La 29ème édition de la fête de la musique avait cette année pour ambition de mettre en valeur au niveau national la créativité et le talent des femmes. La Délégation de la Polynésie française avait donc fait le choix de célébrer les déesses polynésiennes lors d’un spectacle de deux heures, décomposé en quatre tableaux riches en couleurs. Les déesses Pele, Hina, Moeata et Raumata ont été célébrées tour à tour.
A chaque fois, les employés de la Délégation, de Tahiti Tourisme ainsi que les étudiants de l’AEPF Paris ont fait montre d’un réel sens artistique. Les orero, les Ote’a et autres Aparima se sont succédés pour le plus grand bonheur de spectateurs.
Un hommage émouvant a, par ailleurs, été rendu à Mehiti Hart, récemment disparue. La communauté polynésienne de Paris souhaitait en effet saluer une dernière fois la grande danseuse et la femme généreuse et humaine qu’elle était à leurs yeux.
A chaque fois, les employés de la Délégation, de Tahiti Tourisme ainsi que les étudiants de l’AEPF Paris ont fait montre d’un réel sens artistique. Les orero, les Ote’a et autres Aparima se sont succédés pour le plus grand bonheur de spectateurs.
Un hommage émouvant a, par ailleurs, été rendu à Mehiti Hart, récemment disparue. La communauté polynésienne de Paris souhaitait en effet saluer une dernière fois la grande danseuse et la femme généreuse et humaine qu’elle était à leurs yeux.