Spécialiste du diagnostic territorial, cette société métropolitaine est mandatée par l’Agence Publique pour l’Immobilier de la Justice (APIJ) aux fins de réaliser l’étude d’impact économique du projet de centre pénitencier de Papeari pour la mi-octobre 2010.
Présent à Tahiti du 20 au 23 septembre, monsieur BESSEAU ira à la rencontre des principaux acteurs publics engagés dans ce projet. Il s’attachera à recueillir toutes les informations relatives à l’environnement urbanistique du futur centre pénitentiaire, ainsi que toutes les données économiques et sociales à l’échelle de la commune et du pays. La carence de données statistiques dont souffre son étude devrait être très rapidement comblée par les services de l’administration de l’État et du Pays. Le Haut-commissaire et certains ministres du gouvernement l’ont déjà reçu.
Le projet de centre de détention de Papeari ne fait pas l’unanimité et suscite la controverse. De nombreux riverains ont manifesté leur opposition au projet. Il faudra faire preuve de beaucoup de patience et de diplomatie pour que la population de Papeari accepte le projet et prenne conscience de son bienfondé et des retombées positives qui profiteront à tous.
Nuutania est le plus peuplé et le plus vétuste des centres pénitenciers français. Ce nouveau centre constituerait la véritable solution au problème de surpopulation carcérale de Nuutania, malgré la mise en place récente des bracelets électroniques.
D’un coût évalué à 11 milliards Fcfp, le futur centre pénitencier, d’une capacité d’accueil de 400 détenus, serait construit sur un domaine foncier de 14 hectares situé sur les hauts de la Baie de Phaëton. D’après monsieur BESSEAU, un soin particulier sera apporté à l’architecture même du bâtiment pour une intégration réussie dans son environnement naturel. La durée des travaux est estimée à 2 ans et le démarrage du chantier pourrait intervenir en 2011 si toutes les études de faisabilité étaient achevées.
La Présidente du CESC a insisté pour que les entreprises polynésiennes soient sollicitées pour ce grand chantier. L’économie locale a besoin de cette commande publique.
Pas moins de 220 salariés devraient être employés dans ce nouveau centre pénitentiaire, ce qui pourrait engendrer des besoins en logement d’habitation. Les locations de maisons sont en difficulté depuis le départ progressif des militaires sur les différents sites de Tahiti. Ce projet pourrait apporter une bouffée d’oxygène à ce secteur.
Présent à Tahiti du 20 au 23 septembre, monsieur BESSEAU ira à la rencontre des principaux acteurs publics engagés dans ce projet. Il s’attachera à recueillir toutes les informations relatives à l’environnement urbanistique du futur centre pénitentiaire, ainsi que toutes les données économiques et sociales à l’échelle de la commune et du pays. La carence de données statistiques dont souffre son étude devrait être très rapidement comblée par les services de l’administration de l’État et du Pays. Le Haut-commissaire et certains ministres du gouvernement l’ont déjà reçu.
Le projet de centre de détention de Papeari ne fait pas l’unanimité et suscite la controverse. De nombreux riverains ont manifesté leur opposition au projet. Il faudra faire preuve de beaucoup de patience et de diplomatie pour que la population de Papeari accepte le projet et prenne conscience de son bienfondé et des retombées positives qui profiteront à tous.
Nuutania est le plus peuplé et le plus vétuste des centres pénitenciers français. Ce nouveau centre constituerait la véritable solution au problème de surpopulation carcérale de Nuutania, malgré la mise en place récente des bracelets électroniques.
D’un coût évalué à 11 milliards Fcfp, le futur centre pénitencier, d’une capacité d’accueil de 400 détenus, serait construit sur un domaine foncier de 14 hectares situé sur les hauts de la Baie de Phaëton. D’après monsieur BESSEAU, un soin particulier sera apporté à l’architecture même du bâtiment pour une intégration réussie dans son environnement naturel. La durée des travaux est estimée à 2 ans et le démarrage du chantier pourrait intervenir en 2011 si toutes les études de faisabilité étaient achevées.
La Présidente du CESC a insisté pour que les entreprises polynésiennes soient sollicitées pour ce grand chantier. L’économie locale a besoin de cette commande publique.
Pas moins de 220 salariés devraient être employés dans ce nouveau centre pénitentiaire, ce qui pourrait engendrer des besoins en logement d’habitation. Les locations de maisons sont en difficulté depuis le départ progressif des militaires sur les différents sites de Tahiti. Ce projet pourrait apporter une bouffée d’oxygène à ce secteur.
