L'expedition Fleur Australe arrive aujourd'hui à 15h à Paofai.


Fleur Australe, une expédition à visée pédagogique

Le navigateur français Philippe Poupon met son expérience et sa passion de la mer au service de la protection de la planète et de ses océans.
o Un témoignage destiné à sensibiliser le public sur les conséquences du
réchauffement climatique
o Un projet labélisé par le Club des Explorateurs du Grenelle de la Mer
o Trois ans d’observations et de rencontres, du Pôle Nord au Pôle Sud
o Planning de navigation
o Itinéraire
o Un bateau conçu pour la navigation et l’observation maritime sur toutes les latitudes
o Une famille ordinaire pour un équipage atypique
• GDF SUEZ, partenaire de Fleur Australe
o GDF SUEZ, acteur engagé en faveur de la biodiversité
o La préservation de la biodiversité au coeur des métiers du Groupe GDF SUEZ
o Les partenariats du Groupe en faveur de la biodiversité
o GDF SUEZ : des activités tournées vers le monde maritime.
• L’escale de Fleur Australe en Polynésie
o Les escales du bateau dans les îles Marquises
o L’activité et les engagements responsables d’Electricité de Tahiti en Polynésie



b[Fleur Australe, une expédition à visée pédagogique]b

Fleur Australe croisant un iceberg à la dérive au large du Groenland
Un témoignage destiné à alerter le public sur les conséquences du réchauffement climatique
L’observation à la base de la démarche de Fleur Australe Menée par le navigateur Philippe Poupon et Géraldine Danon, Fleur Australe est une expédition transocéanique entre l’Alaska et le Pôle Sud par le Pacifique sur un voilier de 20 mètres spécialement conçu à cet effet.
D’une durée de 3 ans, ce projet souhaite contribuer à :
• L’évaluation de la santé des océans, de sa faune et de sa flore à travers diverses
observations,
• La sensibilisation de tous les publics (grand public, industriels et pouvoirs publics) aux effets
de la pollution et du réchauffement climatique sur la fragilisation de l’environnement (fonte
des glaces, désalinisation des océans …),
• L’éducation des générations futures au développement durable pour leur permettre de
penser chaque geste du quotidien dans une logique éco‐citoyenne.

Cette expédition essentiellement maritime se déroulera dans des zones de navigation peu
fréquentées mais où l’impact du réchauffement climatique aura le plus de conséquence avec la
montée programmée des eaux. Des observations de la surface des océans, de la faune et de la flore
ainsi que des relevés sur la qualité de l’eau (température et salinité), la pollution au large et sur le
littoral (macro‐déchets et chimique) ou la concentration des populations de mammifères marins
seront réalisés tout au long de la traversée.
L’équipage profitera également de ses nombreuses escales pour aller à la rencontre des populations
locales, de personnalités et de différents spécialistes pour discuter de ce sujet majeur. En outre, ces
passages à terre seront autant d’opportunités de voir les actions qui sont menées ailleurs en matière
de préservation de l’environnement.


Une expédition Fleur Australe déjà en 2009

Philippe Poupon.
Fleur Australe n’est pas la première expédition de ce type pour « les Poupon ». Durant l’été 2009,
Philippe et Géraldine se lancèrent, avec leurs enfants, dans la jonction de l’océan Atlantique à l’océan
Pacifique par le Nord du continent américain. Parti du Groenland, ils parvinrent à rejoindre l’Alaska
par le « passage du Nord Ouest » en à peine plus de 2 mois alors que des générations de navigateurs
ont tenté de trouver cette voie maritime mythique pendant près de trois siècles. Seuls une vingtaine
de voiliers (dont 7 français) ont réussi à l’emprunter1 jusqu’ici. Son accès reste très aléatoire, à peine
quelques semaines généralement, et varie en fonction de la clémence des étés arctiques
relativement courts, mais cela est en train de changer avec le réchauffement climatique.
Géraldine Danon a profité de cette traversée exceptionnelle pour réaliser un grand nombre de
photographies de la faune et de la flore locale, ces régions restant encore aujourd’hui parmi les
dernières réellement sauvages. De nombreuses images ont également été tournées par ses soins
pendant ce périple à l’issue duquel un film de 52 mn a été produit et diffusé à la télévision française.
Ce documentaire et le livre qui l’a suivi permettait déjà de sensibiliser le public et de traduire les
constats dressés par les scientifiques invités à bord de Fleur Australe tout au long de l’expédition.
Un éléphant de mer, un ours polaire et un troupeau de bisons sauvages croisés au cours de l’expédition 2009

1 Le premier de l’histoire à avoir réaliser l’exploit est le Norvégien Roald Amundsen à bord du Gjoa entre 1903 et 1906.

Un projet labélisé par le Club des Explorateurs du Grenelle de la Mer
Expédition à vocation pédagogique, Fleur Australe est un témoignage en temps réel des
conséquences du comportement humain sur les océans et le littoral. Cette approche vaut à Philippe
Poupon et Géraldine Danon d’intégrer le Club des Explorateurs du Grenelle de la Mer créé en mai
dernier par le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement Durable et de la Mer
(MEEDDM2). Ce club parraine les expéditions maritimes à vocation scientifique et pédagogique qui
permettent d’améliorer la connaissance des mers et des océans.
Quatre projets disposent aujourd’hui de cette « labellisation ». Parmi eux figurent Tara (périple
océanographique en goélette de 150.000 km sur trois ans entamé en septembre 2009 à Lorient),
PlanetSolar (premier tour du monde à l'énergie solaire dont Gérard d'Aboville sera le co‐skipper avec
Raphaël Domjan, initiateur du projet ‐ départ prévu en 2011) et SeaOrbiter (vaisseau unique au
monde conçu par Jacques Rougerie développant un nouveau concept d’observation sous‐marine par
l'homme). La particularité de l’expédition Fleur Australe par rapport à ces derniers est d’être
davantage tournée sur la pédagogie. Les acteurs et témoins de celle‐ci ne sont pas scientifiques à
proprement parler, ce qui permet de rendre les messages accessible au plus grand nombre :
adolescents, adultes, enfants, grands parents, etc.

Trois ans d’observations et de rencontres, du Pôle Nord au Pôle Sud

Parti de l’Alaska début juin, le bateau Fleur Australe a longé le Canada et les Etats‐Unis pendant l’été
2010 avant de rejoindre au mois de septembre la Polynésie française où de nombreuses escales sont
prévues : les Marquises, Tuamotu, Tahiti, Wallis et Futuna, Vanuatu, etc.
Première étape de l’expédition : de l’Alaska à Los Angeles (juin‐août 2010)
Au cours de ces premières semaines, l’équipage a eu l’opportunité d’observer de près la biodiversité
des territoires traversés :
- l’île de Mitkof en Alaska et son importante colonie de loups, des phoques, des lions de Mer
des loutres de mer, des baleines à bosse mais aussi des chèvres et des cygnes,
- les îles de Gwaii Haanas (Alaska) avec ses sous‐ espèces uniques d’animaux issues du
continent telles que l’ours noir, la martre des pins, la souris sylvestre et l’hermine,
- l’île canadienne d’Hotspring (également appelée l’Ile d’abondance) avec sa forêt dense et
démesurée de cèdres et d’épicéas où l’on trouve les chauves‐souris de Keen,
- les cèdres rouges du Canada,
- les orques et les dauphins à dos lisse boréal,
- les plages coralliennes,
- etc.
Ces différentes escales entre l’Alaska et Los Angeles ont également permis la découverte de sites
dédiés à la préservation de la biodiversité :
- les jardins de Victoria au Canada où plus de 75 espèces venues de différentes régions du
monde sont maintenues dans un écosystème tropical reconstitué selon des principes éco
responsables,
- l’aquarium géant de Goudge Island abritant tout l’écosystème de la Colombie Britannique,
- la réserve nationale de la baie de Monterey réputée pour son institut biologique et les
300 000 animaux et 600 espèces végétales qui s’y concentrent
- le parc national du Yosemite, en Sierra Nevada (Etats‐Unis), constitué de 2 500 km de cours
d’eau et de centaines de parcs d’origine glaciaire,
- etc.
Cette première étape alternant traversée maritime et courts séjours à terre a aussi et surtout permis
à l’équipage de rencontrer les populations locales et quelques experts afin d’échanger avec eux au
sujet des évolutions récentes du climat et des actions mises en place pour la préservation des milieux
naturels.
Parmi les rencontres marquantes de ces premières semaines on note :
- Jeff, un spécialiste canadien de l’orque qui a permis de les observer au plus près à Victoria,
- Zakiya Harris, la fondatrice d’une association4 (« Grind for Green ») qui utilise la culture Hip
Hop pour attirer l’attention et mobiliser les jeunes d’Oakland (Etats‐Unis) sur les enjeux environnementaux,

4 Au‐delà de leurs textes écologiquement impliqués les rappeurs de l’association se produisent sur des scènes sonorisées et alimentées à l’énergie solaire.

- Pete Davidson, un scientifique du Scripps Institution of Oceanography de San Diego à
l’origine d’une expédition menée en 2009 dans la zone du Great Garbage Pacific5 afin de
l’étudier et de décrire son impact sur les espèces marines.
-
Deuxième étape : la Polynésie (septembre 2010 – août 2011), avant l’Antarctique (2012)
Après 3 semaines de navigation vers l’Ouest, Fleur Australe est arrivé en Polynésie où elle restera
près de 12 mois. Ce long séjour lui permettra de faire escale dans les nombreuses îles et atolls de
cette région très étendue afin de poursuivre ses observations et d’identifier d’autres initiatives
destinées à la préservation de l’environnement et de la biodiversité.
Premier chapitre de cette étape : les îles Marquises. Après une arrivée célébrée en grande pompe à
Nuku Hiva le 28 août dernier par la population locale, le bateau a fait des escales successives à Ua
Pou, Ua Huka, Hiva Oa et Fatu Hiva.
Philippe et Géraldine y ont eu un premier contact avec les richesses naturelles de l’archipel tels que
la vallée de Hakaui, la cascade de Vaipo, l’une des plus hautes du monde avec ses 350 mètres, le
plateau de Toovii, les Marae (ou Meae, site archéologique unique dans la région) ou encore Anaho,
l’un des rares endroits où un platier corallien a pu se développer aux Marquises. Ces observations les
ont notamment menées à rencontrer des spécialistes de la biodiversité et des personnalités
importantes pour échanger sur les problématiques locales :
- le réchauffement climatique et sur la montée des eaux qui menacent les îles du Pacifique
- la sauvegarde des espèces en voie de disparition de l’archipel.
- la sauvegarde du patrimoine marquisien.
- les menaces sur la biodiversité marine des îles Marquises
- le volcanisme et de la géologie de l’archipel
- la protection et la valorisation de l’agriculture aux Marquises
- la préservation des sites archéologiques face aux agressions climatiques
- etc.
Géraldine et Philippe ont également profité de cette étape pour projeter le film de leur première
expédition (« Une Fleur dans les glaces ‐ Le passage du Nord‐Ouest en famille ») à une classe de
collège qui n’avait pour la plupart jamais vu la banquise et n’imaginait pas qu’un bateau puisse
naviguer dans cet environnement. Ils ont également assisté à une projection du film qui a gagné le
prix du public du FIFO (Festival International du Film documentaire Océanien) : Marquisien Mon
Frère, réalisé par Jacques Navarro Rovira et produit par Bleu Lagon Productions & Grand Angle
Productions.
Fleur Australe mettra fin septembre les voiles pour Tahiti puis Tuamotu, Les Gambiers, Vanuatu, etc.
Le bateau mettra ensuite le cap fin 2011 vers la Nouvelle Calédonie, l’Australie et la Nouvelle Zélande
et poursuivra sa route en 2012 vers l’Antarctique jusqu’à la fin du périple en mars 2013 à la Réunion.
Quelques escales sont déjà prévues dans cette zone extrême, notamment à Cap Town et à la station
polaire scientifique Princess Elisabeth.
5 L’existence du Great Garbage Patch a été prédite dès 1988 par le National Oceanic and Atmospheric Administration
(NOAA), sur la base de recherches menées en Alaska. Cette zone est aujourd’hui plus étendue que le Texas. Elle se
caractérise par un nombre importants de déchets polluants qui dérivent en cercle, emportant avec eux poissons morts,
mammifères marins et autres oiseaux qui se retrouvent piégés. On évalue qu’il y a dans cette zone 6 kilos de plastique pour un kilo de plancton.

Electricité de Tahiti : L’activité et les engagements responsables de la filiale de
GDF SUEZ en Polynésie
Producteur et distributeur d’énergie électrique, EDT ‐ filiale de GDF SUEZ ‐ fournit de l’électricité à
près de 80 000 personnes dans plus d’une vingtaine d’îles de la Polynésie française dont Tahiti, qui
représente à elle seule 80 % des ventes totales en 2009.
EDT s’engage notamment à travailler avec le Pays afin d’aider à la mise en oeuvre de politiques de
l’énergie utiles à l’avenir du Pays. Dans cette optique, EDT a mis en place un plan d’actions sur toutes
les îles en s’appuyant sur la rigueur et le professionnalisme dans la conduite de ses exploitations et
projets.
Plusieurs programmes spécifiques sont développés sur l’axe protection de l’environnement avec
notamment la démarche Qualité Sécurité Environnement développée par le Groupe depuis plusieurs
années maintenant. Des actions bien spécifiques sont également mis en place tout comme le
programme de mise en souterrain des réseaux de distribution ou encore le programme de
développement des énergies renouvelables. Il faut noter que la production d’énergie hydroélectrique
représente plus de 25% en Polynésie française et plus de 30% sur Tahiti.
Un certain nombre d’actions ont déjà débutée dans le cadre de ce programme de développement
des énergies renouvelables telles que :
- la réalisation d’installations photovoltaïques sur le bâtiment de Puurai et sur l’île de Mataiva,
- l’amélioration de l’aménagement existant d’Hydroélectricité à Nuku Hiva,
- l’étude du potentiel éolien de la Polynésie française (déjà depuis 2008),
- la mise en place d’une politique de communication axée sur les économies d’énergie.
EDT s’engage par ailleurs en matière de responsabilité sociale sur ce territoire en soutenant des
actions sociales, culturelles et sportives, telles la SAGA, le Téléthon, le festival International du film
documentaire Océanien (FIFO), la fête de la science. En plus, le Groupe se démarque
particulièrement depuis 2 ans maintenant au travers de son soutien actif dans le milieu du Va’a.
EEC : Les solutions innovantes et durables développées par GDF SUEZ en Nouvelle
Calédonie
Historiquement implantée en Nouvelle Calédonie sous la dénomination UNELCO (depuis 1929), EEC ‐
filiale de GDF SUEZ – gère les distributions d’électricité des communes de Nouméa, Mont‐Dore,
Dumbéa, Bourail, Kaala‐ Gomen, Koumac et Lifou. Elle en assure également la maintenance et
l’exploitation des installations de l’éclairage public. Grâce à EEC, près de 60 000 personnes ont un
accès quotidien à l’énergie dans ces territoires.
Consciente des enjeux de son temps, comme la nécessaire maîtrise de l’énergie, EEC conçoit des
solutions durables et innovantes dans la gestion de services d’utilité publique en tant que partenaire
des collectivités, des entreprises et des particuliers. Une grande partie de sa production électrique
est en outre issues d’énergies renouvelables, à travers l’exploitation de :
- Éoliennes du Grand Sud, qui assurent 49 % des besoins électriques annuels de la ville du
Mont‐Dore ;
- Installations photovoltaïques, qui permettent par exemple l’électrification intégrale de l’île
de Tiga ;
- La centrale photovoltaïque Savexpress de Tina raccordée au réseau 1er octobre 2007
- Deux centrales hybrides, fonctionnant à l’île de friture retraitée sont également en cours de
construction, confirmant la volonté d’EEC de se positionner comme une société citoyenne.
EEC a part ailleurs mis en place un partenariat innovant avec une soixantaine de restaurants qui a
reçu le soutien de l’ADEME et du Gouvernement de Nouvelle Calédonie. Le principe : collecter dans
les restaurants partenaires les huiles alimentaires usagées pour alimenter les groupes électrogènes
de deux de ses centrales situées sur une île isolée à 40 km au large de Nouméa. Après traite ces
huiles par un simple principe de décantation et de filtration, elles se substituent au gasoil pour
alimenter ces groupes électrogènes qui fonctionnent de manière hybride avec des panneaux solaires.
Les restaurants partenaires reçoivent en contrepartie le label « L’assiette verte », permettant aussi
aux calédoniens de contribuer à cette dynamique.
EEC possède également deux filiales dont les activités sont tout autant orientées vers le
développement durable :
- ALIZES ENERGIE : producteur autonome en énergies renouvelables, elle assure également
l'exploitation de deux parcs éoliens implantés sur la commune du Mont‐Dore. Avec un parc
de 50 éoliennes et une capacité de production de plus de 20 GWh, ALIZES ENERGIE fourni en
2009 près de 65% de l’électricité vendue sur la commune du Mont‐Dore ;
- UNELCO : opérateur en production/distribution d’électricité et d’eau pour les principales
agglomérations de Nouvelle Calédonie, elle innove dans la mise au point de moyens de
production avec le minimum d’impact environnemental avec l’utilisation de biocarburant.
Avec la mise en service d’une centrale éolienne sur la Pointe du Diable, le lancement d’un
prototype d’électrification rurale à base d’huile de coprah et le développement au Vanuatu
du coco fuel, pour ses groupes électrogènes et le diester pour ses automobiles, UNELCO
participe à l’engagement pris par le Gouvernement du Vanuatu sur le Protocole de Kyoto.
EEC animera une action de communication pour les scolaires et les institutions afin de sensibiliser la
population aux enjeux environnementaux, d'autant plus que le lagon de Nouvelle‐Calédonie est
inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2008, une première pour un territoire d'outre‐mer
français.
Le lagon néo‐calédonien constitue la deuxième plus grande barrière corallienne continue du
monde après celle de l'Australie. La zone reconnue par l'UNESCO se répartit en six sites totalisant
quelques 15.000 km2, sur les 23.000 km2 que constitue la zone totale. Ces six espaces marins
représentent la diversité principale des récifs coralliens et des écosystèmes associés de l'archipel
français de Nouvelle‐Calédonie.

Dossier de presse complet en pièce jointe

Dossier de presse, cliquez pour agrandir

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Séance de dédicace le 20 Novembre à ODYSSEE de 9h à 14h.

Nous aurons le plaisir de rencontrer la célèbre comédienne Géraldine DANON ainsi que son époux le grand navigateur Philippe POUPON pour une séance de dédicaces de l'ouvrage "Une fleur dans les glaces - Le passage du Nord-Ouest en famille" à ODYSSEY le Samedi 20 Novembre 2010 de 9h à 12h

Résumé :

Le navigateur Philippe POUPON, la comédienne Géraldine DANON, et leurs quatres enfants : Loup, Nina, Laura et Marion, âgés de douze ans à neuf mois, embarquent un matin d'hiver sur Fleur Australe. Ils partent pour un long périple qui doit les mener des rivages enchantés de l'Afrique aux chatoyantes Antilles, puis toujours plus loin vers le nord.

Aux portes de l'Arctique, un beau défi les attend : joindre l'Atlantique au Pacifique par une route de tous les dangers, partiellement libérée des glaces seulement quelques semaines par an : le passage du Nord-Ouest. En ces régions mal cartographiées, parsemées de hauts-fonds imprévisibles, la traversée est extrêmement périlleuse. Il faut naviguer entre les icebergs et les floes, à la merci des courants violents et de la banquise qui menace sans cesse de refermer le passage, tandis que flotte le spectre d'un hivernage en milieu extrême...

Biographie :

Géraldine DANON, repérée par Jean-Pierre Mocky qui l'a fait jouer A mort l'arbitre à l'âge de treize ans, a enchaîné les rôles au cinéma aux côtés de Jeanne Moreau, Michel Piccoli, ou Gene Hackman, ainsi qu'au théâtre. Actrice, productrice, restauratrice et maman d'une famille nombreuse, elle court maintenant le monde avec son époux Philippe POUPON, l'un des navigateurs français les plus couronnés.

Rédigé par communiqué EDT le Mardi 16 Novembre 2010 à 14:40 | Lu 1936 fois