NEW YORK, 18 juil 2012 - Le musée de la Mer, de l'Air et de l'Espace de New York ouvre au public jeudi sa dernière acquisition, la navette spatiale Enterprise, prototype qu'il sera possible d'admirer de l'extérieur et d'en-dessous.
Enterprise, qui a servi de prototype depuis 1976 pour les autres navettes et a été retirée de la flotte de l'agence spatiale américaine (NASA) cette année, a été installée sur la piste d'atterrissage du porte-avions Intrepid, à trois mètres de hauteur, dans un pavillon en forme de dôme. Les visiteurs pourront profiter d'une vue panoramique ou bien en contre-plongée.
Ce vaisseau avait effectué en avril un dernier voyage spectaculaire, survolant New York sur le dos d'un Boeing 747 modifié.
L'inauguration aura lieu jeudi en présence du patron de la NASA Charles Bolden, de la présidente du musée Susan Marenoff-Zausner et de trois anciens pilotes de la navette (qui en a connu quatre). Ce sera aussi l'occasion de voir des expositions et des démonstrations pédagogiques présentées par la NASA lors d'un festival de l'espace de cinq jours.
Enterprise était la première navette américaine. Achevée en 1976, elle a seulement été utilisée pour tester les capacités de l'orbiteur à voler dans l'atmosphère.
Elle était exposée auparavant dans l'annexe du Musée national de l'Air et de l'Espace de Washington. Le programme de vols spatiaux de la NASA a été finalisé l'été dernier, après trois décennies d'activité.
Les trois autres navettes américaines désormais à la retraite, Discovery, Endeavour et Atlantis, sont exposées dans plusieurs villes suite à une bataille serrée pour savoir lesquelles allaient les accueillir.
Au final, Endeavour et Atlantis finiront leurs jours respectivement au centre des Sciences de Los Angeles (California Science Center) et au Centre Kennedy de Floride (Kennedy Space Center). Discovery a de son côté été rapatriée près de Washington, au centre Steven F. Udvar-Hazy, une annexe du musée de l'Air et de l'Espace de la capitale.
Les deux autres navettes du programme ont été détruites dans des catastrophes: Challenger en 1986 peu après son lancement, et Columbia en 2003 lors de son retour dans l'atmosphère, tuant au total treize astronautes.
Enterprise, qui a servi de prototype depuis 1976 pour les autres navettes et a été retirée de la flotte de l'agence spatiale américaine (NASA) cette année, a été installée sur la piste d'atterrissage du porte-avions Intrepid, à trois mètres de hauteur, dans un pavillon en forme de dôme. Les visiteurs pourront profiter d'une vue panoramique ou bien en contre-plongée.
Ce vaisseau avait effectué en avril un dernier voyage spectaculaire, survolant New York sur le dos d'un Boeing 747 modifié.
L'inauguration aura lieu jeudi en présence du patron de la NASA Charles Bolden, de la présidente du musée Susan Marenoff-Zausner et de trois anciens pilotes de la navette (qui en a connu quatre). Ce sera aussi l'occasion de voir des expositions et des démonstrations pédagogiques présentées par la NASA lors d'un festival de l'espace de cinq jours.
Enterprise était la première navette américaine. Achevée en 1976, elle a seulement été utilisée pour tester les capacités de l'orbiteur à voler dans l'atmosphère.
Elle était exposée auparavant dans l'annexe du Musée national de l'Air et de l'Espace de Washington. Le programme de vols spatiaux de la NASA a été finalisé l'été dernier, après trois décennies d'activité.
Les trois autres navettes américaines désormais à la retraite, Discovery, Endeavour et Atlantis, sont exposées dans plusieurs villes suite à une bataille serrée pour savoir lesquelles allaient les accueillir.
Au final, Endeavour et Atlantis finiront leurs jours respectivement au centre des Sciences de Los Angeles (California Science Center) et au Centre Kennedy de Floride (Kennedy Space Center). Discovery a de son côté été rapatriée près de Washington, au centre Steven F. Udvar-Hazy, une annexe du musée de l'Air et de l'Espace de la capitale.
Les deux autres navettes du programme ont été détruites dans des catastrophes: Challenger en 1986 peu après son lancement, et Columbia en 2003 lors de son retour dans l'atmosphère, tuant au total treize astronautes.