Jacques Solari (6e en partant de la gauche) avec l'équipe de Sopadep-Kia lors des championnats du monde de Beachsoccer en 2013
PAPEETE, le 29 janvier 2015 - Ce vendredi matin, Jacques Solari a été élu président du Syndicat professionnel des concessionnaires de l'automobile (SPCA).
Il est le propriétaire et fils du fondateur du groupe Solari, le poids lourd du secteur. Avec les concessionnaires Sopadep (Peugeot, Hyundai, Mitsubishi, BMW, CHevrolet, Isuzu), STA (Kia, Mazda, Citroen) et GEM (Porsche), il représente près de 40% des voitures vendues en Polynésie. Il était jusqu'à présent vice-président du syndicat professionnel, et prend donc la place de Narii Faugerat, le fondateur de Nippon Auto Moto.
Face à la baisse du marché automobile, il devrait demander une aide au gouvernement. Si les concessionnaires parlent souvent d'un retour de la prime à la casse qui pourrait permettre la vente de 1000 véhicules supplémentaires, Jacques Solari nous confie que "ce n'est pas forcément la prime à la casse que nous souhaitons demander au gouvernement", laissant la porte ouverte aux négociations, le gouvernement s'étant déjà exprimé contre un retour de la fameuse - et onéreuse - prime.
Il est le propriétaire et fils du fondateur du groupe Solari, le poids lourd du secteur. Avec les concessionnaires Sopadep (Peugeot, Hyundai, Mitsubishi, BMW, CHevrolet, Isuzu), STA (Kia, Mazda, Citroen) et GEM (Porsche), il représente près de 40% des voitures vendues en Polynésie. Il était jusqu'à présent vice-président du syndicat professionnel, et prend donc la place de Narii Faugerat, le fondateur de Nippon Auto Moto.
Face à la baisse du marché automobile, il devrait demander une aide au gouvernement. Si les concessionnaires parlent souvent d'un retour de la prime à la casse qui pourrait permettre la vente de 1000 véhicules supplémentaires, Jacques Solari nous confie que "ce n'est pas forcément la prime à la casse que nous souhaitons demander au gouvernement", laissant la porte ouverte aux négociations, le gouvernement s'étant déjà exprimé contre un retour de la fameuse - et onéreuse - prime.
Jacques Solari va ainsi porter le combat des concessionnaires auprès du gouvernement. Les entreprises du secteur, victimes de la crise prolongée, réclament une prime à la casse pour relancer le secteur. Le syndicat estime qu'une telle prime pourrait augmenter les ventes de près de 1000 véhicules, de quoi survivre à l'année qui vient, après une année 2015 qui a été la pire pour le secteur depuis 1993 avec moins de 4000 voitures immatriculées en Polynésie selon les tous derniers chiffres de la direction des transports terrestres (analysés en détail, avec les podiums des modèles les plus vendus, dans notre journal de lundi).
