PAPEETE, le 12 avril 2016 - L'homme de 25 ans qui avait été placé en incarcération provisoire lundi en fin d'après-midi, pour avoir roué de coups samedi à Bora Bora un collègue de travail qu'il soupçonnait d'entretenir une liaison avec sa femme a été condamné à 18 mois de prison dont 9 mois ferme. Il a donc été maintenu en détention.
Renvoyé devant le tribunal pour violences volontaires ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à 8 jours, le jeune homme a été jugé ce mardi matin en comparution immédiate. La victime, littéralement passée à tabac, souffre de multiples fractures orbitales, oculaires, de la mâchoire et des côtes. Le malheureux est toujours hospitalisé en chirurgie.
Agée de 29 ans, la victime avait été tabassée chez elle, tôt samedi matin, à son domicile à Anau. C'est un ami qui l'avait retrouvé, inconscient. Son incapacité totale de travail (ITT) est établie à 45 jours. L'auteur de l'agression avait été interpellé par les gendarmes samedi après-midi. Il a été déféré ce lundi au parquet puis présenté au juge des libertés et de la détention.
Il ressort de l'enquête qu'une histoire de jalousie serait à l'origine de ce déferlement de violence, l'auteur des coups soupçonnant sa victime, un collègue de travail, d'entretenir une relation avec sa compagne, a-t-on appris de sources judiciaires.
L'agresseur a donc écopé d'un mandat de dépôt, et d'une condamnation immédiate à 18 mois de prison dont 9 ferme.
Renvoyé devant le tribunal pour violences volontaires ayant entraîné une incapacité de travail supérieure à 8 jours, le jeune homme a été jugé ce mardi matin en comparution immédiate. La victime, littéralement passée à tabac, souffre de multiples fractures orbitales, oculaires, de la mâchoire et des côtes. Le malheureux est toujours hospitalisé en chirurgie.
Agée de 29 ans, la victime avait été tabassée chez elle, tôt samedi matin, à son domicile à Anau. C'est un ami qui l'avait retrouvé, inconscient. Son incapacité totale de travail (ITT) est établie à 45 jours. L'auteur de l'agression avait été interpellé par les gendarmes samedi après-midi. Il a été déféré ce lundi au parquet puis présenté au juge des libertés et de la détention.
Il ressort de l'enquête qu'une histoire de jalousie serait à l'origine de ce déferlement de violence, l'auteur des coups soupçonnant sa victime, un collègue de travail, d'entretenir une relation avec sa compagne, a-t-on appris de sources judiciaires.
L'agresseur a donc écopé d'un mandat de dépôt, et d'une condamnation immédiate à 18 mois de prison dont 9 ferme.
