PORT-MORESBY, mardi 28 février 2012 (Flash d’Océanie) – Le cinéma en 3D a finalement fait son apparition dans les salles de la capitale papoue Port-Moresby, à l’occasion de l’inauguration d’un nouveau complexe construit par des investisseurs dont un partenaire de Fidji.
Ce nouveau complexe, baptisé « Paradise Cinema », a été inauguré lundi, rapporte le quotidien The National.
Les investisseurs dans ce projet sont à la fois papous et fidjiens : City Pharmacy Ltd, la radio privée PNG FM (elle-même filiale du groupe Communications Fiji Limited) et le groupe des frères Damodar (propriétaires de deux complexes de salles à Suva et près de Nadi), Damodar Brothers Fiji Limited.
Chaque associé est actionnaire à hauteur d’un tiers.
Cette inauguration marque aussi le retour du cinéma dans la capitale papoue, après plus de vingt ans de vide.
Particularité locale : des pancartes à l’entrée qui rappellent certaines règles élémentaires, comme l’interdiction d’entrer avec des couteaux ou des armes à feu.
Les spectateurs doivent passer par un portail détecteur de métaux et une fouille au corps avant de pouvoir entrer.
Le prix du billet est aussi positionné sur un marché haut de gamme et familial : l’équivalent de douze dollars US, deux fois plus cher que le prix du même billet dans les salles fidjiennes.
pad
Ce nouveau complexe, baptisé « Paradise Cinema », a été inauguré lundi, rapporte le quotidien The National.
Les investisseurs dans ce projet sont à la fois papous et fidjiens : City Pharmacy Ltd, la radio privée PNG FM (elle-même filiale du groupe Communications Fiji Limited) et le groupe des frères Damodar (propriétaires de deux complexes de salles à Suva et près de Nadi), Damodar Brothers Fiji Limited.
Chaque associé est actionnaire à hauteur d’un tiers.
Cette inauguration marque aussi le retour du cinéma dans la capitale papoue, après plus de vingt ans de vide.
Particularité locale : des pancartes à l’entrée qui rappellent certaines règles élémentaires, comme l’interdiction d’entrer avec des couteaux ou des armes à feu.
Les spectateurs doivent passer par un portail détecteur de métaux et une fouille au corps avant de pouvoir entrer.
Le prix du billet est aussi positionné sur un marché haut de gamme et familial : l’équivalent de douze dollars US, deux fois plus cher que le prix du même billet dans les salles fidjiennes.
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