WELLINGTON, 8 octobre 2011 (AFP) - La Marine néo-zélandaise a été appelée samedi en renfort pour tenter de contenir la nappe de fioul qui s'échappe d'un porte-conteneurs libérien dans une baie touristique réputée pour la richesse de sa faune marine.
Le Rena, d'une capacité de 47.000 tonnes, s'est échoué mercredi matin dans la baie de Plenty, sur le récif Astrolabe, à 22 km au large de la ville de Tauranga, sur l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, et menace de se briser et de répandre ses quelque 1.700 tonnes de fioul.
Le carburant qui s'en échappe a déjà formé une nappe de cinq kilomètres de long dans laquelle se sont englués de nombreux oiseaux.
La Marine du pays (MNZ) a précisé avoir déployé quatre navires sur zone et 500 membres de la Défense néo-zélandaise ont été appelés sur les côtes pour se préparer à des actions de nettoyage de grande envergure.
Le ministre de l'Environnement Nick Smith a estimé vendredi que l'avarie du Rena "pourrait devenir la catastrophe écologique maritime la plus grave qu'ait connue la Nouvelle-Zélande depuis des décennies".
Le Premier ministre John Key doit se rendre sur le site dimanche.
Le Rena, d'une capacité de 47.000 tonnes, s'est échoué mercredi matin dans la baie de Plenty, sur le récif Astrolabe, à 22 km au large de la ville de Tauranga, sur l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande, et menace de se briser et de répandre ses quelque 1.700 tonnes de fioul.
Le carburant qui s'en échappe a déjà formé une nappe de cinq kilomètres de long dans laquelle se sont englués de nombreux oiseaux.
La Marine du pays (MNZ) a précisé avoir déployé quatre navires sur zone et 500 membres de la Défense néo-zélandaise ont été appelés sur les côtes pour se préparer à des actions de nettoyage de grande envergure.
Le ministre de l'Environnement Nick Smith a estimé vendredi que l'avarie du Rena "pourrait devenir la catastrophe écologique maritime la plus grave qu'ait connue la Nouvelle-Zélande depuis des décennies".
Le Premier ministre John Key doit se rendre sur le site dimanche.