Ils se trouvent cette semaine aussi à Nouméa pour marquer le début d’un compte à rebours qui s’achèvera le 27 août 2011, date prévue de l’ouverture des 14ème Jeux du Pacifique en Nouvelle-Calédonie.
La Nouvelle-Calédonie avait précédemment organisé les Jeux du Pacifique à deux reprises : en 1966 et en 1987.
Cette année-là, plusieurs pays océaniens avaient boycotté les Jeux, après les graves troubles civils qui avaient marqué ce territoire français au cours de la première moitié des années 1980.
Ces Jeux devraient durer jusqu’au 10 septembre 2011 et devraient drainer quelque cinq milliers de visiteurs (dont trois mille cinq cent athlètes, cadres et officiels) vers la Nouvelle-Calédonie,
À cette occasion, la Nouvelle-Calédonie a entrepris depuis trois ans un vaste programme de construction et de remise à niveau des infrastructures sportives.
Le montant investi dans ce cadre est actuellement estimé à plus de 125 millions d’euros, dont une part sera consacrée à la construction (en cours, pour une trentaine de millions d’euros) de ce qui sera dans un premier temps le Village des Jeux et deviendra ensuite, avec une capacité de cinq cent chambres, la clé de voûte du dispositif de logement des étudiants de l’Université de la Nouvelle-Calédonie.
Dans le cadre de l'organisation de ces Jeux, la Nouvelle-Calédonie devrait bénéficier d'un soutien appuyé de la France, qui considère ce genre d'événement comme un facteur déterminant d'intégration de ses collectivités océaniennes dans leur environnement régional.
Un complexe polyvalent devrait, à lui seul, coûter près d'une dizaine de millions d'euros.
La Nouvelle-Calédonie avait remporté une âpre lutte, en juillet 2005, lors d'une réunion du Conseil des Jeux en marge des Mini-Jeux du Pacifique qui se déroulaient cette année-là à Koror (Palau).
La candidature de la Nouvelle-Calédonie l'avait alors emporté sur celle des îles Salomon et des Samoa américaines.
Daniel Constantin, alors Haut-Commissaire du gouvernement français, s’était rendu à Palau pour assurer les pays océaniens que la Nouvelle-Calédonie, pour l'organisation de ces Jeux 2011, souhaite « conserver la dimension océanienne » de cet événement sportif, notamment en le décentralisant autant que possible, à l’extérieur de Nouméa, dans les provinces de cette collectivité française du Pacifique.
La Nouvelle-Calédonie avait précédemment organisé les Jeux du Pacifique à deux reprises : en 1966 et en 1987.
Cette année-là, plusieurs pays océaniens avaient boycotté les Jeux, après les graves troubles civils qui avaient marqué ce territoire français au cours de la première moitié des années 1980.
Ces Jeux devraient durer jusqu’au 10 septembre 2011 et devraient drainer quelque cinq milliers de visiteurs (dont trois mille cinq cent athlètes, cadres et officiels) vers la Nouvelle-Calédonie,
À cette occasion, la Nouvelle-Calédonie a entrepris depuis trois ans un vaste programme de construction et de remise à niveau des infrastructures sportives.
Le montant investi dans ce cadre est actuellement estimé à plus de 125 millions d’euros, dont une part sera consacrée à la construction (en cours, pour une trentaine de millions d’euros) de ce qui sera dans un premier temps le Village des Jeux et deviendra ensuite, avec une capacité de cinq cent chambres, la clé de voûte du dispositif de logement des étudiants de l’Université de la Nouvelle-Calédonie.
Dans le cadre de l'organisation de ces Jeux, la Nouvelle-Calédonie devrait bénéficier d'un soutien appuyé de la France, qui considère ce genre d'événement comme un facteur déterminant d'intégration de ses collectivités océaniennes dans leur environnement régional.
Un complexe polyvalent devrait, à lui seul, coûter près d'une dizaine de millions d'euros.
La Nouvelle-Calédonie avait remporté une âpre lutte, en juillet 2005, lors d'une réunion du Conseil des Jeux en marge des Mini-Jeux du Pacifique qui se déroulaient cette année-là à Koror (Palau).
La candidature de la Nouvelle-Calédonie l'avait alors emporté sur celle des îles Salomon et des Samoa américaines.
Daniel Constantin, alors Haut-Commissaire du gouvernement français, s’était rendu à Palau pour assurer les pays océaniens que la Nouvelle-Calédonie, pour l'organisation de ces Jeux 2011, souhaite « conserver la dimension océanienne » de cet événement sportif, notamment en le décentralisant autant que possible, à l’extérieur de Nouméa, dans les provinces de cette collectivité française du Pacifique.