SYDNEY, 3 août 2011 (AFP) - La police australienne a réussi mercredi à mettre hors de danger une jeune fille sous la menace pendant dix heures d'un "engin suspect", qui aurait été attaché à son cou, selon certains médias.
La police avait été alertée par cette lycéenne de 18 ans, habitant à Mosman, une banlieue huppée de Sydney, et qui appartiendrait à l'une des plus riches familles de la ville.
Il a fallu dix heures aux experts de la police pour libérer la jeune fille de cet engin "très complexe et sophistiqué", selon le commissaire adjoint Mark Murdoch, cité par l'agence australienne AAP.
Deux négociateurs de la police sont restés avec elle pendant toute la durée de cette épreuve "très, très difficile", a-t-il ajouté, précisant qu'elle n'avait pas encore été autorisée à parler à ses parents du fait des nécessités de l'enquête.
Les maisons voisines avaient été évacuées et les rues bloquées durant l'opération de police, a ajouté l'agence.
"Nous ignorons encore si cet engin était explosif", a dit M. Murdoch, en refusant de préciser s'il s'agissait d'une affaire d'extorsion de fonds.
"La famille ne sait comment expliquer tout ça, mais on ne voit pas pourquoi quelqu'un prendrait la peine de faire tout cela s'il n'y avait pas un mobile", a déclaré M. Murdoch cité par l'agence.
"La famille a traversé une épreuve que personne ne souhaite endurer (...) mais ils ont remarquablement tenu le coup", a-t-il ajouté.
Selon le Sydney Morning Herald, un homme, visage masqué par une cagoule, a pénétré dans la maison au cours de l'après-midi et a placé l'engin suspect sur la jeune fille.
D'autres informations de presse font état d'une demande de rançon attachée à son cou, le Sydney Daily Telegraph citant un officier de police selon lequel il s'agissait d'une "bombe collier".
La jeune fille a été identifiée dans plusieurs medias comme Madeleine Pulver et son père serait le PDG d'une compagnie informatique.
La division des crimes graves et des cambriolages, qui traite aussi des cas d'extorsion d'argent, mène l'enquête.
mp/jah/jls/ih
La police avait été alertée par cette lycéenne de 18 ans, habitant à Mosman, une banlieue huppée de Sydney, et qui appartiendrait à l'une des plus riches familles de la ville.
Il a fallu dix heures aux experts de la police pour libérer la jeune fille de cet engin "très complexe et sophistiqué", selon le commissaire adjoint Mark Murdoch, cité par l'agence australienne AAP.
Deux négociateurs de la police sont restés avec elle pendant toute la durée de cette épreuve "très, très difficile", a-t-il ajouté, précisant qu'elle n'avait pas encore été autorisée à parler à ses parents du fait des nécessités de l'enquête.
Les maisons voisines avaient été évacuées et les rues bloquées durant l'opération de police, a ajouté l'agence.
"Nous ignorons encore si cet engin était explosif", a dit M. Murdoch, en refusant de préciser s'il s'agissait d'une affaire d'extorsion de fonds.
"La famille ne sait comment expliquer tout ça, mais on ne voit pas pourquoi quelqu'un prendrait la peine de faire tout cela s'il n'y avait pas un mobile", a déclaré M. Murdoch cité par l'agence.
"La famille a traversé une épreuve que personne ne souhaite endurer (...) mais ils ont remarquablement tenu le coup", a-t-il ajouté.
Selon le Sydney Morning Herald, un homme, visage masqué par une cagoule, a pénétré dans la maison au cours de l'après-midi et a placé l'engin suspect sur la jeune fille.
D'autres informations de presse font état d'une demande de rançon attachée à son cou, le Sydney Daily Telegraph citant un officier de police selon lequel il s'agissait d'une "bombe collier".
La jeune fille a été identifiée dans plusieurs medias comme Madeleine Pulver et son père serait le PDG d'une compagnie informatique.
La division des crimes graves et des cambriolages, qui traite aussi des cas d'extorsion d'argent, mène l'enquête.
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