Le président de l’association 9-8-7, qui regroupe les familles des victimes du crash du twin otter d’Air Moorea, a rendez-vous mardi après-midi avec le Haut-commissaire afin d’évoquer avec lui les incidents survenus à bord d’un ATR le 18 novembre et d’un twin-otter le 1er décembre dernier.
Le premier incident avait eu lieu tôt le matin à l’aéroport de Moorea. Alors que le pilote mettait en route les moteurs de son ATR 7, l'alarme incendie s’était déclenchée, signalant un feu sur le moteur n°1. Le commandant de bord avait aussitôt déclenché l'extincteur interne du moteur. L’alerte aurait été provoquée par un joint d'injecteur défectueux. Aucune flamme n’avait été visible.
Le deuxième incident remonte au 30 novembre. Il avait eu lieu à bord d’un twin otter reliant Nuku Hiva à Ua Pou. Cette fois-ci, c’est de la fumée dans le cockpit qui avait obligé le pilote à faire demi-tour.
Alarmé par ces deux affaires, Nicolas Fourreau souhaite sensibiliser le représentant de l’Etat en Polynésie française. « Les statuts de notre association prévoient que nous prenions toutes les mesures nécessaires pour éviter qu’une catastrophe aérienne ne se reproduise en Polynésie » explique le président de l’association 9-8-7, qui compte demander au Haut-commissaire une « enquête approfondie du service d’Etat de l’aviation civile » sur ces incidents.
Le premier incident avait eu lieu tôt le matin à l’aéroport de Moorea. Alors que le pilote mettait en route les moteurs de son ATR 7, l'alarme incendie s’était déclenchée, signalant un feu sur le moteur n°1. Le commandant de bord avait aussitôt déclenché l'extincteur interne du moteur. L’alerte aurait été provoquée par un joint d'injecteur défectueux. Aucune flamme n’avait été visible.
Le deuxième incident remonte au 30 novembre. Il avait eu lieu à bord d’un twin otter reliant Nuku Hiva à Ua Pou. Cette fois-ci, c’est de la fumée dans le cockpit qui avait obligé le pilote à faire demi-tour.
Alarmé par ces deux affaires, Nicolas Fourreau souhaite sensibiliser le représentant de l’Etat en Polynésie française. « Les statuts de notre association prévoient que nous prenions toutes les mesures nécessaires pour éviter qu’une catastrophe aérienne ne se reproduise en Polynésie » explique le président de l’association 9-8-7, qui compte demander au Haut-commissaire une « enquête approfondie du service d’Etat de l’aviation civile » sur ces incidents.