TAHITI, le 1er septembre 2020 - L’artiste Luria présente de nouvelles toiles après deux années d’absence. Son dernier événement date de 2018 et avait eu lieu à la galerie du Chevalet. Elle revient, au même endroit, avec des œuvres qui racontent la Polynésie et les êtres qui la peuplent.
"Je présente ce que j’aime, ce qui me vient, tout en douceur, au fur et à mesure que je peins", explique l’artiste Isabelle Luria. Pour ce nouveau rendez-vous donné aux amateurs de peinture, elle propose des œuvres sur la Polynésie ainsi qu’une série de portraits d’animaux.
Le plus grand de ses tableaux revient sur les migrations polynésiennes. "J’avais un rouleau qui me restait dans un coin d’il y a longtemps et que j’ai ressorti. Il avait de grandes dimensions. Cela m’a donné la possibilité de peindre un grand format."
Un triangle apparaît au centre de ce tableau. Des tiki se dressent au centre de ce triangle comme autant d’îles et d’archipels. Un marae, des feuilles d’arbres à pain ou de ‘ape, des tubercules ou bien encore une pirogue viennent compléter l’ensemble tandis qu’un homme et une femme posent fièrement de part et d’autre du triangle.
"Quelque part c’est un hommage", explicite Isabelle Luria. "Un hommage à la Polynésie et aux Polynésiens qui ont réalisé de fabuleuses navigations sans boussole. Ils suivaient le chemin des étoiles !"
Il y a part ailleurs des aquarelles décrivant les paysages marquisiens. Elles ont été réalisées directement sur site. "Nous avons la chance d’avoir été à Ua Pou lors du festival", indique Isabelle Luria pour qui l’apparition de deux danseurs dans un costume de plumes bleues reste impérissable. Le couple est immortalisé.
Portraits de bêtes
Sensible à la cause animale, Isabelle Luria a peint également une série de portaits d’animaux "qui regardent dans les yeux des gens. Ils les regardent fixement". Ainsi, ils "interpellent les visiteurs", semblant leur dire "regardez un peu ce que vous nous faites ! Ils nous renvoient à notre propre situation."
Isabelle Luria, a toujours peint et dessiné. Elle se consacre entièrement à sa passion depuis plus de dix ans. "Avant j’étais prise par les choses de la vie", précise celle qui aurait aimé étudier aux beaux-arts à la sortie du lycée.
Elle s’installe dans son atelier en matinée. "Tu te réveilles certaines fois avec l’inspiration, et parfois sans. Alors il te faut attendre le lendemain pour créer." Elle se laisse porter par les couleurs, les rêves, les envies et constitue, de cette manière, sa réserve de toiles.
Ses tableaux, très colorés, sont le résultat de différentes techniques, l’acrylique, l’huile, le collage. Elle a exposé avec d’autres artistes puis, en 2018, a assuré sa première exposition individuelle. C’est donc sa deuxième exposition individuelle qui est en cours au Chevalet.
"Je présente ce que j’aime, ce qui me vient, tout en douceur, au fur et à mesure que je peins", explique l’artiste Isabelle Luria. Pour ce nouveau rendez-vous donné aux amateurs de peinture, elle propose des œuvres sur la Polynésie ainsi qu’une série de portraits d’animaux.
Le plus grand de ses tableaux revient sur les migrations polynésiennes. "J’avais un rouleau qui me restait dans un coin d’il y a longtemps et que j’ai ressorti. Il avait de grandes dimensions. Cela m’a donné la possibilité de peindre un grand format."
Un triangle apparaît au centre de ce tableau. Des tiki se dressent au centre de ce triangle comme autant d’îles et d’archipels. Un marae, des feuilles d’arbres à pain ou de ‘ape, des tubercules ou bien encore une pirogue viennent compléter l’ensemble tandis qu’un homme et une femme posent fièrement de part et d’autre du triangle.
"Quelque part c’est un hommage", explicite Isabelle Luria. "Un hommage à la Polynésie et aux Polynésiens qui ont réalisé de fabuleuses navigations sans boussole. Ils suivaient le chemin des étoiles !"
Il y a part ailleurs des aquarelles décrivant les paysages marquisiens. Elles ont été réalisées directement sur site. "Nous avons la chance d’avoir été à Ua Pou lors du festival", indique Isabelle Luria pour qui l’apparition de deux danseurs dans un costume de plumes bleues reste impérissable. Le couple est immortalisé.
Portraits de bêtes
Sensible à la cause animale, Isabelle Luria a peint également une série de portaits d’animaux "qui regardent dans les yeux des gens. Ils les regardent fixement". Ainsi, ils "interpellent les visiteurs", semblant leur dire "regardez un peu ce que vous nous faites ! Ils nous renvoient à notre propre situation."
Isabelle Luria, a toujours peint et dessiné. Elle se consacre entièrement à sa passion depuis plus de dix ans. "Avant j’étais prise par les choses de la vie", précise celle qui aurait aimé étudier aux beaux-arts à la sortie du lycée.
Elle s’installe dans son atelier en matinée. "Tu te réveilles certaines fois avec l’inspiration, et parfois sans. Alors il te faut attendre le lendemain pour créer." Elle se laisse porter par les couleurs, les rêves, les envies et constitue, de cette manière, sa réserve de toiles.
Ses tableaux, très colorés, sont le résultat de différentes techniques, l’acrylique, l’huile, le collage. Elle a exposé avec d’autres artistes puis, en 2018, a assuré sa première exposition individuelle. C’est donc sa deuxième exposition individuelle qui est en cours au Chevalet.
Pratique
Exposition à la galerie du Chevalet jusqu’au samedi 5 septembre.
Entrée libre.
Ouverture le lundi de 13h30 à 17 heures.
Le mardi, mercredi et jeudi de 8 heures à midi et de 13h30 à 17h30.
Le vendredi de 8 heures à midi et de 13h30 à 16h30.
Le samedi de 8 heures à midi.
Exposition à la galerie du Chevalet jusqu’au samedi 5 septembre.
Entrée libre.
Ouverture le lundi de 13h30 à 17 heures.
Le mardi, mercredi et jeudi de 8 heures à midi et de 13h30 à 17h30.
Le vendredi de 8 heures à midi et de 13h30 à 16h30.
Le samedi de 8 heures à midi.
Contacts
Tél. : 40 42 12 55
Mail : au.chevalet@gmail.com
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