Tahiti, le 5 janvier 2023 - La Polynésie française a été récompensée pour sa lutte contre l'introduction d'espèces invasives sur le territoire. Hugo Oudart, de la Direction de la biosécurité de la Polynésie française, s'est vu décerner le prix de "combattant de l'année 2022" par le secrétariat du programme régional océanien pour l'environnement.
C'est une première pour la Polynésie française. La collectivité a été récompensée pour sa lutte contre l'introduction d'espèces invasives sur le territoire. Le secrétariat du programme régional océanien pour l'environnement (SPREP) a décerné, en décembre dernier, le prix de "combattant de l'année", à Hugo Oudart de la Direction de la biosécurité de la Polynésie française. Ce dernier y est en charge des équipes de détection canine à l'aéroport de Tahiti-Faa'a et au port de Papeete. Le prix vient récompenser son travail de renforcement des contrôles aux frontières, dans le cadre du projet ‘Protege’, afin d'éviter l'introduction d'espèces telles que les fourmis rouges, les mouches des fruits et d'autres espèces envahissantes nuisibles telles que le virus de la tristeza des agrumes, le scarabée rhinocéros du cocotier et la varrose des abeilles, indique le SPREP. “Le travail est loin d'être terminé, mais on observe déjà chaque jour que les bénéfices que la Polynésie française va tirer de ce projet seront bien plus importants que ce que nous avions imaginé”, a déclaré Hugo Oudart.
C'est une première pour la Polynésie française. La collectivité a été récompensée pour sa lutte contre l'introduction d'espèces invasives sur le territoire. Le secrétariat du programme régional océanien pour l'environnement (SPREP) a décerné, en décembre dernier, le prix de "combattant de l'année", à Hugo Oudart de la Direction de la biosécurité de la Polynésie française. Ce dernier y est en charge des équipes de détection canine à l'aéroport de Tahiti-Faa'a et au port de Papeete. Le prix vient récompenser son travail de renforcement des contrôles aux frontières, dans le cadre du projet ‘Protege’, afin d'éviter l'introduction d'espèces telles que les fourmis rouges, les mouches des fruits et d'autres espèces envahissantes nuisibles telles que le virus de la tristeza des agrumes, le scarabée rhinocéros du cocotier et la varrose des abeilles, indique le SPREP. “Le travail est loin d'être terminé, mais on observe déjà chaque jour que les bénéfices que la Polynésie française va tirer de ce projet seront bien plus importants que ce que nous avions imaginé”, a déclaré Hugo Oudart.