Les études réalisées entre 2001 et 2007 par l’Institut Louis Malardé avec la collaboration de l’Université de Laval et la direction de la santé, grâce à un co-financement de l’EPAP, avaient fait apparaître au niveau d’un échantillon de la population :
- des taux moyens de méthylmercure dans les prélèvements effectués chez les adultes inférieurs aux normes fixées par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
- des concentrations sanguines chez les femmes enceintes, légèrement au-dessus des seuils de l’OMS (pouvant être dépassés selon l’OMS en fonction des habitudes alimentaires de certains pays)
- des concentrations élevées en sélénium, oméga 3 et en iode (éléments protecteurs).
Au vu de ces résultats, la consommation des poissons et des fruits de mer est reconnue comme une source de nutriments essentiels et bénéfiques sur la santé avec en particulier l’apport d’ oméga 3, de sélénium, d’iode, connus pour leurs propriétés anti-oxydantes et protectrices vis-à-vis de certaines maladies.
Le sélénium en particulier contenu dans le poisson a des propriétés anti-toxiques vis à vis du mercure.
C’est pour ces raisons que le ministère de la santé juge inutile d’alarmer la population, d’autant qu’aucun signalement de maladies liées au méthylmercure n’a été rapporté dans les services de santé de Polynésie française. Il n’y a donc aucun risque avéré dans la consommation de poissons.
Le ministère de la santé et la direction de la santé rappellent par ailleurs les conseils nutritionnels qui consistent notamment à varier son alimentation (viandes, poissons, fruits et légumes, produits laitiers….) et largement diffusés dans les centres de santé.
- des taux moyens de méthylmercure dans les prélèvements effectués chez les adultes inférieurs aux normes fixées par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
- des concentrations sanguines chez les femmes enceintes, légèrement au-dessus des seuils de l’OMS (pouvant être dépassés selon l’OMS en fonction des habitudes alimentaires de certains pays)
- des concentrations élevées en sélénium, oméga 3 et en iode (éléments protecteurs).
Au vu de ces résultats, la consommation des poissons et des fruits de mer est reconnue comme une source de nutriments essentiels et bénéfiques sur la santé avec en particulier l’apport d’ oméga 3, de sélénium, d’iode, connus pour leurs propriétés anti-oxydantes et protectrices vis-à-vis de certaines maladies.
Le sélénium en particulier contenu dans le poisson a des propriétés anti-toxiques vis à vis du mercure.
C’est pour ces raisons que le ministère de la santé juge inutile d’alarmer la population, d’autant qu’aucun signalement de maladies liées au méthylmercure n’a été rapporté dans les services de santé de Polynésie française. Il n’y a donc aucun risque avéré dans la consommation de poissons.
Le ministère de la santé et la direction de la santé rappellent par ailleurs les conseils nutritionnels qui consistent notamment à varier son alimentation (viandes, poissons, fruits et légumes, produits laitiers….) et largement diffusés dans les centres de santé.