Tahiti, le 21 mai 2024 – Pendant deux jours, l'assemblée de Polynésie française accueille différents experts venus de Métropole et du Canada pour parler déontologie et préventions des conflits d'intérêts aux représentants de Tarahoi, mais aussi aux élus de proximité comme les tāvana et les conseillers municipaux.
Pendant deux journées ce mardi et mercredi, l'hémicycle de Tarahoi accueille un séminaire dédié à la déontologie. La déontologie est un concept plutôt abstrait pour le Polynésien, comme l'a expliqué Antony Géros qui souhaite mettre en place un comité de déontologie à l'assemblée et “poser les premiers jalons” d'un code de déontologie. Ce séminaire a donc pour objectif d'aider les élus de l'assemblée, mais aussi les parlementaires et les maires à mieux appréhender leurs obligations en matière de transparence, en identifiant des situations qui pourraient engager leur responsabilité civile, voire pénale.
Pour les épauler, différents intervenants venus de Métropole comme le déontologue de l'Assemblée nationale Jean-Éric Gicquel, Julie Joliy-Hurard et Jordanne Mathieu de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, Christophe Pallez, référent déontologue auprès des collectivités territoriales, ou encore Lyne Robinson-Dalpé du commissariat aux conflits d'intérêts et à l'éthique du Candada. Les après-midis sont consacrés à des ateliers pratiques avec des cas concrets de dilemmes éthiques auxquels les élus pourraient être confrontés pendant leur mandature.
Pendant deux journées ce mardi et mercredi, l'hémicycle de Tarahoi accueille un séminaire dédié à la déontologie. La déontologie est un concept plutôt abstrait pour le Polynésien, comme l'a expliqué Antony Géros qui souhaite mettre en place un comité de déontologie à l'assemblée et “poser les premiers jalons” d'un code de déontologie. Ce séminaire a donc pour objectif d'aider les élus de l'assemblée, mais aussi les parlementaires et les maires à mieux appréhender leurs obligations en matière de transparence, en identifiant des situations qui pourraient engager leur responsabilité civile, voire pénale.
Pour les épauler, différents intervenants venus de Métropole comme le déontologue de l'Assemblée nationale Jean-Éric Gicquel, Julie Joliy-Hurard et Jordanne Mathieu de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, Christophe Pallez, référent déontologue auprès des collectivités territoriales, ou encore Lyne Robinson-Dalpé du commissariat aux conflits d'intérêts et à l'éthique du Candada. Les après-midis sont consacrés à des ateliers pratiques avec des cas concrets de dilemmes éthiques auxquels les élus pourraient être confrontés pendant leur mandature.