Pointe-à-Pitre| AFP | samedi 25/10/2014 - La France et plusieurs pays des Caraïbes ont convenu de s'engager dans "une croissance verte et bleue" privilégiant la biodiversité terrestre et maritime dans cette partie du monde, à l'issue d'une rencontre qui s'est achevée vendredi soir à Pointe-à-Pitre.
Heremoana Maamaatuaiahutapu, conseiller technique en charge du suivi des dossiers liés à l'environnement, représentait la Polynésie à cette conférence internationale sur la biodiversité.
Le Premier ministre des Iles vierges britanniques, Kedrick Pickering, les ministres françaises de l'Ecologie et des Outremer Ségolène Royal et George Pau-Langevin, ainsi que des représentants de plusieurs gouvernements de pays des Caraïbes et des élus des départements français d'Amérique ont adopté un "Message de Guadeloupe" sur les enjeux du changement climatique et de la biodiversité.
A l'issue de la Conférence internationale sur la biodiversité et le changement climatique dans les outremer européens, réunie depuis la veille et dont les ateliers se sont tenus en différents lieux de l'île, les participants sont convenus de s'engager dans "une croissance verte et bleue" privilégiant la biodiversité terrestre et maritime des Caraïbes et des autres environnements insulaires relevant de la France et ou de l'Union européenne.
"C'est la seule réponse réaliste à l'urgence écologique et le principal espoir d'un nouveau progrès humain", a affirmé Ségolène Royal, lors de la séance de clôture de la Conférence vendredi soir, après l'adoption d'un "Message de Guadeloupe".
Ce texte énonce des orientations stratégiques en définissant des priorités d'action opérationnelles et des pistes de recherche scientifique pour la préservation de la biodiversité des Régions ultra-périphériques (RUP) et des Pays et territoires d'outre-mer (PTOM) de l'Union européenne, ainsi que des Petits Etats insulaires en développement (PIED) des Caraïbes et du Pacifique.
L'adoption de ce "Message de Guadeloupe" intervient six ans après celle du "Message de La Réunion" qui, en 2008, avait défini des "stratégies face au changement climatique et à la perte de la biodiversité" des milieux insulaires.
Heremoana Maamaatuaiahutapu, conseiller technique en charge du suivi des dossiers liés à l'environnement, représentait la Polynésie à cette conférence internationale sur la biodiversité.
Le Premier ministre des Iles vierges britanniques, Kedrick Pickering, les ministres françaises de l'Ecologie et des Outremer Ségolène Royal et George Pau-Langevin, ainsi que des représentants de plusieurs gouvernements de pays des Caraïbes et des élus des départements français d'Amérique ont adopté un "Message de Guadeloupe" sur les enjeux du changement climatique et de la biodiversité.
A l'issue de la Conférence internationale sur la biodiversité et le changement climatique dans les outremer européens, réunie depuis la veille et dont les ateliers se sont tenus en différents lieux de l'île, les participants sont convenus de s'engager dans "une croissance verte et bleue" privilégiant la biodiversité terrestre et maritime des Caraïbes et des autres environnements insulaires relevant de la France et ou de l'Union européenne.
"C'est la seule réponse réaliste à l'urgence écologique et le principal espoir d'un nouveau progrès humain", a affirmé Ségolène Royal, lors de la séance de clôture de la Conférence vendredi soir, après l'adoption d'un "Message de Guadeloupe".
Ce texte énonce des orientations stratégiques en définissant des priorités d'action opérationnelles et des pistes de recherche scientifique pour la préservation de la biodiversité des Régions ultra-périphériques (RUP) et des Pays et territoires d'outre-mer (PTOM) de l'Union européenne, ainsi que des Petits Etats insulaires en développement (PIED) des Caraïbes et du Pacifique.
L'adoption de ce "Message de Guadeloupe" intervient six ans après celle du "Message de La Réunion" qui, en 2008, avait défini des "stratégies face au changement climatique et à la perte de la biodiversité" des milieux insulaires.