de réforme de la réglementation du secteur perlicole qui répond aux grands principes suivants : réguler la production par des quotas fixés à l’échelle du Pays, adapter la classification des produits aux pratiques des marchés, encadrer les activités des professionnels de la filière, et aussi mettre en œuvre une démarche de développement durable pour la protection des lagons et le recyclage des déchets.