Crédit HANDOUT / Chinese People's Liberation Army News and Communication Center / AFP
Pékin, Chine | AFP | jeudi 25/09/2024 - Le ministère chinois de la Défense a assuré jeudi que le tir par Pékin, dans le Pacifique, d'un missile balistique intercontinental équipé d'une ogive factice, était "légitime", en dépit de protestations de plusieurs pays de la région dont le Japon.
"Le lancement d'un missile balistique intercontinental a pour but de tester les performances de nos armes (...) il s'agit d'un exercice légitime et habituel", a déclaré un porte-parole du ministère chinois de la Défense, Zhang Xiaogang.
Le ministère avait annoncé mercredi le lancement dans l'océan Pacifique d'"un missile balistique intercontinental transportant une ogive factice d'entraînement", le premier test de ce genre depuis plusieurs décennies.
Ce tir a suscité des protestations de la part d'autres pays de la région, comme le Japon, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, inquiets du renforcement du potentiel militaire chinois.
"La politique nucléaire de la Chine est stable, cohérente et prévisible. Nous suivons strictement une politique nucléaire de non-recours en premier aux armes nucléaires et nous poursuivons une stratégie nucléaire d'autodéfense", a assuré jeudi le porte-parole du ministère chinois.
"La Chine ne recherche pas la course aux armements à cet égard. Nous avons promis de ne pas utiliser ou menacer d'utiliser des armes nucléaires contre des Etats non dotés d'armes nucléaires ou des zones exemptes d'armes", a-t-il ajouté.
Et "la Chine continuera à maintenir ses capacités nucléaires au niveau minimum requis pour la sécurité nationale", a précisé le porte-parole.
La France a, tout comme les Etats-Unis, été notifiée par les autorités chinoises de ce test missile dans le Pacifique, a indiqué le haut-commissariat de la République en Polynésie française.
Le président de la Polynésie française Moetai Brotherson avait indiqué plus tôt à l'AFP que le missile était tombé "non loin de notre ZEE (zone économique exclusive, NDLR), du côté des Marquises", l'un des cinq archipels de ce territoire du Pacifique.
"Le lancement d'un missile balistique intercontinental a pour but de tester les performances de nos armes (...) il s'agit d'un exercice légitime et habituel", a déclaré un porte-parole du ministère chinois de la Défense, Zhang Xiaogang.
Le ministère avait annoncé mercredi le lancement dans l'océan Pacifique d'"un missile balistique intercontinental transportant une ogive factice d'entraînement", le premier test de ce genre depuis plusieurs décennies.
Ce tir a suscité des protestations de la part d'autres pays de la région, comme le Japon, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, inquiets du renforcement du potentiel militaire chinois.
"La politique nucléaire de la Chine est stable, cohérente et prévisible. Nous suivons strictement une politique nucléaire de non-recours en premier aux armes nucléaires et nous poursuivons une stratégie nucléaire d'autodéfense", a assuré jeudi le porte-parole du ministère chinois.
"La Chine ne recherche pas la course aux armements à cet égard. Nous avons promis de ne pas utiliser ou menacer d'utiliser des armes nucléaires contre des Etats non dotés d'armes nucléaires ou des zones exemptes d'armes", a-t-il ajouté.
Et "la Chine continuera à maintenir ses capacités nucléaires au niveau minimum requis pour la sécurité nationale", a précisé le porte-parole.
La France a, tout comme les Etats-Unis, été notifiée par les autorités chinoises de ce test missile dans le Pacifique, a indiqué le haut-commissariat de la République en Polynésie française.
Le président de la Polynésie française Moetai Brotherson avait indiqué plus tôt à l'AFP que le missile était tombé "non loin de notre ZEE (zone économique exclusive, NDLR), du côté des Marquises", l'un des cinq archipels de ce territoire du Pacifique.