Une union de développement pour éviter de créer des doublons chez les autonomistes et que tout le monde travaille en parfaite intelligence pour le candidat UMP et la victoire.
Un candidat qui incarne le courage et la volonté de mener les réformes qui doivent impérativement être conduites et permettre ainsi d’éviter le pillage des fonds de la CPS destinés aux retraités. N’en déplaise à l’actuel ministre des finances qui n’a finalement pas eu le prêt de 3 milliards puisqu’il s'y était lui-même fermement opposé lorsqu'il siégeait au conseil d'administration de la CPS.
Un Président de la République qui, malgré les propos et les agissements outrageants du Président Oscar TEMARU, n’a jamais abandonné la Polynésie française. N’est ce pas d’ailleurs, le gouvernement TEMARU qui a décidé d’exclure l’Etat de sa nouvelle stratégie de développement en reniant sa signature pour l’octroi d’un prêt de 6 milliard de francs ?
Un Nicolas SARKOZY qui a adressé un message solennel aux Polynésiens pour réaffirmer la force du lien qui unit la Polynésie à la République, face à un François Hollande qui s’est déclaré samedi à Paris, pour l’évolution du statut et qui veut proposer à la population de se prononcer. N’est-ce pas le même candidat du PS qui s’est dit contre l’indépendance de la Polynésie française ?
Un partenaire qui travaille à nos côtés pour redresser notre Pays, avec des réponses claires, face à autant de réponses floues, que François Hollande balaie d’un revers de main dans sa stratégie d’évitement permanent !
Un homme à l’écoute des Polynésiens pour bâtir cette nouvelle Polynésie que nous souhaitons tous. Tiens donc, François Hollande a-t-il répondu Samedi à Paris, au Ministre de l’Education, Tauhiti Nena, alors que celui-ci l’avait sollicité au sujet de la loi nationale de programmation des moyens de l’éducation en Polynésie ?
Et enfin, un sondage IFOP réalisé les 11 et 12 mars après Villepinte, très révélateur. Au 1er tour, le Président sortant Nicolas sarkozy passe en tête avec 28,5 % face à François Hollande Maohi Socialist avec 27,0%.
Un candidat qui incarne le courage et la volonté de mener les réformes qui doivent impérativement être conduites et permettre ainsi d’éviter le pillage des fonds de la CPS destinés aux retraités. N’en déplaise à l’actuel ministre des finances qui n’a finalement pas eu le prêt de 3 milliards puisqu’il s'y était lui-même fermement opposé lorsqu'il siégeait au conseil d'administration de la CPS.
Un Président de la République qui, malgré les propos et les agissements outrageants du Président Oscar TEMARU, n’a jamais abandonné la Polynésie française. N’est ce pas d’ailleurs, le gouvernement TEMARU qui a décidé d’exclure l’Etat de sa nouvelle stratégie de développement en reniant sa signature pour l’octroi d’un prêt de 6 milliard de francs ?
Un Nicolas SARKOZY qui a adressé un message solennel aux Polynésiens pour réaffirmer la force du lien qui unit la Polynésie à la République, face à un François Hollande qui s’est déclaré samedi à Paris, pour l’évolution du statut et qui veut proposer à la population de se prononcer. N’est-ce pas le même candidat du PS qui s’est dit contre l’indépendance de la Polynésie française ?
Un partenaire qui travaille à nos côtés pour redresser notre Pays, avec des réponses claires, face à autant de réponses floues, que François Hollande balaie d’un revers de main dans sa stratégie d’évitement permanent !
Un homme à l’écoute des Polynésiens pour bâtir cette nouvelle Polynésie que nous souhaitons tous. Tiens donc, François Hollande a-t-il répondu Samedi à Paris, au Ministre de l’Education, Tauhiti Nena, alors que celui-ci l’avait sollicité au sujet de la loi nationale de programmation des moyens de l’éducation en Polynésie ?
Et enfin, un sondage IFOP réalisé les 11 et 12 mars après Villepinte, très révélateur. Au 1er tour, le Président sortant Nicolas sarkozy passe en tête avec 28,5 % face à François Hollande Maohi Socialist avec 27,0%.