PEKIN, 12 août 2011 (AFP) - Les autorités chinoises ont demandé à 22 fausses boutiques Apple dans le sud du pays de cesser d'utiliser le célèbre logo à la pomme, a rapporté vendredi sur son site internet la Radio nationale chinoise.
Les 22 faux magasins Apple, copies des quelques rares enseignes officielles du groupe américain en Chine, ont été localisés dans la ville de Kunming (sud), a précisé la radio.
Le mois dernier un blogueur américain avait déjà révélé l'existence d'un faux magasin Apple à Kunming. Ce commerce depuis fermé était si bien copié, arborant en grand le logo et la marque, que même certains de ses employés pensaient travailler directement pour la société américaine.
Au début du mois, le géant suédois du meuble Ikea a annoncé qu'il allait s'assurer qu'un grand magasin chinois ressemblant étrangement à ceux exploités par le groupe ne viole pas ses droits à la propriété intellectuelle.
Ce grand magasin, lui aussi situé à Kunming, est quasi identique aux très reconnaissables grandes surfaces portant l'enseigne Ikea.
La Chine est régulièrement critiquée pour son laxisme en matière de droits de la propriété intellectuelle, de contrefaçons et de piratages.
plj-seb/pt/jh
Les 22 faux magasins Apple, copies des quelques rares enseignes officielles du groupe américain en Chine, ont été localisés dans la ville de Kunming (sud), a précisé la radio.
Le mois dernier un blogueur américain avait déjà révélé l'existence d'un faux magasin Apple à Kunming. Ce commerce depuis fermé était si bien copié, arborant en grand le logo et la marque, que même certains de ses employés pensaient travailler directement pour la société américaine.
Au début du mois, le géant suédois du meuble Ikea a annoncé qu'il allait s'assurer qu'un grand magasin chinois ressemblant étrangement à ceux exploités par le groupe ne viole pas ses droits à la propriété intellectuelle.
Ce grand magasin, lui aussi situé à Kunming, est quasi identique aux très reconnaissables grandes surfaces portant l'enseigne Ikea.
La Chine est régulièrement critiquée pour son laxisme en matière de droits de la propriété intellectuelle, de contrefaçons et de piratages.
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