Dans la phase initiale de ce procès, il a été formellement informé de l’existence de douze chefs d’accusation portés à son encontre, dont le blanchiment d’argent, l’évasion fiscale et le défaut de déclaration de possession de devises étrangères.
M. Chaudhry avait la veille été entendu par la brigade criminelle.
Lors de cette première audience, au cours de laquelle il n’a pas encore été demandé à l’accusé d’annoncer s’il plaidait coupable ou pas, la justice a décidé d’ajourner au vendredi 30 juillet 2010 pour une nouvelle audience en Haute Cour.
M. Chaudhry, qui était représenté par son fils Rajendra, a été relâché sous caution avec interdiction de quitter le territoire.
Interpellé dans la matinée de jeudi par la brigade criminelle de la police, M. Chaudhry avait rapidement été relâché l’après-midi même.
M. Chaudhry, qui fut le premier citoyen d’origine indienne à diriger un gouvernement travailliste arrivé au pouvoir après les législatives de mai 1999, fut renversé exactement un an plus tard par le coup d’État mené par le nationaliste George Speight.
Retenu en otage au sein du complexe du Parlement pendant les 55 jours qui ont suivi le putsch du 19 mai 2000, il avait ensuite effectué une série de voyages à l’étranger (y compris en Australie et en Inde) afin de rallier un soutien international et de collecter des fonds pour son parti et la communauté d’origine indienne des îles Fidji.
Après le dernier putsch en date de l’histoire de Fidji, mené le 5 décembre 2006 par le Contre-amiral Franck Bainimarama, M. Chaudhry avait participé au gouvernement qui en est issu, dirigé par le Contre-amiral, avant de s’en désolidariser.
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M. Chaudhry avait la veille été entendu par la brigade criminelle.
Lors de cette première audience, au cours de laquelle il n’a pas encore été demandé à l’accusé d’annoncer s’il plaidait coupable ou pas, la justice a décidé d’ajourner au vendredi 30 juillet 2010 pour une nouvelle audience en Haute Cour.
M. Chaudhry, qui était représenté par son fils Rajendra, a été relâché sous caution avec interdiction de quitter le territoire.
Interpellé dans la matinée de jeudi par la brigade criminelle de la police, M. Chaudhry avait rapidement été relâché l’après-midi même.
M. Chaudhry, qui fut le premier citoyen d’origine indienne à diriger un gouvernement travailliste arrivé au pouvoir après les législatives de mai 1999, fut renversé exactement un an plus tard par le coup d’État mené par le nationaliste George Speight.
Retenu en otage au sein du complexe du Parlement pendant les 55 jours qui ont suivi le putsch du 19 mai 2000, il avait ensuite effectué une série de voyages à l’étranger (y compris en Australie et en Inde) afin de rallier un soutien international et de collecter des fonds pour son parti et la communauté d’origine indienne des îles Fidji.
Après le dernier putsch en date de l’histoire de Fidji, mené le 5 décembre 2006 par le Contre-amiral Franck Bainimarama, M. Chaudhry avait participé au gouvernement qui en est issu, dirigé par le Contre-amiral, avant de s’en désolidariser.
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