La perliculture, l’un des piliers du secteur productif, seconde ressource du Pays, demeure une filière qui suscite encore des vocations chez les jeunes polynésiens désireux d’apprendre un nouveau métier ou de se perfectionner, pour acquérir de nouvelles aptitudes professionnelles. C’est ainsi qu’une douzaine de stagiaires, demandeurs d’emploi inscrits au SEFI, suivent actuellement une formation de remise à niveau dispensée par « FPS formation » . Tous sont inscrits à la session de formation professionnelle 2011/2012 du Centre des Métiers de la Nacre et de la Perle (CMNP) basé à Rangiroa.
Dans le cadre de leur cursus, et afin de mieux cerner l’environnement de la filière perlicole, les stagiaires ont été accueillis par Hinano TEANOTOGA, chef de cabinet du ministère en charge de la perliculture, Anne Sandrine TALFER, chef du service de la perliculture et Ingrid IZQUIERDO, directrice de la Maison de la perle, afin de visiter la cellule du contrôle de la qualité au service de la perliculture, ainsi que les locaux de la maison de la perle, et en particulier sa cellule de tri et d’accompagnement à la commercialisation.
Dans le cadre de leur cursus, et afin de mieux cerner l’environnement de la filière perlicole, les stagiaires ont été accueillis par Hinano TEANOTOGA, chef de cabinet du ministère en charge de la perliculture, Anne Sandrine TALFER, chef du service de la perliculture et Ingrid IZQUIERDO, directrice de la Maison de la perle, afin de visiter la cellule du contrôle de la qualité au service de la perliculture, ainsi que les locaux de la maison de la perle, et en particulier sa cellule de tri et d’accompagnement à la commercialisation.
Il leur a été aussi présenté, les missions du service de la perliculture, les procédures et les outils tels que les machines à rayon X pour le contrôle de la couche nacrière, mis en place par le Pays. La Maison de la perle accompagne les perliculteurs dans la valorisation de la production par des opérations de tri, de classification et de labellisation des perles, sa fonction principale restant la promotion de la perle de culture de Tahiti.
Les métiers de la filière sont nombreux : du producteur d’huîtres perlières au greffeur, en passant par le négociant et le bijoutier. A chaque niveau, une formation et une spécialisation sont indispensables. La formation professionnelle est un atout essentiel pour accéder au marché du travail ou pour créer de sa propre exploitation.
Le ministre en charge de la perliculture, Temauri Foster, actuellement en déplacement en Nouvelle Calédonie, a néanmoins souhaité adresser aux stagiaires du CMNP le message suivant : « La perliculture est une activité qui nécessite de la compétence, du travail, du sérieux, et surtout de la volonté et de la motivation. Il vous appartient donc de suivre votre formation avec détermination et engagement, pour que demain vous puissiez trouver un emploi ou créer votre propre exploitation perlicole ».
Se destinant à une carrière de greffeur, certains stagiaires reprendront l’exploitation familiale, alors que d’autres, de part leur motivation et leur dextérité seront amené à faire leurs preuves dans différentes fermes perlières. Pour la plupart d’entre eux, malgré une conjoncture du secteur perlicole défavorable, leur souhait est de réaliser « un rêve d’enfant », celui de créer une gemme unique.
CMNP (Centre des métiers de la nacre et de la perle)
Le Centre des Métiers de la Nacre et de la Perliculture (CMNP), dont la construction a été financée par le 5ème Fonds Européen de Développement (FED), est une école de formation professionnelle aux métiers de la perliculture. Cette formation est confiée au service de la perliculture, par délibération n° 88-185 du 8 décembre 1988. Il accueille actuellement 23 élèves stagiaires.
Les métiers de la filière sont nombreux : du producteur d’huîtres perlières au greffeur, en passant par le négociant et le bijoutier. A chaque niveau, une formation et une spécialisation sont indispensables. La formation professionnelle est un atout essentiel pour accéder au marché du travail ou pour créer de sa propre exploitation.
Le ministre en charge de la perliculture, Temauri Foster, actuellement en déplacement en Nouvelle Calédonie, a néanmoins souhaité adresser aux stagiaires du CMNP le message suivant : « La perliculture est une activité qui nécessite de la compétence, du travail, du sérieux, et surtout de la volonté et de la motivation. Il vous appartient donc de suivre votre formation avec détermination et engagement, pour que demain vous puissiez trouver un emploi ou créer votre propre exploitation perlicole ».
Se destinant à une carrière de greffeur, certains stagiaires reprendront l’exploitation familiale, alors que d’autres, de part leur motivation et leur dextérité seront amené à faire leurs preuves dans différentes fermes perlières. Pour la plupart d’entre eux, malgré une conjoncture du secteur perlicole défavorable, leur souhait est de réaliser « un rêve d’enfant », celui de créer une gemme unique.
CMNP (Centre des métiers de la nacre et de la perle)
Le Centre des Métiers de la Nacre et de la Perliculture (CMNP), dont la construction a été financée par le 5ème Fonds Européen de Développement (FED), est une école de formation professionnelle aux métiers de la perliculture. Cette formation est confiée au service de la perliculture, par délibération n° 88-185 du 8 décembre 1988. Il accueille actuellement 23 élèves stagiaires.