Le jeune homme de 32 ans qui s'était reclus depuis vendredi après midi au sommet d'une grue à Punaauia a finalement mis fin à ses jours en se jetant dans le vide. Malgré toutes les tentatives menées depuis de longues heures par les services de gendarmerie, les médecins et la famille, il s'est finalement précipité dans le vide vers 17 h14 ce samedi soir.
Cet individu de 32 ans, d'origine métropolitaine, s'était hissé vendredi en début d'après-midi au sommet d'une grue, à la faveur de la sortie des ouvriers qui travaillent sur le chantier de la résidence Bella Vista 2, actuellement en construction.
L'homme, dont on avait appris qu'il avait des antécédents psychiatriques, avait notamment communiqué avec les forces de l'ordre en leur lançant des messages écrits sur papier. Il était en outre muni d'un téléphone portable au moyen duquel il avait pu être mis en relation avec sa famille, vendredi. Un psychologue avait également tenté de le convaincre de regagner la terre ferme, sans succès.
Une enquête a été ouverte et une autopsie sera effectuée pour tenter de comprendre ce qui aura poussé cet homme à commettre l'irréparable.
Tahiti Infos présente toutes ses condoléances à la famille.
On évalue à environ 300 par an le nombre de tentatives de suicide en Polynésie française, sur une population de 270.000 habitants. 55 personnes se tuent chaque année et c'est la première cause de mortalité chez les 15-44 ans.
Le docteur Stéphane Amadéo, psychiatre fondateur de l'association polynésienne SOS Suicide, dénonce le manque d'accès aux soins et de structures de suivi en Polynésie. Un centre de prévention du suicide est toutefois en projet.
Cet individu de 32 ans, d'origine métropolitaine, s'était hissé vendredi en début d'après-midi au sommet d'une grue, à la faveur de la sortie des ouvriers qui travaillent sur le chantier de la résidence Bella Vista 2, actuellement en construction.
L'homme, dont on avait appris qu'il avait des antécédents psychiatriques, avait notamment communiqué avec les forces de l'ordre en leur lançant des messages écrits sur papier. Il était en outre muni d'un téléphone portable au moyen duquel il avait pu être mis en relation avec sa famille, vendredi. Un psychologue avait également tenté de le convaincre de regagner la terre ferme, sans succès.
Une enquête a été ouverte et une autopsie sera effectuée pour tenter de comprendre ce qui aura poussé cet homme à commettre l'irréparable.
Tahiti Infos présente toutes ses condoléances à la famille.
On évalue à environ 300 par an le nombre de tentatives de suicide en Polynésie française, sur une population de 270.000 habitants. 55 personnes se tuent chaque année et c'est la première cause de mortalité chez les 15-44 ans.
Le docteur Stéphane Amadéo, psychiatre fondateur de l'association polynésienne SOS Suicide, dénonce le manque d'accès aux soins et de structures de suivi en Polynésie. Un centre de prévention du suicide est toutefois en projet.
