Paris, France | AFP | jeudi 28/09/2017 - Des toitures avec vue sur la tour Eiffel, une terrasse de la Sorbonne et des locaux désaffectés du métro, sont quelques uns des 43 sites proposés jeudi à des projets d'agriculture urbaine dans le cadre de la deuxième saison de l'opération "Parisculteurs" pilotée par la mairie de Paris.
Dix hectares de toitures-terrasses et quelques sous-sols, à Paris et aussi pour la première fois en Seine-Saint-Denis, s'ajoutent aux cinq hectares proposés l'an dernier aux architectes, agriculteurs, paysagistes ou associations qui veulent développer un projet de végétalisation.
Il s'agit de "végétaliser et cultiver la ville, pas pour rendre Paris alimentairement autonome, mais avec un objectif environnemental, de développement de lien social, de vente en circuit court. On est dans un cercle très vertueux", a indiqué Pénélope Komitès, adjointe aux Espaces Verts de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, en présentant cette deuxième édition.
Un total de 32 sites avaient été retenus l'an dernier, dont 6 sont actuellement en fonctionnement, a indiqué l'élue parisienne qui estime qu'"on peut arriver à une centaine d'hectares de végétalisation sur les toits de Paris. Nous sommes en train de recenser les gisements non-exploités".
Pour cette nouvelle édition d'appels à projets, dont les lauréats seront annoncés à la mi-2018, la quasi-totalité des 20 arrondissements parisiens sont représentés, plus trois sites en Seine-Saint-Denis, pour des sites proposés en majeure partie par des institutionnels (Ville, bailleurs sociaux, écoles, musées, etc.) et quelques co-propriétés.
Le Centre Pompidou offre ainsi 280 m2 dans une propriété voisine du Centre lui-même, 900 m2 de terrasse de l'université Panthéon-Sorbonne proposent une vue exceptionnelle sur les monuments parisiens, le groupe de luxe LVMH met à disposition deux terrasses avec vue sur la tour Eiffel.
5.000 m2 pourront être cultivés en sous-sol dans une ancienne boucle de retournement de la ligne 3 du métro, sous le parc Monceau, et des milliers d'autres mètres carrés de surface sont disponibles sur des collèges, l'hippodrome de Paris de Vincennes, le siège de la Réunion des Musées Nationaux, un toit de supermarché, l'hôpital Robert-Debré ou la Bourse du Travail à Saint-Denis. Un mur devra être dédié à la culture du houblon.
Dix hectares de toitures-terrasses et quelques sous-sols, à Paris et aussi pour la première fois en Seine-Saint-Denis, s'ajoutent aux cinq hectares proposés l'an dernier aux architectes, agriculteurs, paysagistes ou associations qui veulent développer un projet de végétalisation.
Il s'agit de "végétaliser et cultiver la ville, pas pour rendre Paris alimentairement autonome, mais avec un objectif environnemental, de développement de lien social, de vente en circuit court. On est dans un cercle très vertueux", a indiqué Pénélope Komitès, adjointe aux Espaces Verts de la maire PS de Paris Anne Hidalgo, en présentant cette deuxième édition.
Un total de 32 sites avaient été retenus l'an dernier, dont 6 sont actuellement en fonctionnement, a indiqué l'élue parisienne qui estime qu'"on peut arriver à une centaine d'hectares de végétalisation sur les toits de Paris. Nous sommes en train de recenser les gisements non-exploités".
Pour cette nouvelle édition d'appels à projets, dont les lauréats seront annoncés à la mi-2018, la quasi-totalité des 20 arrondissements parisiens sont représentés, plus trois sites en Seine-Saint-Denis, pour des sites proposés en majeure partie par des institutionnels (Ville, bailleurs sociaux, écoles, musées, etc.) et quelques co-propriétés.
Le Centre Pompidou offre ainsi 280 m2 dans une propriété voisine du Centre lui-même, 900 m2 de terrasse de l'université Panthéon-Sorbonne proposent une vue exceptionnelle sur les monuments parisiens, le groupe de luxe LVMH met à disposition deux terrasses avec vue sur la tour Eiffel.
5.000 m2 pourront être cultivés en sous-sol dans une ancienne boucle de retournement de la ligne 3 du métro, sous le parc Monceau, et des milliers d'autres mètres carrés de surface sont disponibles sur des collèges, l'hippodrome de Paris de Vincennes, le siège de la Réunion des Musées Nationaux, un toit de supermarché, l'hôpital Robert-Debré ou la Bourse du Travail à Saint-Denis. Un mur devra être dédié à la culture du houblon.