CHRISTCHURCH, 22 février 2012 (AFP) - La Nouvelle-Zélande a observé mercredi deux minutes de silence, pour commémorer le premier anniversaire du séisme qui avait détruit le centre de la deuxième ville du pays et causé la mort de 185 personnes.
"Le 22 février sera pour toujours un des jours les plus noirs de l'histoire de ce fier pays", a déclaré le Premier ministre néo-zélandais John Key.
Christchurch, capitale de l'île du Sud, avait été frappée par un tremblement de terre de magnitude 6,3 à l'heure du déjeuner, à 12H31 heure locale (23H51 GMT).
Quelque 60.000 personnes se sont rassemblées mercredi pour un service du souvenir dans le Hagley Park, à Christchurch, en présence des familles des victimes.
Le gouverneur général Jerry Mateparae a lu un message de condoléances du prince Charles et projeté un message vidéo de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.
"Même ceux qui étaient loin de vous lors de ce jour affreux partagent votre chagrin et savent la lutte que vous menez", déclare Hillary Clinton. "A travers cette lutte, nous avons aussi vu la force et la persévérance de la population de Christchurch".
Lors d'un service oecuménique qui s'était déroulé un peu plus tôt, le Premier ministre John Key a souligné que ce séisme avait "provoqué des ravages à un degré inimaginable". Il a "tordu des bâtiments, détruit des routes et des maisons et nous a secoués jusqu'au plus profond", a-t-il déclaré.
Evoquant sa première visite dans la ville, quelques heures après le séisme, alors que le feu ravageait des bâtiments et que l'air était chargé de poussières, John Key a déclaré: "c'était la Nouvelle-Zélande, mais pas une Nouvelle-Zélande que je connaissais".
La catastrophe "s'était emparée de la vie quotidienne de Canterbury (la région de Christchurch) et l'avait secouée dans tous les sens, mais elle n'a pas pu rompre l'esprit de résistance pour lequel vous êtes connus", a-t-il ajouté.
"Nous avons un long voyage devant nous", a-t-il encore dit, réitérant la détermination du gouvernement à reconstruire la ville.
Un an après le séisme, Christchurch peine à se relever et les efforts de reconstruction sont freinés par les répliques et les atermoiements politiques.
ns/jw/fmp/mf
"Le 22 février sera pour toujours un des jours les plus noirs de l'histoire de ce fier pays", a déclaré le Premier ministre néo-zélandais John Key.
Christchurch, capitale de l'île du Sud, avait été frappée par un tremblement de terre de magnitude 6,3 à l'heure du déjeuner, à 12H31 heure locale (23H51 GMT).
Quelque 60.000 personnes se sont rassemblées mercredi pour un service du souvenir dans le Hagley Park, à Christchurch, en présence des familles des victimes.
Le gouverneur général Jerry Mateparae a lu un message de condoléances du prince Charles et projeté un message vidéo de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.
"Même ceux qui étaient loin de vous lors de ce jour affreux partagent votre chagrin et savent la lutte que vous menez", déclare Hillary Clinton. "A travers cette lutte, nous avons aussi vu la force et la persévérance de la population de Christchurch".
Lors d'un service oecuménique qui s'était déroulé un peu plus tôt, le Premier ministre John Key a souligné que ce séisme avait "provoqué des ravages à un degré inimaginable". Il a "tordu des bâtiments, détruit des routes et des maisons et nous a secoués jusqu'au plus profond", a-t-il déclaré.
Evoquant sa première visite dans la ville, quelques heures après le séisme, alors que le feu ravageait des bâtiments et que l'air était chargé de poussières, John Key a déclaré: "c'était la Nouvelle-Zélande, mais pas une Nouvelle-Zélande que je connaissais".
La catastrophe "s'était emparée de la vie quotidienne de Canterbury (la région de Christchurch) et l'avait secouée dans tous les sens, mais elle n'a pas pu rompre l'esprit de résistance pour lequel vous êtes connus", a-t-il ajouté.
"Nous avons un long voyage devant nous", a-t-il encore dit, réitérant la détermination du gouvernement à reconstruire la ville.
Un an après le séisme, Christchurch peine à se relever et les efforts de reconstruction sont freinés par les répliques et les atermoiements politiques.
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