SYDNEY, jeudi 3 novembre 2011 (Flash d’Océanie) – Le groupe bancaire ANZ (Australia New Zealand Banking Group) a annoncé jeudi un résultat de quelque 5,36 milliards de dollars australiens (4,037 milliards d’euros) en bénéfices au terme de son exercice financier clos le 30 septembre 2011, soit une augmentation de dix neuf pour cent par rapport à l’exercice précédent.
Mike Smith, directeur général du groupe, en présentant ces chiffres, les a notamment expliqués par un développement significatif des activités du groupe à l’international, en particulier sur les régions Asie et Pacifique, ainsi que sur les avancées de sa nouvelle politique d’intégration au plan régional.
Dans la région océanienne, en particulier, dans laquelle le groupe est très bien implanté, les progrès en matière de connectivité et d’accès aux comptes via Internet ont permis de réaliser des avancées, le plus souvent en partenariat avec les opérateurs locaux de téléphonie mobile qui ont développé des services de « banque mobile » permettant aux clients des virements, le paiement de factures et la consultation des soldes.
Dans un de ses récents rapports mensuels, le groupe bancaire estimait, fin octobre 2011, que l’Océanie insulaire avait relativement bien soutenu le choc des crises financières américaines et, plus récemment, européenne.
Seuls souci, selon les experts prévisionnistes de cette banque : les taux d’inflation qui, dans certains pays de la zone (comme Fidji ou le Timor oriental), sont à deux chiffres.
Selon lui, c’est sur les marchés asiatique, océanien, américain et européen que les bénéfices ont été les plus forts, enregistrant en moyenne une augmentation de vingt pour cent par rapport à l’exercice 2009-2010.
En Océanie insulaire, le groupe ANZ est notamment présent dans une douzaine de pays et territoires insulaires (Samoa américaines, îles Cook, Fidji, Kiribati, Nouvelle-Calédonie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Samoa, îles Salomon, Vanuatu, Tonga, Timor oriental et Guam).
La banque se targue actuellement d’employer dans la grande région plus de deux mille personnes.
pad
Les résultats complets à l’adresse suivante (anglais) :
http://www.media.anz.com/phoenix.zhtml?c=248677&p=irol-results
Mike Smith, directeur général du groupe, en présentant ces chiffres, les a notamment expliqués par un développement significatif des activités du groupe à l’international, en particulier sur les régions Asie et Pacifique, ainsi que sur les avancées de sa nouvelle politique d’intégration au plan régional.
Dans la région océanienne, en particulier, dans laquelle le groupe est très bien implanté, les progrès en matière de connectivité et d’accès aux comptes via Internet ont permis de réaliser des avancées, le plus souvent en partenariat avec les opérateurs locaux de téléphonie mobile qui ont développé des services de « banque mobile » permettant aux clients des virements, le paiement de factures et la consultation des soldes.
Dans un de ses récents rapports mensuels, le groupe bancaire estimait, fin octobre 2011, que l’Océanie insulaire avait relativement bien soutenu le choc des crises financières américaines et, plus récemment, européenne.
Seuls souci, selon les experts prévisionnistes de cette banque : les taux d’inflation qui, dans certains pays de la zone (comme Fidji ou le Timor oriental), sont à deux chiffres.
Selon lui, c’est sur les marchés asiatique, océanien, américain et européen que les bénéfices ont été les plus forts, enregistrant en moyenne une augmentation de vingt pour cent par rapport à l’exercice 2009-2010.
En Océanie insulaire, le groupe ANZ est notamment présent dans une douzaine de pays et territoires insulaires (Samoa américaines, îles Cook, Fidji, Kiribati, Nouvelle-Calédonie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Samoa, îles Salomon, Vanuatu, Tonga, Timor oriental et Guam).
La banque se targue actuellement d’employer dans la grande région plus de deux mille personnes.
pad
Les résultats complets à l’adresse suivante (anglais) :
http://www.media.anz.com/phoenix.zhtml?c=248677&p=irol-results