Paris, France | AFP | lundi 15/06/2015 - L'association de consommateurs CLCV a salué lundi l'interdiction de la vente en libre service, dans les jardineries, du désherbant vedette de Monsanto, le Roundup, décidée dimanche par la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal.
"La CLCV avait demandé que cette mesure soit prise et accueille très positivement cette décision", selon un communiqué.
"La France doit être à l'offensive sur l'arrêt des pesticides", avait déclaré la ministre dimanche sur France 3, en demandant l'arrêt de la mise en vente libre dans les jardineries, du Roundup de Monsanto, le géant américain des semences et de l'agrochimie.
L'association se dit "favorable à l'interdiction de la vente en libre-service de l'ensemble des produits contenant du glyphosate : en jardinerie mais également dans les supermarchés et les magasins de bricolage".
Elle estime "indispensable" que les jardiniers amateurs soient conseillés lorsqu'ils achètent ces désherbants et "soient informés des alternatives existantes" du glyphosate (désherbage manuel, paillage après un bon binage, etc.).
Le Roundup avait été remis au centre de l'actualité après le classement en mars du glyphosate, son principe actif, comme cancérogène "probable chez l'homme", même si les "preuves sont limitées", par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).
Dans un communiqué transmis à l'AFP dimanche, le groupe Monsanto expliquait ne pas avoir à ce stade "d'information réglementaire concernant une évolution de l'autorisation de mise sur le marché du désherbant Roundup".
"La CLCV avait demandé que cette mesure soit prise et accueille très positivement cette décision", selon un communiqué.
"La France doit être à l'offensive sur l'arrêt des pesticides", avait déclaré la ministre dimanche sur France 3, en demandant l'arrêt de la mise en vente libre dans les jardineries, du Roundup de Monsanto, le géant américain des semences et de l'agrochimie.
L'association se dit "favorable à l'interdiction de la vente en libre-service de l'ensemble des produits contenant du glyphosate : en jardinerie mais également dans les supermarchés et les magasins de bricolage".
Elle estime "indispensable" que les jardiniers amateurs soient conseillés lorsqu'ils achètent ces désherbants et "soient informés des alternatives existantes" du glyphosate (désherbage manuel, paillage après un bon binage, etc.).
Le Roundup avait été remis au centre de l'actualité après le classement en mars du glyphosate, son principe actif, comme cancérogène "probable chez l'homme", même si les "preuves sont limitées", par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC).
Dans un communiqué transmis à l'AFP dimanche, le groupe Monsanto expliquait ne pas avoir à ce stade "d'information réglementaire concernant une évolution de l'autorisation de mise sur le marché du désherbant Roundup".