La Dépêche est en grève depuis le 22 février.
Papeete, le 6 mars 2018- "On a rencontré lundi matin Monsieur Auroy, on pensait enfin avoir des négociations, mais mais en réalité c'était plus une rencontre pour tâter le terrain. Il cherchait apparemment à comprendre les raison de ce dépôt de grève. Il n'y a donc toujours pas eu de négociations, c'était juste une entrevue, une discussion pour essayer de sonder les uns les autres. On est resté sur nos positions. Pour l'instant il n'y a pas d'avancées", souligne Stanley Sandford, délégué du personnel gréviste.
Et après 12 jours de grève, il semble en effet que le conflit s'enlise à la Dépêche et que les négociations n'aient toujours pas commencé entre la Direction et les grévistes qui demandent le respect des termes du protocole de fin de conflit signé le 30 novembre dernier.
Interrogé lundi 5 mars sur le plateau de Polynésie la 1ère, Dominique Auroy a estimé qu'il y a peu de solutions pour sauver l'imprimerie. "Nous avons deux alternatives : la moderniser ou la sous-traiter à l'extérieur. La moderniser ne nous paraît pas possible, nous discutons pour voir quelle sera la meilleure solution tant technique que sociale".
Le journal est toutefois disponible en version numérique.
Et après 12 jours de grève, il semble en effet que le conflit s'enlise à la Dépêche et que les négociations n'aient toujours pas commencé entre la Direction et les grévistes qui demandent le respect des termes du protocole de fin de conflit signé le 30 novembre dernier.
Interrogé lundi 5 mars sur le plateau de Polynésie la 1ère, Dominique Auroy a estimé qu'il y a peu de solutions pour sauver l'imprimerie. "Nous avons deux alternatives : la moderniser ou la sous-traiter à l'extérieur. La moderniser ne nous paraît pas possible, nous discutons pour voir quelle sera la meilleure solution tant technique que sociale".
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