La mère de famille de 40 ans qui s'est immolée mardi matin devant son mari et ses trois enfants à son domicile de Punaauia a succombé à ses blessures dans la soirée à l’hôpital.
Après une dispute conjugale, confirmée par les témoignages de voisins qui ont entendu des éclats de voix, cette institutrice s'était aspergée d’essence à l'aide de bidons conservés à son domicile, puis avait elle-même allumé le feu.
Le mari, qui venait de mettre leurs trois enfants dans la voiture pour les emmener à l'école, a tenté de lui venir en aide mais n'a pu éteindre à temps les flammes. Brûlée au second degré sur 90% du corps, la victime a été emmenée à l'hôpital du Taaone, où elle est décédée dans la soirée, à 22H.
Un proche de la famille évoque des violences conjugales qui duraient depuis plusieurs années: "c'était une femme battue qui n'arrivait pas à se séparer de son mari, et qui avait fait des tentatives pour quitter le domicile familial ces derniers mois". De son côté, la gendarmerie évoque des "problèmes conjugaux" mais ne confirme pas l'existence de violences.
Le mari ainsi que les voisins ont été entendus par les enquêteurs. Le témoignage des trois enfants du couple a été recueilli par la BPDJ. " Il ne s’agit en tout cas pas du tout d’une tentative de meurtre, comme cela a pu être dit " affirme la gendarmerie.
Après une dispute conjugale, confirmée par les témoignages de voisins qui ont entendu des éclats de voix, cette institutrice s'était aspergée d’essence à l'aide de bidons conservés à son domicile, puis avait elle-même allumé le feu.
Le mari, qui venait de mettre leurs trois enfants dans la voiture pour les emmener à l'école, a tenté de lui venir en aide mais n'a pu éteindre à temps les flammes. Brûlée au second degré sur 90% du corps, la victime a été emmenée à l'hôpital du Taaone, où elle est décédée dans la soirée, à 22H.
Un proche de la famille évoque des violences conjugales qui duraient depuis plusieurs années: "c'était une femme battue qui n'arrivait pas à se séparer de son mari, et qui avait fait des tentatives pour quitter le domicile familial ces derniers mois". De son côté, la gendarmerie évoque des "problèmes conjugaux" mais ne confirme pas l'existence de violences.
Le mari ainsi que les voisins ont été entendus par les enquêteurs. Le témoignage des trois enfants du couple a été recueilli par la BPDJ. " Il ne s’agit en tout cas pas du tout d’une tentative de meurtre, comme cela a pu être dit " affirme la gendarmerie.