Selon les autorités, par ailleurs, vingt quatre autre personnes sont toujours portées disparues, présumées emportées par les crues de rivières riveraines des villages frappés, dans cette région de Teluk (district de Wondama, à l’est de la province), particulièrement isolée et difficile d’accès.
Les inondations sont la conséquence directe des pluies torrentielles qui se sont abattues ces derniers jours dans cette partie de l’île.
Ces efforts sont rendus particulièrement difficiles par le fait que la plupart des routes permettant d’accéder à cette partie de l’île demeurent impraticables, à la suite d’énormes glissements de terrain ou de chutes de débris divers en travers des routes et pistes.
Les télécommunications sont aussi largement aléatoires.
Le gouvernement central indonésien a annoncé le déploiement, depuis Djakarta, d’une équipe d’urgence d’une douzaine de personnes, à bord d’un navire d’une capacité totale de cent cinquante places.
Entre-temps, sur l’autre partie de l’île, côté oriental, dans l’État indépendant de Papouasie-Nouvelle-Guinée, les autorités sanitaires sont à nouveau sur le qui-vive en raison de la réapparition de nouveaux cas de choléra, maladie qui avait déjà sévi l’an dernier dans les provinces du Sépik oriental et de Madang.
Une quarantaine de personnes avait succombé.
Les inondations sont la conséquence directe des pluies torrentielles qui se sont abattues ces derniers jours dans cette partie de l’île.
Ces efforts sont rendus particulièrement difficiles par le fait que la plupart des routes permettant d’accéder à cette partie de l’île demeurent impraticables, à la suite d’énormes glissements de terrain ou de chutes de débris divers en travers des routes et pistes.
Les télécommunications sont aussi largement aléatoires.
Le gouvernement central indonésien a annoncé le déploiement, depuis Djakarta, d’une équipe d’urgence d’une douzaine de personnes, à bord d’un navire d’une capacité totale de cent cinquante places.
Entre-temps, sur l’autre partie de l’île, côté oriental, dans l’État indépendant de Papouasie-Nouvelle-Guinée, les autorités sanitaires sont à nouveau sur le qui-vive en raison de la réapparition de nouveaux cas de choléra, maladie qui avait déjà sévi l’an dernier dans les provinces du Sépik oriental et de Madang.
Une quarantaine de personnes avait succombé.