GENEVE, 11 mars 2011 (AFP) - La Fédération internationale de la Croix-Rouge (FICR) a fait part vendredi de son inquiétude pour les pays côtiers les plus pauvres menacés par une série de vagues liées au séisme survenu au Japon.
"Dans la région, en particulier dans les régions côtières vulnérables, nous avons disposé des stocks d'abris, de vivres et du matériel d'assistance médicale pour aider les personnes", a déclaré à l'AFP Paul Conneally, porte-parole de la FICR.
"Nous sommes particulièrement préoccupés pour les pays côtiers et en développement qui sont particulièrement vulnérables et qui pourraient ne pas avoir des mécanismes nationaux de réponse pour faire face" à une telle catastrophe, a-t-il ajouté, citant notamment les "Philippines, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et les îles du Pacifique".
"Nous sommes très inquiets. Nous surveillons de près la situation", a insisté M. Conneally, soulignant que ces pays auraient peut-être à évacuer leurs populations, avec le soutien de la Fédération de la Croix-Rouge si nécessaire.
Selon le porte-parole, les vagues pourraient atteindre un à dix mètres, "ce qui est plus haut que certaines îles".
"Nous devons être prêts pour tous les scénarios", a-t-il averti.
Une alerte au tsunami a été lancée vendredi tout autour de l'océan Pacifique à la suite du très fort séisme -- de magnitude 8,9 -- qui a fait au moins 26 morts au Japon.
De l'Australie à l'Amérique centrale, pratiquement tous les pays bordant le Pacifique sont concernés par l'alerte, a annoncé le centre américain de surveillance des tsunamis.
Au Japon, une vague de dix mètres a balayé les côtes de Sendaï dans le nord-est. Dans le Pacifique, les zones côtières ont été évacuées aux Mariannes comme à Guam et à Hawaï, tandis qu'à Taïwan, les vagues provoquées par la secousse ont atteint les côtes sans faire de dégâts.
Situées à plusieurs milliers de kilomètres au sud-ouest, les Philippines ont également appelé à l'extrême vigilance les habitants des côtes, où une première vague pouvant atteindre un mètre de haut était attendue entre 17h00 et 19h00 locales (09H00-11H00 GMT).
hmn-apo/jh
"Dans la région, en particulier dans les régions côtières vulnérables, nous avons disposé des stocks d'abris, de vivres et du matériel d'assistance médicale pour aider les personnes", a déclaré à l'AFP Paul Conneally, porte-parole de la FICR.
"Nous sommes particulièrement préoccupés pour les pays côtiers et en développement qui sont particulièrement vulnérables et qui pourraient ne pas avoir des mécanismes nationaux de réponse pour faire face" à une telle catastrophe, a-t-il ajouté, citant notamment les "Philippines, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et les îles du Pacifique".
"Nous sommes très inquiets. Nous surveillons de près la situation", a insisté M. Conneally, soulignant que ces pays auraient peut-être à évacuer leurs populations, avec le soutien de la Fédération de la Croix-Rouge si nécessaire.
Selon le porte-parole, les vagues pourraient atteindre un à dix mètres, "ce qui est plus haut que certaines îles".
"Nous devons être prêts pour tous les scénarios", a-t-il averti.
Une alerte au tsunami a été lancée vendredi tout autour de l'océan Pacifique à la suite du très fort séisme -- de magnitude 8,9 -- qui a fait au moins 26 morts au Japon.
De l'Australie à l'Amérique centrale, pratiquement tous les pays bordant le Pacifique sont concernés par l'alerte, a annoncé le centre américain de surveillance des tsunamis.
Au Japon, une vague de dix mètres a balayé les côtes de Sendaï dans le nord-est. Dans le Pacifique, les zones côtières ont été évacuées aux Mariannes comme à Guam et à Hawaï, tandis qu'à Taïwan, les vagues provoquées par la secousse ont atteint les côtes sans faire de dégâts.
Situées à plusieurs milliers de kilomètres au sud-ouest, les Philippines ont également appelé à l'extrême vigilance les habitants des côtes, où une première vague pouvant atteindre un mètre de haut était attendue entre 17h00 et 19h00 locales (09H00-11H00 GMT).
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