Ce portrait robot avait été diffusé début septembre. Il a permis à la justice de confirmer l'identité du jeune homme dont les ossements avaient été retrouvés en mai 2013 sur un terrain vague à l'entrée de Papeete
PAPEETE, 7 octobre 2014 – Le parquet de Papeete a confirmé mardi que des analyses génétiques constatent un fort degré de parenté entre l'ADN du squelette de Faa’a et ceux d’un couple de témoins qui s'est déclaré le mois dernier pensant identifier leur fils disparu.
Le couple originaire de Tahiti s’était manifesté début septembre, au lendemain d’un appel à témoins au cours duquel avait notamment été publié un portrait-robot réalisé par reconstitution faciale. Ces éléments nouveaux l'identification du mystérieux jeune homme dont les ossements avaient été retrouvés, fin mai 2013, sur un terrain vague d’Auae, à l’entrée de Papeete.
Ces parents affirmaient reconnaître le visage de leur fils, disparu en février 2013.
Les échantillons salivaires prélevés sur le couple de témoins ont été analysés à l’Institut génétique Nantes Atlantique (IGNA). Les identifications ADN ainsi obtenues ont permis d’établir, par comparaison, un fort degré de parenté avec le code génétique extrait sur le squelette de Auae. Le voile est donc levé sur un mystère qui dure depuis maintenant 16 mois.
Mais la justice poursuit maintenant ses investigations pour tenter d'éclaircir les circonstances du décès de ce jeune homme. Ses parents ont déclaré qu'il avait quitté le domicile familial en février 2013 pour ne plus jamais y reparaître. Le jeune homme était "suivi médicalement".
Les ossements vont être rendus à la famille pour qu’elle puisse procéder aux funérailles.
Le couple originaire de Tahiti s’était manifesté début septembre, au lendemain d’un appel à témoins au cours duquel avait notamment été publié un portrait-robot réalisé par reconstitution faciale. Ces éléments nouveaux l'identification du mystérieux jeune homme dont les ossements avaient été retrouvés, fin mai 2013, sur un terrain vague d’Auae, à l’entrée de Papeete.
Ces parents affirmaient reconnaître le visage de leur fils, disparu en février 2013.
Les échantillons salivaires prélevés sur le couple de témoins ont été analysés à l’Institut génétique Nantes Atlantique (IGNA). Les identifications ADN ainsi obtenues ont permis d’établir, par comparaison, un fort degré de parenté avec le code génétique extrait sur le squelette de Auae. Le voile est donc levé sur un mystère qui dure depuis maintenant 16 mois.
Mais la justice poursuit maintenant ses investigations pour tenter d'éclaircir les circonstances du décès de ce jeune homme. Ses parents ont déclaré qu'il avait quitté le domicile familial en février 2013 pour ne plus jamais y reparaître. Le jeune homme était "suivi médicalement".
Les ossements vont être rendus à la famille pour qu’elle puisse procéder aux funérailles.
