Interventions du To Tatou Ai'a à l'occasion du DOB


Intervention de M. Robert TANSEAU - Débat d'Orientation Budgétaire Monsieur le Président de l’Assemblée de la Polynésie française,
Monsieur le Président de la Polynésie française,
Mesdames et Messieurs les ministres,
esdames et Messieurs les représentants à l’Assemblée de la Polynésie française, chers collègues,
Comme ces dernières années, le DOB nous permet à nous, élus, de faire le point sur la situation économique du pays, avant d’entamer l’étude et le vote d’un budget qui devrait, prochainement, nous être proposé.
Situation économique que je ne prendrai pas la peine d’analyser et ce pour plusieurs raisons.
Tout d’abord parce que j’ai cherché, ces derniers jours, à relire les débats que nous avions eu sur les deux DOB précédents : 2008 et 2009. Et je me rends compte que depuis 2 ans, nous répétons les mêmes messages, les mêmes avertissements, les mêmes déclarations d’intentions et, malgré ces répétitions incessantes, peu d’avancées… Et l’on s’étonne des vives réactions de notre population !! Certaines interventions faites en 2008, et en 2009 pourraient être reprise mot pour mot ! Et encore, c’est parce que lors des années précédents le DOB n’existait pas ! Mais l’on pourrait, à mon humble avis, remonter ainsi encore plus loin !
La deuxième raison se fait l’écho de ce fatalisme évoqué juste avant. Est-il, dès lors, encore utile d’insister sur les constats, les analyses et les impressions ? Nous sommes tous conscients de la situation de notre pays. Ce n’est pas pour autant que certains, parmi nous, ont opéré un changement dans leur attitude, dans leur positionnement… Alors à quoi bon !

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Et puisque nous partons de toute façon d’une situation désormais connue de tous, je pense, mes chers collègues, que nous aboutirons au même constat, dressé ces derniers jours dans la presse par le président lui-même : « si on a lu le rapport Bolliet, si on connaît la situation du pays, la marge de manœuvre est de toute façon étroite ».
Aussi, Mesdames et Messieurs les élus, avant même d’envisager de rentrer dans le détail du DOB, et au nom du groupe TO TATOU AI’A, j’en appelle à la responsabilité de tout un chacun, à celle de tous les groupes composant cet hémicycle qu’ils soient dans la majorité, l’opposition, le centre : il convient que nous ayons, tous, sans exception, une attitude digne du mandat qui nous a été accordé.
Puisque nous nous déclarons tous officiellement travailler dans l’intérêt du pays et de la population, sachons ne pas risquer encore plus de couler notre pays pour satisfaire des ambitions personnelles, des jeux de pouvoirs pour récupérer un poste, un prestige… Je ne vise personne en particulier, je m’adresse simplement à tout le monde. Outre les unanimités de circonstances, sachons tous nous engager dans une unanimité d’engagement vis-à-vis de notre population, quelle que soit notre vision de l’avenir.
Car cet avenir, quel qu’il soit, dépendra, de toute façon, de toutes les décisions que nous prendrons dans les semaines qui viennent. Et quelle que soit l’idéologie qui mènera à cet avenir, elles ne seront pas servies par les comportements que nous avons connus.
Oserez-vous encore, lorsque le budget arrivera en commission nous rejouer des scénarios incohérents, tels que nous avons connu ces derniers mois ? Ne profitez pas d’une fragilité politique pour vous engouffrer dans les amendements démagogiques sans avoir pleinement en conscience les tenants et les aboutissants de vos décisions. Ou, si vous le faites, allez jusqu’au bout de vos actions.
L’heure est à la conformité entre les discours et les actions. Le temps joue contre nous, alors aujourd’hui il est primordial d’agir vers plus de pragmatisme et moins de jeux politiciens !

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C’est dans ce cadre que nous réussirons à réaliser les objectifs pour notre pays en 2011. Objectifs énoncés dans le DOB et clairement inspirés du rapport BOLLIET que nous avons tous en main aujourd’hui.
Ces objectifs qui plaident clairement pour une modernisation de notre pays, une modernisation de la puissance publique polynésienne ; qu’elle joue pleinement son rôle dans la mise en place des nouveaux outils réglementaires permettant de répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain.
Cette modernisation, inscrite dans de vrais schémas de développement qui engageront le pays pour les années à venir et permettront de réduire l’impact négatif qu’ont eu les jeux politiques de ces dernières années.
Mais tout ceci ne se fera pas par la seule opération du saint-esprit. Nous avons trop eu tendance, ces dernières années, à vouloir tout faire par nous-mêmes, à chercher à réinveter la poudre ou le fil à couper le beurre pour nous gargariser de leur attitude « maohi ». Le récent débat sur les nominations à ATN en est l’exemple parfait, nous privant d’un homme non « labélisé 100% maohi » pour lui préférer des hommes avec une bien moindre expérience du secteur !
Il convient aujourd’hui de prendre conscience que bien des pays avant nous ont connu les déboires que nous connaissons actuellement. Si nous avons chez nous bien des spécificités, bien des particularismes uniques qui font notre richesse, nous ne sommes pas un ilot de développement spécifique sur cette planète. Alors pourquoi avons-nous tant de mal à faire appel à l’extérieur pour partager leur expérience et nous permettre de ne pas répéter les mêmes erreurs ?
Le rapport BOLLIET s’inscrit dans cette optique en suggérant régulièrement, au fil du rapport, que la Polynésie française, pour la mise en œuvre des réformes à venir, fasse plus appel aux services de l’Etat afférents, qui ont eu à mener de tels projets. Non pas pour nous dicter les choses à faire de façon autoritaire et sans adapter les outils localement. Il faut sortir de cette vision caricaturale de relations avec l’Etat qui ne pourraient être que d’une odieuse subordination !
L’Etat a encore beaucoup à nous apporter. Sachons en profiter ! Pourquoi s’en priver ! Nous sommes nombreux à revendiquer que l’Etat joue pleinement son rôle en Polynésie française ! N’est-ce pas là le meilleur rôle qu’il aurait à jouer ?
Usons de son expérience, de ses erreurs, prenons les en note et adaptons ensuite nous nouveaux outils, luttons contre l’obsolescence de bien de nos politiques publiques pour construire enfin notre pays à l’image du monde moderne.
« La modestie, nous disait La Rochefoucault, est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau : elle lui donne de la force et du relief. » Tâchons de garder cette maxime au creux de notre esprit lors des débats budgétaires à venir !
Je laisserai le soin à l’un(e) de mes collègues d’entrer dans le détail de nos analyses quant à ce DOB. Je tenais en préalable à vous faire part de ces vœux, émis par le groupe TO TATOU AI’A, à l’aube de la nouvelle année budgétaire qui s’annonce, et à l’aube des débats qui la précédent.
Ils nous apparaissaient fondamentaux et nous souhaitions vous les faire partager car notre groupe se fatigue de ces situations politiques interminables et stériles. Nous comptons dans notre groupe bien des élus qui n’ont pas l’historique de certains présents aujourd’hui dans cet hémicycle. Et nos élus ont rejoint l’assemblée pour y apporter leur cœur, leur engagement au service du pays. Leurs convictions ont été bien émoussées au fil de ce mandat démarré en 2008. Bien des échecs, des trahisons, des changements, qui ont fini par lasser notre population.
Aujourd’hui, nos élus, notre groupe, sera encore une fois présent aux côtés du gouvernement pour mener notre pays de l’avant, mais nous le ferons dans un climat politique apaisé, épuré de toutes ces aberrations que nous vivons depuis bien trop longtemps.
Je vous remercie de votre attention.


Intervention de M. Nicolas BERTHOLON - Débat d'Orientation Budgétaire Monsieur le Président de l’Assemblée de la Polynésie française,
Monsieur le Président de la Polynésie française,
Mesdames et Messieurs les ministres,
Mesdames et Messieurs les représentants à l’Assemblée de la Polynésie française, chers collègues,
Passées les déclarations d’inspiration plus politiques, je m’attacherai à entrer dans le détail de ce DOB et apporter nos observations sur les objectifs affichés par le gouvernement pour l’année 2011.
D’ores et déjà, il apparaît que le gouvernement a engagé de nombreux projets pour relancer et surtout consolider, fortifier, nos secteurs forces, ceux qui fonderont le développement de nos ressources et le développement de notre économie. J’entends par là le tourisme et le secteur primaire.
Le travail est titanesque mais un certain nombre de dossiers ont déjà bien pris forme dans le courant de cette année 2010.
Pour le tourisme tout d’abord grâce à la loi du pays visant au développement de la croisière. Mais il reste, Monsieur le ministre, à engager, sur le terrain, toutes les actions visant à améliorer la qualité de notre destination. « Faire plus avec les mêmes moyens » semble être votre devise et nous la saluons. Mais nous ajouterions « faire plus et mieux, avec les mêmes moyens », ne pensez-vous pas ?
Au-delà de la promotion à l’extérieur, qui mérite sans aucun doute une profonde modernisation, il convient de valider avant tout le concept que nous souhaitons vendre. Tout un chacun y va, depuis des années, de sa solution clé pour vendre la destination : promouvoir l’humain, la culture, le calme, l’environnement, … et bien d’autres encore.
Nous souhaiterions, Monsieur le ministre, que vous nous fassiez part de votre choix en la matière. Sans aucun doute que les recommandations d’ATOUT France vous y ont aidé !
Car, et je pense que vous partagez mon analyse, ce n’est que lorsque nous saurons parfaitement comment nous souhaitons être perçus de la clientèle extérieure que nous pourrons assurer une promotion digne de ce nom ! Une promotion qui s’intègre dans une vision plus globale que sectorielle, ainsi que l’a toujours souhaité le président TONG SANG. Vision que nous partageons car Tahiti ce n’est pas d’un côté le tourisme, de l’autre la perle, de l’autre encore la Vanille.
Non, la Polynésie française, cette masse bleue perlée d’ilots de culture et de richesses humaines, c’est avant tout l’agrégation de toutes ces petites ressources, de toutes ces niches de bonheur et de plaisir que recherchent tous ces touristes des grandes métropoles : un retour aux sources, un retour vers plus d’authenticité mais, surtout, la volonté de se sentir particulier, individuel, choyé en tant que personne, sortir de la consommation de masse et se fondre dans les plaisirs d’un traitement individualisé.
Mais, au-delà de tout ceci, le tourisme c’est avant tout l’affaire de tous. Et il convient de mettre en place une promotion du tourisme à destination de notre population. Trop de nos concitoyens ne se sentent pas assez partie prenante dans le développement de cette ressource économique fondamentale qu’ils associent trop souvent aux grands hôtels dirigés par ceux que certains au sein de notre hémicycle malheureusement qualifient « d’étrangers » !!
Je me souviens d’une campagne en ce sens, il y a quelques années. Une campagne qui n’avait malheureusement pas connu le succès escompté. Mais il est pourtant clair que le tourisme ne se développera pas tant que la population ne s’impliquera pas dans ce développement. Au-delà des salons du tourisme intérieur, au succès reconnu, c’est donc la sensibilisation de nos concitoyens qui demeure fondamentale.
Une sensibilisation qui passe par la nécessité de faire comprendre à notre population la nécessité de développer des productions de qualité. Il ne convient plus de vendre beaucoup de produits sans vision du développement à long terme. Les polynésiens, nos concitoyens, doivent être accompagnés dans le développement qualitatif de leurs projets.
Ceci est valable pour le secteur primaire : rendre à notre perle ses lettres de noblesse, sa valeur naturelle en luttant contre cette fraude, véritable cancer de notre économie ! C’est aider nos pêcheurs et nos agriculteurs à s’intégrer dans des programmes de développement durable en apprenant à gérer les ressources, en mettant en place des campagnes de pêche efficaces, en développant l’agriculture biologique.
Mais ceci est valable pour tous les autres secteurs et l’accompagnement de nos entreprises, de la plus petite à la plus importante, doit être permanent. Sortis des politiques d’aides répondant plus à une volonté d’affichage qu’à un véritable accompagnement, les mesures de formation que nous proposent le gouvernement sont plus que louables car elles permettront, je l’espère, enfin, la mise en œuvre de ce dicton : « plutôt que de pêcher pour toi, je te donne la canne, je t’apprends à pêcher et ensuite à toi de jouer ! » Voilà une philosophie en droite ligne avec le respect de notre culture et de notre population !

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Mais tout ceci ne se fera pas, ainsi que constaté dans le rapport BOLLIET, sans que la puissance publique se remette en cause :
-      Sur son fonctionnement,
-      Sur le poids qu’elle fait peser dans l’économie locale.
Revoir notre fonctionnement s’est poursuivre l’effort entamé depuis 2008 par le gouvernement TONG SANG dans la rationalisation des dépenses de fonctionnement : réduction du nombre de ministères, des membres de cabinets, réorganisation profonde de l’administration pour entrer, enfin, dans une culture de résultat, ainsi qu’entamée en métropole depuis 2007 avec la RGPP !
Et c’est, avant toute création d’impôts nouveaux, dont nous savons tous que cela engendre des frais de gestion, l’amélioration de notre fiscalité existante. Des outils vieux de près de 30 ans et qui n’ont jamais été réformés. Est-ce l’efficacité de la fiscalité polynésienne ? Est-ce là notre vision de la justice sociale, qu’une fiscalité qui n’évolue pas avec la société ? Nous pensons que non.
La mise en place des impôts et autres prélèvements pour le fonctionnement de la puissance publique ont toujours été, dans tous les Etats démocratiques de la planète, la première étape qui a mené, justement, vers la démocratisation des systèmes. Après tout, la Révolution française a démarré par une querelle sur le prélèvement des impôts !
Si nous ne voulons pas subir une révolution, rénovons nos impôts avant d’en rajouter. C’est ce qu’attendent de nous nos concitoyens. Et c’était la raison de notre mécontentement de 2009.
Une fois cela fait, le pays pourra se recentrer vers l’une de ses missions premières : l’investissement. Investir pour le développement, investir pour répondre aux besoins de nos populations sur l’ensemble de notre pays.
Ce ne sera pas chose facile que de dégager des capacités d’investissement suffisantes pour relancer l’économie sans risquer de l’étouffer dans 10 ans ! C’est un vrai challenge auxquels nous devons nous atteler.
Mais ceci relève d’une obligation incontournable.
Ce n’est qu’en nous débarrassant de toutes ces missions nombreuses et variées dans lesquelles nous nous sommes engagées ces vingt dernières années au lieu de laisser le privé s’en charger que nous pourrons nous recentrer vers l’investissement.
Cessons cet interventionnisme permanent auxquels beaucoup parmi nous se sont convertis pour des raisons qui, je vous l’avoue modestement, m’échappent totalement ! Sans doute le débat institutionnel a privé les groupes de cette assemblée de la capacité à défendre une doctrine socio-économique cohérente !
Là encore, le rapport BOLLIET nous y invite. Il nous invite notamment à ne pas nous enfermer sur nous-mêmes, à empêcher l’investissement d’entrer chez nous mais plutôt à attirer l’investissement à venir et, ensuite le contraindre dans sa sortie du territoire mais aussi cadrer sa capacité à faire tout et n’importe quoi sur place.
Encore une fois, notre groupe ne s’en lasse pas, nous renouvelons notre appel à un droit de la concurrence et un droit de la consommation. S’en priver encore pour l’année à venir serait suicidaire car, croyez-moi bien, certaines entreprises locales n’ont pas attendu d’hypothétiques et vampiriques entreprises « étrangères » pour prendre des positions dominantes et étouffer la concurrence au détriment de nos consommateurs, de nos concitoyens !
Mais, une fois lancé dans l’investissement en s’étant soulagé de tout ce qui ne relève pas de la compétence de gestion du pays, il nous restera à régler encore deux problèmes : le foncier et l’environnement.
Tous deux fruits d’une insularité qui se présente comme une chance et un handicap, nous ne pourrons, l’an prochain, faire à nouveau l’impasse sur ces éléments. Nous nous sommes réjouis, ces dernières semaines, de voir que le problème du foncier pris à bras le corps par le ministère compétent. Mais il nous appartiendra, au niveau de l’assemblée, de mener également les travaux de réflexion nécessaire à la mise en œuvre d’une vraie politique du foncier en tenant compte tout à la fois de nos spécificités culturelles et traditionnelles mais également des contraintes de développement et de modernisation de notre pays.
Ce fameux centre des congrès, véritable serpent de mer de ces dernières années est d’ailleurs l’exemple type de cette problématique puisque prévu sur un terrain, à Outumaoro, qui fait l’objet de revendications permanentes jusqu’à l’apparition d’un royaume fictif s’en déclarant propriétaire, il n’a toujours pas démarré. Nous ne manquerons pas de rendre hommage au gouvernement si, comme annoncé au DOB, les travaux démarrent effectivement courant 2011 !!

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Ceci me menant à la dernière série d’observations de mon intervention. Car les problèmes de terres, de squats, s’accompagnent malheureusement bien souvent de misère sociale et humaine.
La situation financière du pays ne dégage pas des marges de manœuvres énormes pour pouvoir entamer des programmes d’assistance tels que nous avons connu lors des années fastes. Mais il n’en demeure pas moins qu’il n’est pas dans notre nature de laisser les plus démunis sur le bas-côté quand le pays redémarrera enfin.
Le débat sur la PSG nous prendrait une séance à lui tout seul si nous l’entamions dans le détail. Je m’adresserai donc simplement au ministre de la solidarité et au président du gouvernement pour leur dire, au nom du groupe TO TATOU AI’A, de mener courageusement cette réforme, incontournable mais de ne pas oublier les plus démunis d’entre nous dans cette réforme. Ne stigmatisons pas tel ou tel partenaire des négociations, là n’est pas mon propos. Mais ayons tous en tête, lors de la préparation de cette réforme, que nous soyons représentants du pays, des professions médicales ou des partenaires sociaux, que nous agissons pour nos concitoyens qui n’ont pas eu la chance d’une vie heureuse et sans problèmes.
Dans ce cadre là, il demeurera incontournable que tout un chacun participe. La solidarité est l’affaire de tous. La solidarité doit être le maître mot de la politique du pays pour l’année 2011 : solidarité avec nos concitoyens, de toute origine, de toute classe sociale.
Et je voudrai profiter pour saluer l’effort notable que les collègues du gouvernement ont accepté de faire en diminuant de 50% les indemnités de représentation soit 100.000 XPF en moins par mois. Je tiens à saluer les efforts, cela n’a pas dû être facile. Cette réduction n’est pas symbolique.
Franchement, au nom du groupe TO TATOU AI’A, envoyons un message fort à notre population. Quels sont les efforts que nous sommes prêts à faire pour diminuer également nos indemnités ? Notre groupe est prêt à soutenir cette démarche.
L’effort est réel. Et je me demande, à entendre les autres interventions, que nous n’avons pas vu le même rapport.
Soyons tous unis dans ce merveilleux combat qu’est la relève de notre pays que nous aimons tous à notre façon.
Je vous remercie de votre attention.


Rédigé par () le Mardi 2 Novembre 2010 à 15:50 | Lu 819 fois