PHOTO : David Stubbs et Thomas Robins, concepteurs de la série Reservoir Hill , ont reçu lundi à Cannes le prix de la meilleure fiction numérique pour la jeunesse. (Photo : TV New Zealand)
Cette fiction ciblée pour un public jeunes et adolescent comporte la particularité d’offrir au public la possibilité d’interagir avec la trame et les protagonistes, via le site Internet de cette chaîne, en mode « vidéo à la demande » (video on demand, VOD). (www.tvnz.co.nz/reservoirhill)
Cette interactivité s’appuie notamment sur la prise en compte des milliers de textos ou de message laissés sur le site de diffusion, et dont le contenu et les avis exprimés peuvent être de futurs ingrédients pour les épisodes suivants.
« Cette récompense fat la preuve que TV New Zealand a la capacité d’innover sur une scène mondiale », a estimé Tom Cotter, directeur général de la société productrice Digital Media (filiale de TV New Zealand), lors de cette remise entrant dans le cadre de ce marché international des productions de télévisions du monde entier.
La production est assurée par la société KHF Media, dans laquelle participent Digital Media et New Zealand On Air.
Mardi, le ministre néo-zélandais de la communication et de la diffusion, Jonathan Coleman, estimant cette récompense « historique », se fendait d’un communiqué pour féliciter les lauréats compatriotes.
Cette interactivité s’appuie notamment sur la prise en compte des milliers de textos ou de message laissés sur le site de diffusion, et dont le contenu et les avis exprimés peuvent être de futurs ingrédients pour les épisodes suivants.
« Cette récompense fat la preuve que TV New Zealand a la capacité d’innover sur une scène mondiale », a estimé Tom Cotter, directeur général de la société productrice Digital Media (filiale de TV New Zealand), lors de cette remise entrant dans le cadre de ce marché international des productions de télévisions du monde entier.
La production est assurée par la société KHF Media, dans laquelle participent Digital Media et New Zealand On Air.
Mardi, le ministre néo-zélandais de la communication et de la diffusion, Jonathan Coleman, estimant cette récompense « historique », se fendait d’un communiqué pour féliciter les lauréats compatriotes.