Le ministre de l’économie rurale en charge de l’agriculture, Frédéric Riveta, a proposé au conseil des ministres qui l’a approuvé la participation du Pays au capital de la SA Kai hotu rau.
Soucieux du monde agricole, Frédéric Riveta a proposé il y a plusieurs mois la mise en place d’une société de commercialisation, dispositif important visant à écouler les productions des agriculteurs de la Polynésie française.
Kai hotu rau sera un centre de collecte, de nettoyage, de triage, de conditionnement calibré et de distribution de tous les produits fruitiers et maraîchers. L'idée étant de gérer au mieux l'offre et la demande dans l’optique de réguler l'écoulement.
Il s’agira d’un outil au service des agriculteurs en charge de la logistique et de la commercialisation afin de laisser le producteur se concentrer sur son coeur de métier et assurer une récolte de qualité.
Pour pérenniser ce dispositif, le ministère a décidé de confier ce projet à des investisseurs privés locaux, d’où la création d’une société anonyme, la SA Kai hotu rau, dans laquelle le Pays serait actionnaire aux côtés des investisseurs privés.
Ceux-ci ont été identifiés et ils sont prêts à contribuer dans ce projet à la réorganisation des circuits de distribution de nos produits locaux. A noter également que dans les 49% de parts du Pays, 5% à 10% seront proposées aux coopératives ou groupements d’agriculteurs de tous les archipels.
La volonté du ministère est de développer ou re-développer une économie dans les îles grâce à l'agriculture, faire en sorte que le producteur puisse bénéficier d'un véritable revenu régulier. A plus long terme, l’objectif est de mettre fin ou, du moins, de ralentir l'exode rural des îles vers Tahiti de tous les jeunes qui ne trouvent pas d'emploi dans leur île.
Soucieux du monde agricole, Frédéric Riveta a proposé il y a plusieurs mois la mise en place d’une société de commercialisation, dispositif important visant à écouler les productions des agriculteurs de la Polynésie française.
Kai hotu rau sera un centre de collecte, de nettoyage, de triage, de conditionnement calibré et de distribution de tous les produits fruitiers et maraîchers. L'idée étant de gérer au mieux l'offre et la demande dans l’optique de réguler l'écoulement.
Il s’agira d’un outil au service des agriculteurs en charge de la logistique et de la commercialisation afin de laisser le producteur se concentrer sur son coeur de métier et assurer une récolte de qualité.
Pour pérenniser ce dispositif, le ministère a décidé de confier ce projet à des investisseurs privés locaux, d’où la création d’une société anonyme, la SA Kai hotu rau, dans laquelle le Pays serait actionnaire aux côtés des investisseurs privés.
Ceux-ci ont été identifiés et ils sont prêts à contribuer dans ce projet à la réorganisation des circuits de distribution de nos produits locaux. A noter également que dans les 49% de parts du Pays, 5% à 10% seront proposées aux coopératives ou groupements d’agriculteurs de tous les archipels.
La volonté du ministère est de développer ou re-développer une économie dans les îles grâce à l'agriculture, faire en sorte que le producteur puisse bénéficier d'un véritable revenu régulier. A plus long terme, l’objectif est de mettre fin ou, du moins, de ralentir l'exode rural des îles vers Tahiti de tous les jeunes qui ne trouvent pas d'emploi dans leur île.