Jean-Christophe Bouissou
PAPEETE, 18 septembre 2014 - Nommé mardi porte-parole du gouvernement, ministre de la Relance économique, en charge du Tourisme et des Transports internationaux, de l’Industrie, du Commerce et des Entreprises, le numéro trois de l’exécutif polynésien occupe une position clef dans le dispositif gouvernemental mis en place par le Président Fritch.
Vous êtes à la tête d’un ministère central du gouvernement Fritch. Vous sentez-vous prêt à relever ce défi ?
Jean-Christophe Bouissou : J’ai pris toute la mesure de l’importance du portefeuille. Le Tourisme est le moteur du développement économique de la Polynésie, qui tire l’ensemble des secteurs d’activité. Je suis conscient que l’on attend beaucoup de ma part, comme de l’ensemble du gouvernement. Et puis à côté, il y a bien entendu le transport aérien international. Je rencontre dès samedi matin M. Monvoisin, le P-dg d’Air Tahiti Nui pour envisager avec lui la poursuite du développement de notre compagnie.
Et puis je souhaite aussi féliciter l’ancien ministre Geffry Salmon pour le travail colossal qui a été réalisé. On le voit au niveau des chiffres du tourisme, avec l’augmentation du nombre de visiteurs et des dépenses touristiques : 180000 touristes prévus en 2014, 200000 attendus en 2015. Si on continue sur cette voie, on confortera cette progression (…). Je prends ce ministère dans de très bonnes conditions.
Ministre de l’Economie, en charge notamment du Tourisme, en vous installant dans les locaux du Fare Manihini, affirmez-vous que ce secteur sera votre priorité ?
Jean-Christophe Bouissou : Pour générer de la croissance nous avons besoin d’une économie florissante. Et pour cela, il faut que nous ayons des investissements qui soient réalisés dans le Pays, notamment au travers de financements extérieurs. Vous comprenez finalement que, l’activité touristique, les constructions d’hôtels – pourquoi pas demain de Palaces qui seraient en Polynésie de véritables joyaux sur plan planétaires –, favorisent l’essor économique de toutes les entreprises polynésiennes.
Le Tourisme sera-t-il le fer de lance de votre activité ministérielle ?
Jean-Christophe Bouissou : Tous les secteurs d’activité sont importants pour moi et pour le gouvernement. Mais il est bien clair que le Tourisme, avec l’Economie, c’est déjà un signal clair donné sur l’orientation du développement économique avec comme moteur l’industrie touristique et son développement.
Dans ce cadre, le Tahiti Mahana Beach sera-t-il l’un de vos dossiers prioritaires ?
Jean-Christophe Bouissou : Sur le plan le plan touristique oui, en termes de gros projets. Je vais le regarder de près pour savoir où nous en sommes, car en étant à l’Assemblée on était un peu à l’écart du détail et du déroulement de ces processus. Trois dossiers ont été retenus. Un est manifestement préféré par l’ancien gouvernement. Je vais regarder tout ça de près pour savoir où nous en sommes et envisager les options qui se présentent à nous.
Les chefs d’entreprise attendent beaucoup de vous. Que leur dites-vous ?
Jean-Christophe Bouissou : Ils attendent beaucoup et j’attends beaucoup aussi de leur participation. Je souhaite leur annoncer tout de suite que je ferai appel, assez rapidement, aux groupements patronaux pour discuter, secteur par secteur, des problématiques qui demeurent aujourd’hui. (…) Le temps est venu de donner un coup de pouce à ces entreprises. On ne pourra pas tout faire simultanément et il nous faudra dégager des priorités. Au cours des quinze jours, trois prochaines semaines, je vais rencontrer les patrons. Ensuite je ferai des propositions en Conseil des ministres.
Vous êtes à la tête d’un ministère central du gouvernement Fritch. Vous sentez-vous prêt à relever ce défi ?
Jean-Christophe Bouissou : J’ai pris toute la mesure de l’importance du portefeuille. Le Tourisme est le moteur du développement économique de la Polynésie, qui tire l’ensemble des secteurs d’activité. Je suis conscient que l’on attend beaucoup de ma part, comme de l’ensemble du gouvernement. Et puis à côté, il y a bien entendu le transport aérien international. Je rencontre dès samedi matin M. Monvoisin, le P-dg d’Air Tahiti Nui pour envisager avec lui la poursuite du développement de notre compagnie.
Et puis je souhaite aussi féliciter l’ancien ministre Geffry Salmon pour le travail colossal qui a été réalisé. On le voit au niveau des chiffres du tourisme, avec l’augmentation du nombre de visiteurs et des dépenses touristiques : 180000 touristes prévus en 2014, 200000 attendus en 2015. Si on continue sur cette voie, on confortera cette progression (…). Je prends ce ministère dans de très bonnes conditions.
Ministre de l’Economie, en charge notamment du Tourisme, en vous installant dans les locaux du Fare Manihini, affirmez-vous que ce secteur sera votre priorité ?
Jean-Christophe Bouissou : Pour générer de la croissance nous avons besoin d’une économie florissante. Et pour cela, il faut que nous ayons des investissements qui soient réalisés dans le Pays, notamment au travers de financements extérieurs. Vous comprenez finalement que, l’activité touristique, les constructions d’hôtels – pourquoi pas demain de Palaces qui seraient en Polynésie de véritables joyaux sur plan planétaires –, favorisent l’essor économique de toutes les entreprises polynésiennes.
Le Tourisme sera-t-il le fer de lance de votre activité ministérielle ?
Jean-Christophe Bouissou : Tous les secteurs d’activité sont importants pour moi et pour le gouvernement. Mais il est bien clair que le Tourisme, avec l’Economie, c’est déjà un signal clair donné sur l’orientation du développement économique avec comme moteur l’industrie touristique et son développement.
Dans ce cadre, le Tahiti Mahana Beach sera-t-il l’un de vos dossiers prioritaires ?
Jean-Christophe Bouissou : Sur le plan le plan touristique oui, en termes de gros projets. Je vais le regarder de près pour savoir où nous en sommes, car en étant à l’Assemblée on était un peu à l’écart du détail et du déroulement de ces processus. Trois dossiers ont été retenus. Un est manifestement préféré par l’ancien gouvernement. Je vais regarder tout ça de près pour savoir où nous en sommes et envisager les options qui se présentent à nous.
Les chefs d’entreprise attendent beaucoup de vous. Que leur dites-vous ?
Jean-Christophe Bouissou : Ils attendent beaucoup et j’attends beaucoup aussi de leur participation. Je souhaite leur annoncer tout de suite que je ferai appel, assez rapidement, aux groupements patronaux pour discuter, secteur par secteur, des problématiques qui demeurent aujourd’hui. (…) Le temps est venu de donner un coup de pouce à ces entreprises. On ne pourra pas tout faire simultanément et il nous faudra dégager des priorités. Au cours des quinze jours, trois prochaines semaines, je vais rencontrer les patrons. Ensuite je ferai des propositions en Conseil des ministres.