PAPEETE, le 4 septembre 2017 - Pour la tournée de ses 50 ans de carrière, Julien Clerc vient pour la première fois en Polynésie française. Au programme le 8 septembre à To'ata : ses plus grands classiques dans un accompagnement intimiste à deux pianos. Un concert qui s'annonce exceptionnel pour les fans de l'artiste comme pour ceux qui le découvrent à peine.
Quelle que soit notre génération, il est impossible de ne pas connaitre Julien Clerc tant il a créé de classiques de la chanson française. "Ma préférence", "Utile", "Femmes, je vous aime", "Ce n'est rien" ou encore "Mélissa", l'artiste a enchainé les tubes en 50 ans, disséminés en 23 albums et un amour immodéré de la scène.
Il va les chanter pour la première fois au public polynésien ce vendredi 8 septembre à la place To'ata, pour un concert inclus dans la tournée de ses 50 ans de carrière. Une formule à deux pianos "et divers petites astuces rythmiques pour certaines chansons" assure l'artiste, qui sera donc au chant et au clavier, avec son complice Benjamin Constant au deuxième piano.
Le concert commencera à 19h30 par une première partie assurée par le groupe Coconut Jazz, composé de Reva Juventin (chant), Bruno Demougeot (piano), Teiki Lang (basse) et Jean-Philippe Porta (batterie). Connu pour ses nombreuses animations dans les restaurants, hôtels et bars de Tahiti, le groupe créé en 2013 effectuera pour l'occasion sa première représentation à Toa'ata. Son style soul/jazz intègre également de la variété locale et internationale, toujours adaptés dans le style de ces excellents artistes locaux.
Les billets coûtent entre 4500 Fcfp pour les sièges "bronze" et 10 000 Fcfp pour les sièges "VIP", devant la scène avec un cocktail dinatoire d'après-concert. Ils sont vendus par la billetterie de Radio1 et aux magasins Carrefour.
Quelle que soit notre génération, il est impossible de ne pas connaitre Julien Clerc tant il a créé de classiques de la chanson française. "Ma préférence", "Utile", "Femmes, je vous aime", "Ce n'est rien" ou encore "Mélissa", l'artiste a enchainé les tubes en 50 ans, disséminés en 23 albums et un amour immodéré de la scène.
Il va les chanter pour la première fois au public polynésien ce vendredi 8 septembre à la place To'ata, pour un concert inclus dans la tournée de ses 50 ans de carrière. Une formule à deux pianos "et divers petites astuces rythmiques pour certaines chansons" assure l'artiste, qui sera donc au chant et au clavier, avec son complice Benjamin Constant au deuxième piano.
Le concert commencera à 19h30 par une première partie assurée par le groupe Coconut Jazz, composé de Reva Juventin (chant), Bruno Demougeot (piano), Teiki Lang (basse) et Jean-Philippe Porta (batterie). Connu pour ses nombreuses animations dans les restaurants, hôtels et bars de Tahiti, le groupe créé en 2013 effectuera pour l'occasion sa première représentation à Toa'ata. Son style soul/jazz intègre également de la variété locale et internationale, toujours adaptés dans le style de ces excellents artistes locaux.
Les billets coûtent entre 4500 Fcfp pour les sièges "bronze" et 10 000 Fcfp pour les sièges "VIP", devant la scène avec un cocktail dinatoire d'après-concert. Ils sont vendus par la billetterie de Radio1 et aux magasins Carrefour.
Julien Clerc, en concert à To'ata ce vendredi 8 septembre
Que nous as-tu prévus pour ce concert de vendredi ?
Il faut savoir d'abord que c'est un spectacle à deux claviers, ce n'est pas un spectacle avec tout un groupe. Il est forcément plus intimiste. Il y a donc quelques passages avec uniquement pianos et voix. Mais il n'y a pas que ça. Avec Benjamin Constant qui m'accompagne, je pense qu'on a réussi à faire un truc assez varié, en particulier au nouveau des rythmes. On a deux claviers et un chanteur, mais aujourd'hui on a la possibilité de facilement rajouter des rythmes et des sons, surtout avec un clavier, donc c'est facile de compléter.
Par exemple en Nouvelle-Calédonie on a joué "Lili voulez-vous aller danser", qui est un rock-and-roll très classique, ce qui est difficile à faire purement au piano. Du coup je l'avais enlevée du tour, mais il y a eu beaucoup de rappels donc on l'a faite quand même, en piano-voix. Et c'était très bien. Quand les textes sont bons la chanson est forcément belle même débarrassée de tous les autres instruments et de la production. En fait c'est un tour où les chansons ressemblent beaucoup à ce qu'elles sont au moment où je les compose…
C'est la première fois que tu viens à Tahiti et en Nouvelle-Calédonie… pourquoi attendre 50 ans avant de venir nous rendre visite ?
Je ne sais pas ! (rire) Peut-être qu'on ne m'a pas demandé avant. J'ai changé de manager récemment, donc peut-être que les nouveaux pensent que c'est intéressant de venir… Je ne sais pas. En tous cas je suis enchanté de venir, j'ai accepté immédiatement. Surtout qu'on voyage beaucoup cette année, après Tahiti on part pour le Canada pour trois semaines, donc ça a une cohérence de s'arrêter dans le Pacifique.
Tu n'es pas forcément aussi connu en Polynésie qu'en métropole, penses-tu que le public local appréciera tout de même le spectacle ?
Bien sûr ! Je pense qu'ils vont aimer parce que ce sont de bonnes chansons, de belles chansons. Généralement les morceaux qui ont marché ailleurs marcheront partout. Et on joue toujours pour le public, même pour ceux qui ne nous connaissent pas très bien, c'est rigolo aussi de les rencontrer ! C'est ça le métier de chanteur.
Il faut savoir d'abord que c'est un spectacle à deux claviers, ce n'est pas un spectacle avec tout un groupe. Il est forcément plus intimiste. Il y a donc quelques passages avec uniquement pianos et voix. Mais il n'y a pas que ça. Avec Benjamin Constant qui m'accompagne, je pense qu'on a réussi à faire un truc assez varié, en particulier au nouveau des rythmes. On a deux claviers et un chanteur, mais aujourd'hui on a la possibilité de facilement rajouter des rythmes et des sons, surtout avec un clavier, donc c'est facile de compléter.
Par exemple en Nouvelle-Calédonie on a joué "Lili voulez-vous aller danser", qui est un rock-and-roll très classique, ce qui est difficile à faire purement au piano. Du coup je l'avais enlevée du tour, mais il y a eu beaucoup de rappels donc on l'a faite quand même, en piano-voix. Et c'était très bien. Quand les textes sont bons la chanson est forcément belle même débarrassée de tous les autres instruments et de la production. En fait c'est un tour où les chansons ressemblent beaucoup à ce qu'elles sont au moment où je les compose…
C'est la première fois que tu viens à Tahiti et en Nouvelle-Calédonie… pourquoi attendre 50 ans avant de venir nous rendre visite ?
Je ne sais pas ! (rire) Peut-être qu'on ne m'a pas demandé avant. J'ai changé de manager récemment, donc peut-être que les nouveaux pensent que c'est intéressant de venir… Je ne sais pas. En tous cas je suis enchanté de venir, j'ai accepté immédiatement. Surtout qu'on voyage beaucoup cette année, après Tahiti on part pour le Canada pour trois semaines, donc ça a une cohérence de s'arrêter dans le Pacifique.
Tu n'es pas forcément aussi connu en Polynésie qu'en métropole, penses-tu que le public local appréciera tout de même le spectacle ?
Bien sûr ! Je pense qu'ils vont aimer parce que ce sont de bonnes chansons, de belles chansons. Généralement les morceaux qui ont marché ailleurs marcheront partout. Et on joue toujours pour le public, même pour ceux qui ne nous connaissent pas très bien, c'est rigolo aussi de les rencontrer ! C'est ça le métier de chanteur.