TAHITI, le 30 juillet 2023 - Justine Russo, infirmière de formation, a suivi une formation de photographe. Elle met son savoir et son expérience au service des femmes pour les aider à surmonter des épreuves. Elle reçoit des vahine en surpoids par exemple, d’autres vivent des difficultés dans leur couple ou bien sont victimes de violence. En posant un autre regard sur elles, la photographe les accompagne.
Elle a appelé son concept "glamour". Justine, photographe, invite les femmes à une prise de vue qui doit leur permettre de s’accepter, quelles que soient les difficultés, quelles que soient leurs situations. Elle est partie du principe que, tout au long de leur, elles ont à traverser de nombreuses épreuves qui peuvent entrainer un réel mal-être. Elles ont à subir la pression de la société. Elle cite la prise ou la perte de poids importantes, le dérèglement hormonal, la grossesse, l’accouchement et toutes les modifications que cela entraîne, un divorce, une perte d’emploi. "Je reçois aussi très régulièrement des femmes battues ou maltraitées psychologiquement, des femmes qui souffrent." Pour toutes ces vahine en perte de confiance, elle a conçu une prestation particulière et adaptée.
Elle a appelé son concept "glamour". Justine, photographe, invite les femmes à une prise de vue qui doit leur permettre de s’accepter, quelles que soient les difficultés, quelles que soient leurs situations. Elle est partie du principe que, tout au long de leur, elles ont à traverser de nombreuses épreuves qui peuvent entrainer un réel mal-être. Elles ont à subir la pression de la société. Elle cite la prise ou la perte de poids importantes, le dérèglement hormonal, la grossesse, l’accouchement et toutes les modifications que cela entraîne, un divorce, une perte d’emploi. "Je reçois aussi très régulièrement des femmes battues ou maltraitées psychologiquement, des femmes qui souffrent." Pour toutes ces vahine en perte de confiance, elle a conçu une prestation particulière et adaptée.
Infirmière de formation, Justine a changé de vie. Elle est devenue photographe et coach en développement personnel.
La photographe est infirmière de formation, elle a quitté son métier qu’elle ne pouvait plus, selon elle, exercer de bonnes conditions. La période du covid a été le déclencheur, "j’ai eu envie de me concentrer sur les valeurs qui m’animent". Voilà un moment que l’infirmière ne trouvait plus ce qui avait fait naître sa vocation. Elle a également, en plus de la photographie, fait la démarche de devenir coach certifiée en développement personnel pour apprendre à écouter.
Reprendre confiance
Sa séance "glamour" commence par une prise de contact téléphonique. Justine décrit le déroulé, les étapes, les objectifs et moyens d’y parvenir. Elle parle des tenues à préparer, des couleurs à privilégier, le rouge, le blanc, le noir. Le jour J, tout commence par un entretien.
L’entretien a pour but "de les aider à reprendre confiance en elles. C’est un pas de plus vers l’acceptation de soi, elles viennent chercher un temps pour elles. Elles ont envie de se réapproprier leur corps, avec leurs atouts et leurs imperfections. C’est une invitation à l’indulgence. Elles prennent conscience petit à petit qu’elles sont capables de surmonter les épreuves qu’elles traversent", explique Justine. Pendant la discussion, "elles se livrent, elles se sentent écoutées, considérées, simplement acceptées telles qu’elles sont. Ce temps-là est indispensable pour leur mise en confiance".
Reprendre confiance
Sa séance "glamour" commence par une prise de contact téléphonique. Justine décrit le déroulé, les étapes, les objectifs et moyens d’y parvenir. Elle parle des tenues à préparer, des couleurs à privilégier, le rouge, le blanc, le noir. Le jour J, tout commence par un entretien.
L’entretien a pour but "de les aider à reprendre confiance en elles. C’est un pas de plus vers l’acceptation de soi, elles viennent chercher un temps pour elles. Elles ont envie de se réapproprier leur corps, avec leurs atouts et leurs imperfections. C’est une invitation à l’indulgence. Elles prennent conscience petit à petit qu’elles sont capables de surmonter les épreuves qu’elles traversent", explique Justine. Pendant la discussion, "elles se livrent, elles se sentent écoutées, considérées, simplement acceptées telles qu’elles sont. Ce temps-là est indispensable pour leur mise en confiance".
Selon la photographe, cette photographie de Méline pourrait s’intituler "mon combat contre moi-même".
La séance photo se déroule ensuite en toute intimité dans un studio (à Fare Ute à partir du 1er août) ou en pleine nature. "On opte pour des tenues qui font ressortir la féminité, la sensualité et bien souvent, le corps se met à nu. Comme un retour à l’essentiel…" Rien n’est jamais imposé. La prise de vue évolue en fonction du ressenti de chaque femme, selon leur rythme et leur envie ou non à s’exposer.
Justine retrouve la dimension "thérapeutique" de son ancien métier. Elle parle de photo-thérapie. "C’est ma manière de prendre soin des autres autrement. Les femmes que je reçois se sentent rassurées de connaitre mon rapport au corps et à la nudité : sans tabou ni jugement". La photographe affirme travailler avec beaucoup de bienveillance. "Je leur offre un moment de libération, d’expression où elles réussissent, malgré leur stress, à apprécier leur moment sous la lumière." Un lien se tisse.
Déclic
Le choix des photos se fait lors d’un dernier rendez-vous. "Je tiens à voir l’effet que les images provoquent, on parle ensemble de ce que les femmes voient, de ce qu’elles ressentent", indique Justine. Souvent cela fait l’effet d’un déclic, "presque un électrochoc". Enfin, la sélection d’images est ensuite retouchée puis envoyée.
Justine retrouve la dimension "thérapeutique" de son ancien métier. Elle parle de photo-thérapie. "C’est ma manière de prendre soin des autres autrement. Les femmes que je reçois se sentent rassurées de connaitre mon rapport au corps et à la nudité : sans tabou ni jugement". La photographe affirme travailler avec beaucoup de bienveillance. "Je leur offre un moment de libération, d’expression où elles réussissent, malgré leur stress, à apprécier leur moment sous la lumière." Un lien se tisse.
Déclic
Le choix des photos se fait lors d’un dernier rendez-vous. "Je tiens à voir l’effet que les images provoquent, on parle ensemble de ce que les femmes voient, de ce qu’elles ressentent", indique Justine. Souvent cela fait l’effet d’un déclic, "presque un électrochoc". Enfin, la sélection d’images est ensuite retouchée puis envoyée.