Journée d’information post-bac : toutes les formations de Polynésie présentes à l’UPF


Se regrouper pour mieux informer. C’est ce qu’ont souhaité les établissements de formation supérieure en Polynésie française : l’Université bien sûr, mais aussi l’ISEPP, l’école de commerce de Tahiti, l’institut Mathilde Frébault, le lycée agricole de Opunohu, le CNED, le cours Bufflier…  Se joindront aussi à cette journée d’information post-bac, qui aura lieu le 2 février à l’université, des organismes tels que les affaires sociales, l’armée, le Haut-commissariat, et les représentants des universités et établissements supérieurs de Nouvelle Zélande.

4 000 élèves sont attendus, « par vagues de mille », explique Vincent Dropsy, maître de conférences, membre de l’équipe de direction, qui inscrit cette opération dans une perspective plus large : faire de l’orientation, puis de l’orientation professionnelle, une « mission à part entière » de l’UPF. « L’université, en regroupant dans un seul lieu  toutes les options possibles pour les lycéens, leur permettra d’avoir une vision complète de toutes les principales formations accessibles après le baccalauréat » explique-t-il.

La journée se déroulera en trois volets : l’animation de stands par les organismes de formation, la présentation des filières de l’université et leurs débouchés en amphis, et des rencontres avec des conseillers d’orientation, pour permettre aux lycéens d’affiner leur projet professionnel et de bénéficier d’un accompagnement pour l’utilisation du portail unique, [www.admission-postbac.fr]url:http://www.admission-postbac.fr/ [.]urlblank:www.admission-postbac.fr

L’UPF proposera à la rentrée 12 licences. C’est deux de plus que cette année : les nouveautés sont la division en deux de la licence Mathématique/Informatique, et la création d’une licence E.I.O : environnement, île, Océanie, qui sera pluridisciplinaire, et qui vise à former de jeunes polynésiens aux métiers de l’environnement et du développement durable. Ce nouveau catalogue de formation doit encore être avalisé par Le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER ), à la mi-avril.

Quant à la licence d’anglais, condamnée par la précédente équipe dirigeante, elle est maintenue, « au vu des nouvelles statistiques qui prouvent que les postes disponibles dans l’enseignement à l’avenir seront beaucoup nombreux que prévu » affirme Vincent Dropsy.



Rédigé par F K le Vendredi 27 Janvier 2012 à 11:04 | Lu 1216 fois